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The Truth About Dishonesty

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Are you more honest than a banker? Under what circumstances would you lie, or cheat, and what effect does your deception have on society at large? Dan Ariely, one of the world's leading voices on human motivation and behaviour is the latest big thinker to get the RSA Animate treatment.

Taken from a lecture given at the RSA in July 2012 . Watch the longer talk here http://www.youtube.com/watch?v=ZGGxgu...



The Secret Powers of Time

Le cloud : véritable accélérateur de business

The Paradox of Choice

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n this new RSA Animate, Professor Renata Salecl explores the paralysing anxiety and dissatisfaction surrounding limitless choice. Does the freedom to be the architects of our own lives actually hinder rather than help us? Does our preoccupation with choosing and consuming actually obstruct social change?
View the full lecture here: http://www.thersa.org/events/video/ar...


Science Of Persuasion

Réinventer le travail : quel boulot !

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agrandirRéinventer le travil: quel boulot !
© Frédéric Benaglia
 
 
Recherché par des millions de chômeurs, subi par certains salariés, apprécié par d’autres, le travail est en crise. « Comment le réinventer ? » s’interrogent Les Semaines sociales de France qui, du 22 au 24 novembre et en partenariat avec Pèlerin, se tiennent à Paris, Lyon et Strasbourg.
 
À propos de l'article
  • Créé le 22/11/2013
  • Publié par :Frédéric Niel
  • Édité par :Jaber Tarhouni
Le travail, soit ils nous fait défaut, soit nous en avons trop ! D’un côté, le chômage paraît impossible à résorber, les plans sociaux se multiplient et on voit mal comment le président François Hollande pourrait inverser, comme promis, la courbe des demandeurs d’emploi d’ici à la fin de l’année. De l’autre, la nature même du travail change. De nouvelles formes d’organisation augmentent la pression sur les salariés, qui peuvent être victimes de surmenage et de diverses formes de souffrance psychologique.

Ces deux crises – de la quantité et de la qualité du travail – sont en partie liées, relève Patricia Vendramin (1), professeur de sociologie à l’université de Louvain, en Belgique. « Un chômage de masse durable pèse sur le rapport de force entre employeurs et demandeurs d’emploi, observe-t-elle. Même des salariés en CDI (contrat à durée indéterminée) craignent d’être identifiés comme des maillons faibles à éliminer. Trop de cadres se ruinent la santé en tentant d’atteindre des objectifs insoutenables. »

« Outre le chômage, la pression sur les salariés vient de la “financiarisation” de l’économie, avec des exigences de rentabilité élevées à court terme imposées par les actionnaires, ajoute Laurent Giraud, maître de conférence à l’université Toulouse 1 Capitole. Souvent, la crise a bon dos pour justifier un gel des salaires ou un durcissement des conditions de travail. »

Et pourtant… « Le travail demeure une valeur fondamentale pour les Français, le principal moyen de trouver sa place dans la société », assure Denis Pennel (2), directeur général de la Confédération internationale des entreprises de travail temporaire (Ciett). Loin d’être « brouillés avec le travail », comme on l’entend parfois, les Français comptent même parmi ceux qui lui accordent le plus d’importance !

Selon une étude de la Commission européenne qui date de 2007, 92 % des Français jugeaient le travail « important » dans leur vie, pour une moyenne européenne de 84 %. Près de la moitié pense que le travail permet de « développer pleinement leurs capacités », score le plus élevé d’Europe. « Avec de telles attentes, la déception est parfois terrible quand le salarié découvre la réalité du monde du travail », constate Patricia Vendramin.

Un désamour accompagné d’une prise de distance très visible chez les jeunes. Ils entrent sur le marché du travail plus tard, après des études plus longues et une succession de stages ou de contrats courts et précaires. Ils ne s’inscrivent pas dans le long terme et exigent tout de suite – s’ils sont en position de force grâce à leurs diplômes – de bons salaires et un maximum de jours de congés. « Les jeunes qui disposent d’une expertise font la loi car les employeurs se battent pour les recruter », observe Jean-Michel Laborie, directeur des ressources humaines chez le fabricant d’encre Sun Chemical.

Protéger non pas le salarié, mais la personne

Les moins qualifiés, au contraire, doivent accepter des conditions de travail parfois dégradées et des contrats précaires, avec de longues périodes d’inactivité forcée. Comme si un mur se dressait entre les chanceux ultraprotégés ayant un contrat à durée indéterminée (CDI) et des « sans-statuts » fragilisés.
Selon Caroline Haquet, de la société de conseils aux entreprises Mazars, « les jeunes veulent s’investir autant que leurs aînés, mais ils reprochent à leurs dirigeants de ne pas leur faire confiance, en les laissant travailler à domicile par exemple et de leur imposer une organisation trop hiérarchisée qu’ils jugent obsolète. Bref, ils voudraient travailler plus intelligemment. »

Par choix ou par résignation, les jeunes accordent moins de place au travail et plus à leur vie privée. Certains délaissent, sans regret, un travail rémunérateur au profit d’un emploi qui a du sens (lire le portrait de Julien Maury). « On vit moins une crise de l’emploi qu’une révolution du monde du travail, analyse Denis Pennel. Principale mutation : l’emploi à vie dans une grande entreprise, c’est fini ! Le parcours type, désormais, se dessine en zigzag. On passe d’un métier à un autre, d’une formation à une reconversion, d’un statut de salarié à celui d’entrepreneur. » C’est le défi de la “flexicurité”, qui combine flexibilité et sécurité.

(1) Coauteure, avec Dominique Méda, de Réinventer le travail, éd. Puf, 260 p. ; 19,50 €.
(2) Auteur de Travailler pour soi, éd. Seuil, 236 p. ; 17 €.

E-cat : se chauffer pour 20 EUR par an dès 2013

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Avec la montée du prix des hydrocarbures, se chauffer risque de devenir problématique dans les années à venir. Reste le chauffage électrique? Encore raté, EDF va augmenter ses prix de 30%. Reste le bois, pas l’idéal pour tout le monde…. Restera alors l’E-cat lorsqu’il sera en vente dans le commerce, une technologie toute neuve et pleine d’espoir qui permettra de se chauffer pour seulement 20 euros/an, dans la mesure ou les lobbys laissent l’entreprise vendre ses E-cats.
http://energycatalyzer3.com/files/2011/12/Jim_Rodney_5kW_E-Cat_design_600.jpg
Si tout se passe bien, vous devriez bientôt pouvoir adjoindre à votre chauffage central actuel un dispositif révolutionnaire de 400 à 500 dollars / euros vous permettant de chauffer votre maison avec une simple cartouche recyclable à base de poudre de nickel, pour moins de 20 dollars/euros par an.
Jusqu’il y a peu le prix du dispositif avait été estimé à 4000 dollars. Grâce à la volonté de son concepteur, l’ingénieur Andrea Rossi (1950), au partenariat industriel avec National Instruments aux Etats-Unis, et une fabrication hautement automatisée, le prix a été divisé par dix, de façon à couper l’herbe sous le pied des copies par retro-engineering qui ne manqueront pas d’apparaître une fois le système lancé à grande échelle. Objectif : 1 million d’unités domestiques par an à partir de début 2013. (*)
De la taille d’un ordinateur portable (le processeur a la taille d’un paquet de cigarettes) et d’une sécurité annoncée comme totale, ce système révolutionnaire dit de réaction nucléaire à basse énergie n’émet selon Rossi (et le professeur Focardi de l’université de Bologne) aucune radiation ni émission d’aucune sorte.
Le nickel est abondant sur Terre et n’est pas cher, mais il est toxique, surtout en poudre, et son traitement doit être fait par des professionnels. La quantité de nickel consommée dans le processus est extrêmement réduite. Pour fixer les idées, selon Andrea Rossi, un gramme permet de produire 23.000 mégawatt heure d’énergie (oui : vingt trois mille mégawatt heure).
L’E-cat est un système thermique révolutionnaire qui utilise de la poudre de nickel, une quantité infime d’hydrogène, un ou des catalyseurs spécifiques, de même que des radiofréquences permettant de faire travailler les forces de répulsion (Coulomb) entre particules subatomiques de façon avantageuse, un peu à l’image de ce qui se passe dans les arts martiaux orientaux.
Au lancement, le processus de préchauffage du système consomme 3000 watt pendant une heure. Puis, une fois lancé, la consommation électrique devient insignifiante, comme celle d’un ordinateur, tout en produisant une quantité extraordinaire d’énergie thermique, permettant de chauffer de l’eau de façon stable et contrôlée à 120°C. Le système peut être complètement arrêté en 30 à 60 minutes.
L’E-cat est en cours de certification aux Etats-Unis par UL (Underwriters Laboratories). Une usine entièrement robotisée serait en voie de construction, semble-t-il au Massachussetts, avec National Instruments comme partenaire industriel.
A terme (12-24 mois ?), le système pourra également produire de l’électricité, une fois surmontées les difficultés de maintien de la température à 400°C (plutôt que 120°C actuellement).
La distribution et la vente se fera via des partenaires agréés, de même que par Internet. Les précommandes, sans engagement financier, peuvent être faites via le site Ecat.com dès maintenant.
Etant donné les risques inhérents à ce type de projet industriel d’avant-garde, Andrea Rossi ne souhaite pas à ce stade ouvrir le capital à des investisseurs particuliers, n’acceptant le soutien que de milieux d’affaires et d’organisations souhaitant investir de faibles sommes d’argent.
En guise de conclusion, ces réflexions de Brian Josephson, prix Nobel de physique 1973 : « A ce jour, rien ne permet de douter des affirmations de Rossi » et « des réacteurs de type Rossi sont déjà en production et selon Dennis M. Bushnell, Scientifique en chef de la NASA, ils pourraient « changer complètement la géo-économie, la géo-politique et résoudre [des problèmes] de climat et d’énergie ». » (lien).
En cas de confirmation, il semble que nous soyons bel et bien en présence d’un changement de paradigme en matière d’énergie. Probablement comparable à la découverte de la roue ou du feu.

A titre de comparaison, le projet internatinal de fusion (très) chaude ITER à Cadarache (France) dont on espère, à coup de dizaines de milliards d’euros d’argent public, pouvoir extraire les premiers kilowatts dans cinquante ans ou plus et dont on connaît mieux aujourd’hui le caractère hautement aléatoire et non raisonnable (voir l’article publié le 13/01/12 sur Mediapart : « Iter, le naufrage »), … peut aller se rhabiller et surtout se réorienter vers un projet plus utile pour la société.
(*) Andrea Rossi travaille 14 à 16 heures par jour sur ce projet et l’interview dont est issu cet article a été réalisée le 15 janvier 2012 au terme d’une telle journée, entre 11 du soir et 1 heure du matin. Chapeau l’artiste ! Et tous nos voeux de succès.



Sources pour cet article :
L’interview d’Andrea Rossi le 15 janvier par le journaliste scientifique Sterling Allan (Pure Energy Systems News). Résumé en anglais ici. Transcription de l’interview en anglais ici.
Catalyseur d’énegie de Rossi et Focardi (Wikipedia)

Pour en savoir plus :
L’E-cat a déjà été présenté sur Agoravox le 22/12/11 (lien) et le 29/10/11 (lien), au lendemain de la démonstration semi-publique décisive à Bologne, d’un générateur E-cat industriel de 1 mégawatt.
Publications scientifiques (en anglais)

A detailed Qualitative Approach to the Cold Fusion Nuclear Reactions of H/Ni , Prof. Christos E. Stremmenos, Journal of Nuclear Physics, Mai 2011
Report on heat production during preliminary tests on the Rossi “Ni-H” reactor, Levi G., Université de Bologne, Italie, Janvier 2011
Hydrogen/Nickel cold fusion probable mechanism, Prof. Christos E. Stremmenos, Bologne Italie, Journal of Nuclear Physics, Décembre 2010
A new energy source from nuclear fusion, Focardi S. & Rossi A., Université de Bologne, Italie, Mars 2010,
Source: agoravox.fr

How we can reduce street traffic ?


La NSA aurait infiltré 50 000 réseaux…

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Le ver est dans la pomme… Une expression qui prend tout son sens avec nos amis de la NSA. Effectivement, dans le cadre de son programme d’espionnage massif, elle aurait donc infiltré pas moins de 50 000 réseaux informatiques, et de la façon la plus vile possible… En injectant des logiciels malveillants.

Voici donc les nouvelles révélations inhérentes au programme baptisé PRISM et donc rendues publiques grâce aux documents révélés par Edward Snowden. Un document interne exfiltré dévoilait il y a peu que l’agence gouvernementale avait exploité une faille dans le mode d’interconnexion des data centers pour ‘jeter un oeil’ à des millions de données d’utilisateurs.

Si l’on apprend rien de nouveau sur d’éventuels détails, le nombre de réseaux informatiques touchés est des plus impressionnants. C’est plus de 50 000 grands groupes internet qui ont été touchés par le virus…

Selon le quotidien néerlandais NRC Handelsblad, de telles pratiques présentent l’avantage d’être extrêmement discrètes. Le Computer Network Exploitation (CNE) n’est pas une méthode nouvelle. Ces opérations informatiques sont des actions délibérément prises pour exploiter et optimiser les réseaux afin d’améliorer l’activité humaine et celle de l’entreprise. Ou, en période de guerre, en vue d’obtenir des informations et empêcher l’ennemi de savoir que vous êtes un peu trop indiscret.
Les entreprises IT commencent seulement à réagir, comme Google et Yahoo! qui ont décidé de mieux protéger les liaisons de leurs réseaux de data centers en adoptant un système de chiffrement SSL 2048 bits. Il est temps, car ce malware fonctionne comme une cellule numérique dormante pouvant être activé à distance, au bon vouloir de la NSA…

Data, Information, Knowledge, and Wisdom

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by Gene Bellinger, Durval Castro, Anthony Mills
 
There is probably no segment of activity in the world attracting as much attention at present as that of knowledge management. Yet as I entered this arena of activity I quickly found there didn't seem to be a wealth of sources that seemed to make sense in terms of defining what knowledge actually was, and how was it differentiated from data, information, and wisdom. What follows is the current level of understanding I have been able to piece together regarding data, information, knowledge, and wisdom. I figured to understand one of them I had to understand all of them.
According to Russell Ackoff, a systems theorist and professor of organizational change, the content of the human mind can be classified into five categories:
  1. Data: symbols

  2. Information: data that are processed to be useful; provides answers to "who", "what", "where", and "when" questions

  3. Knowledge: application of data and information; answers "how" questions

  4. Understanding: appreciation of "why"

  5. Wisdom: evaluated understanding.
Ackoff indicates that the first four categories relate to the past; they deal with what has been or what is known. Only the fifth category, wisdom, deals with the future because it incorporates vision and design. With wisdom, people can create the future rather than just grasp the present and past. But achieving wisdom isn't easy; people must move successively through the other categories.
A further elaboration of Ackoff's definitions follows:
Data... data is raw. It simply exists and has no significance beyond its existence (in and of itself). It can exist in any form, usable or not. It does not have meaning of itself. In computer parlance, a spreadsheet generally starts out by holding data.
Information... information is data that has been given meaning by way of relational connection. This "meaning" can be useful, but does not have to be. In computer parlance, a relational database makes information from the data stored within it.
Knowledge... knowledge is the appropriate collection of information, such that it's intent is to be useful. Knowledge is a deterministic process. When someone "memorizes" information (as less-aspiring test-bound students often do), then they have amassed knowledge. This knowledge has useful meaning to them, but it does not provide for, in and of itself, an integration such as would infer further knowledge. For example, elementary school children memorize, or amass knowledge of, the "times table". They can tell you that "2 x 2 = 4" because they have amassed that knowledge (it being included in the times table). But when asked what is "1267 x 300", they can not respond correctly because that entry is not in their times table. To correctly answer such a question requires a true cognitive and analytical ability that is only encompassed in the next level... understanding. In computer parlance, most of the applications we use (modeling, simulation, etc.) exercise some type of stored knowledge.
Understanding... understanding is an interpolative and probabilistic process. It is cognitive and analytical. It is the process by which I can take knowledge and synthesize new knowledge from the previously held knowledge. The difference between understanding and knowledge is the difference between "learning" and "memorizing". People who have understanding can undertake useful actions because they can synthesize new knowledge, or in some cases, at least new information, from what is previously known (and understood). That is, understanding can build upon currently held information, knowledge and understanding itself. In computer parlance, AI systems possess understanding in the sense that they are able to synthesize new knowledge from previously stored information and knowledge.
Wisdom... wisdom is an extrapolative and non-deterministic, non-probabilistic process. It calls upon all the previous levels of consciousness, and specifically upon special types of human programming (moral, ethical codes, etc.). It beckons to give us understanding about which there has previously been no understanding, and in doing so, goes far beyond understanding itself. It is the essence of philosophical probing. Unlike the previous four levels, it asks questions to which there is no (easily-achievable) answer, and in some cases, to which there can be no humanly-known answer period. Wisdom is therefore, the process by which we also discern, or judge, between right and wrong, good and bad. I personally believe that computers do not have, and will never have the ability to posses wisdom. Wisdom is a uniquely human state, or as I see it, wisdom requires one to have a soul, for it resides as much in the heart as in the mind. And a soul is something machines will never possess (or perhaps I should reword that to say, a soul is something that, in general, will never possess a machine).
Personally I contend that the sequence is a bit less involved than described by Ackoff. The following diagram represents the transitions from data, to information, to knowledge, and finally to wisdom, and it is understanding that support the transition from each stage to the next. Understanding is not a separate level of its own.
Data represents a fact or statement of event without relation to other things.
Ex: It is raining.
Information embodies the understanding of a relationship of some sort, possibly cause and effect.
Ex: The temperature dropped 15 degrees and then it started raining.
Knowledge represents a pattern that connects and generally provides a high level of predictability as to what is described or what will happen next.
Ex: If the humidity is very high and the temperature drops substantially the atmospheres is often unlikely to be able to hold the moisture so it rains.
Wisdom embodies more of an understanding of fundamental principles embodied within the knowledge that are essentially the basis for the knowledge being what it is. Wisdom is essentially systemic.
Ex: It rains because it rains. And this encompasses an understanding of all the interactions that happen between raining, evaporation, air currents, temperature gradients, changes, and raining.
Yet, there is still a question regarding when is a pattern knowledge and when is it noise. Consider the following:
  • Abugt dbesbt regtc uatn s uitrzt.
  • ubtxte pstye ysote anet sser extess
  • ibxtedstes bet3 ibtes otesb tapbesct ehracts
It is quite likely this sequence represents 100% novelty, which means it's equivalent to noise. There is no foundation for you to connect with the pattern, yet to me the statements are quite meaningful as I understand the translation with reveals they are in fact Newton's 3 laws of motion. Is something knowledge if you can't understand it?
Now consider the following:
  • I have a box.
  • The box is 3' wide, 3' deep, and 6' high.
  • The box is very heavy.
  • The box has a door on the front of it.
  • When I open the box it has food in it.
  • It is colder inside the box than it is outside.
  • You usually find the box in the kitchen.
  • There is a smaller compartment inside the box with ice in it.
  • When you open the door the light comes on.
  • When you move this box you usually find lots of dirt underneath it.
  • Junk has a real habit of collecting on top of this box.
What is it?
A refrigerator. You knew that, right? At some point in the sequence you connected with the pattern and understood it was a description of a refrigerator. From that point on each statement only added confirmation to your understanding.
If you lived in a society that had never seen a refrigerator you might still be scratching your head as to what the sequence of statements referred to.
Also, realize that I could have provided you with the above statements in any order and still at some point the pattern would have connected. When the pattern connected the sequence of statements represented knowledge to you. To me all the statements convey nothing as they are simply 100% confirmation of what I already knew as I knew what I was describing even before I started.

References:

Les radeaux de feu

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Lorsqu'un risque d'inondation les menace, les fourmis de feu s'accrochent les unes aux autres pour former un radeau vivant capable d'affronter les flots. Ce radeau est assez résistant pour surmonter les tourbillons sans sombrer. Emportées par le hasard des courants, elles finissent par accoster et, sauvées, reprennent alors leur marche en avant terrestre. Comment est née cette solution collective ? Certainement pas dans un bureau d'études ! Les fourmis savent-elles nager pour autant, et sont-elles individuellement conscientes de ce qu'elles font ? Non, la solution émerge de l'entremêlement de leurs actions individuelles. Comme les radeaux de feu, les entreprises sont des construits sociaux qui voguent sur les flots de l'incertitude. La puissance collective y est sans commune mesure avec les capacités individuelles, et les solutions naissent involontairement. L'impact des décisions de leurs dirigeants est finalement de peu de poids face à la force de ces émergences aléatoires. D'autant moins qu'à la différence des fourmis, chacun de nous construit sa propre analyse de la situation et prend les initiatives qu'il juge bonnes. Aussi le rôle majeur du dirigeant n'est-il plus tant de décider que de révéler la destination vers laquelle vogue le radeau, de responsabiliser ceux qui s'y trouvent, et de créer le climat de confiance indispensable à l'action collective. Il lui faut aussi accepter de ne pas tout comprendre, apprendre à se fier à ses intuitions et à les faire partager. Cette approche est nouvelle, et savoir ne pas décider ne s'improvise pas ! A travers de nombreux exemples, l'auteur passe en revue les principes et l'éthique utiles à l'art de "diriger par émergence".









Depuis longtemps, l'incertitude régnait, et la crise de 2008 est venue balayer les dernières illusions : chacun mesure aujourd'hui les limites de la prévision économique. Mais comment diriger une entreprise si l'incertitude est reine ? Faut-il renoncer aux projets durables et se contenter de gérer au jour le jour ? Mais comment donner alors un sens à l'action collective, attirer les talents et motiver les investisseurs ? Doit-on, au contraire, renforcer la discipline autour d'un objectif fort et fédérateur, derrière un leader charismatique ? Mais comment dans ce cas résister au gros temps et adapter son cap aux changements conjoncturels ? Pour sortir de cette tenaille, Robert Branche montre qu'une entreprise doit, tel un fleuve, se fixer pour objectif une mer, qui lui servira d'attracteur stable dans les aléas qui l'entourent. L'auteur propose trois pistes novatrices pour réussir dans l'incertitude : • Penser à partir du futur : on ne peut pas, en effet, comprendre vers quoi coule un fleuve en regardant les méandres de son cours. • Choisir sa mer une fois pour toutes : L'Oréal n'en a jamais fini de viser la beauté, ni Google l'information ou Nestlé l'alimentation. • Rechercher la facilité : sans l'appui de la pente naturelle du terrain, il est impossible de progresser dans la bonne direction au milieu des tempêtes, déluges ou sécheresses. Comme un fleuve impassible, l'entreprise tire ainsi parti des accidents du terrain pour gagner en force et résistance au fur et à mesure qu'elle progresse vers sa mer.




En quoi la période que nous vivons est une période de Renaissance ?

Quel projet pour la France et l'Europe ?

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Intervention de Robert Branche sur les 4 piliers d'un projet pour la France et l'Europe :
- Affirmer que la mondialisation est une bonne nouvelle,
- Faire du multiculturalisme une force,
- Créer avec les 4/5 pays européens proches de la France un noyau dense, uni et démocratique,
- Revoir la répartition des richesses en France

Il y a une catastrophe climatique majeure en route et rien n’est dit : lien entre taches solaires et refroidissement global actuel

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David Hathaway, directeur de recherche en physique solaire au centre Marshall Space Flight de la NASA à Huntsville en Alabama, a parlé dans le Wall Street Journal de la faiblesse du cycle solaire 24.
Je dirais qu’il sera le plus faible en 200 ans.


Hathaway est l’un des nombreux scientifiques qui se demandent pourquoi ce cycle est aussi faible et pourquoi la polarité des champs magnétiques solaires est désynchronisée. Normalement les champs magnétiques solaires s’inversent au maximum du cycle. Dans le cycle 24 cela n’est pas arrivé. Le pôle nord magnétique s’est inversé l’année dernière, donc actuellement il y a techniquement deux pôles sud sur le soleil car le pôle sud ne s’est pas encore inversé. (lien explicatif : http://www.astrosurf.com/luxorion/sysol-soleil-magnetique2.htm)
Hathaway et son équipe prédisent que le nombre de taches solaires pendant le maximum du cycle 24 sera d’environ 65 ce qui en fait le cycle le plus faible depuis 1906. S’il tombe juste un petit peu en dessous du niveau prédit, il pourrait alors être le plus faible en 200 ans.
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Pourquoi cela a-t-il de l’importance ?
Hé bien un nombre croissant de scientifiques de différents domaines ont rassemblé assez de preuves démontrant que l’état du soleil affecte le climat ici sur Terre et que plus le cycle solaire est faible et long, plus il fera froid sur Terre dans les dix années à venir ou même pendant plusieurs dizaines d’années.
Il y a une preuve qui confirme la théorie. Les cycles solaires ont une durée moyenne de 22 ans ; 11 ans qui amènent au maximum et 11 autres années ramenant au minimum après quoi un nouveau cycle démarre. Il est courant cependant de se référer à une durée moyenne de 11 ans du cycle solaire, exprimant le temps qu’il faut depuis le début du cycle jusqu’à son maximum.
Des données historiques vérifiées montrent que lorsque il y a eu un cycle solaire faible, du temps froid s’ensuit. On parle de ces périodes de froid comme des minimums. Il y en a eu plusieurs. Les scientifiques les connaissent grâce à l’analyse des anneaux des arbres, qui correspondent étroitement à l’activité solaire et à une analyse de carottes de glace qui enregistrent correctement des températures remontant à plusieurs milliers d’années. Ces données, couplées avec des observations directes autorisent à dessiner une image relativement précise.
Le minimum le plus connu est le minimum de Maunder, période entre 1645 et 1715 où une bonne partie de l’hémisphère nord a expérimenté des hivers glacials et des étés beaucoup plus frais que la normale. Juste avant le Maunder et pendant l’événement lui-même, les taches solaires étaient extrêmement rares et à une période ont disparu entièrement pendant une durée prolongée. Les cycles solaires sont restés modestes et 60 ans après le Minimum de Maunder s’est produit le minimum de Dalton.
Il faisait si froid que cette période, entre 1560 et 1850, devint connue comme le Petit Âge Glaciaire. Bien qu’on montre toujours la gentille image d’enfants patinant sur la Tamise quand on mentionne le Petit Âge glaciaire, le gel des rivières a entraîné et entraîne toujours de très sérieuses complications.
Le commerce était affecté car les bateaux et barges ne pouvaient entrer dans les ports, les cultures gelaient sur pied…ou étaient lessivées par les pluies torrentielles estivales et les gens mouraient de froid dans leurs maisons incapables de fournir une chaleur suffisante.
Tout ceci à la fois quand les gens savaient bel et bien comment vivre sans électricité. Imaginez cette situation aujourd’hui, des tempêtes de glace et des chutes de neige faisant tomber les lignes électriques semaine après semaine pendant l’hiver, et ceci se passant pendant des années et des années. Notre chaîne d’approvisionnement à flux tendu cesserait de fonctionner parce que les ordinateurs seraient hors service.
Plusieurs millions de personnes mouraient tellement de faim pendant la Grande Famine des années 1300 que les européens recoururent au cannibalisme pour nourrir leurs familles.
La planète ne s’est pas réchauffée depuis 1998. Les cycles solaires 21, 22 et 23 n’ont pas été particulièrement actifs – avec le cycle 23 qui a été le plus faible des trois. Avec le cycle 24 qui arrive encore plus faible, juste un peu au-dessus du cycle 23, il y a des raisons de s’inquiéter pour l’avenir.
Le cycle solaire 25, qui atteindra son pic entre 2022 et 2025 pourrait être selon Hathaway « le plus faible depuis des siècles ». Ce qui ne promet rien de bon. La NASA a publié cette information en 2006, pourtant le public n’a été averti en aucune façon de la nette possibilité d’un refroidissement. Il n’y a eu aucun conseil de la part des gouvernements pour faire une isolation de nos maisons contre le froid. Aucun conseil pour stocker de la nourriture au cas où la saison de pousse est touchée, rien. Ils continuent de promouvoir leur agenda du réchauffement, déterminés à soutirer leur dollars verts jusqu’au bout.
Les taches solaires ont besoin d’une certaine quantité d’énergie magnétique pour se former ; elle est déterminée en Gauss et les taches demandent environ 1500 Gauss pour se former correctement. Il y a des indications que le cycle 25 pourrait n’avoir aucune tache solaire, ce qui augmente la possibilité d’un froid intense pour encore vingt ans de plus.
Livingston et Penn ont étudié ce phénomène en profondeur.
Livingston et Penn ont observé le champ magnétique au point le plus sombre de toutes les taches solaires [au cours de leur fenêtre temporelle d'observation] et ont découvert que le champ moyen a diminué de 20 % en même temps que les autres effets décrits. Le « fond » d’alimentation semble s’interrompre à 1500 Gauss, seuil en dessous duquel les taches solaires semblent ne pas se former.
Il n’y a pas que Livington et Penn qui pensent de cette manière. Clette et Lefèvre ont écrit leur article pour le Journal of Space Weather et Space Climate début 2012 et le Pr Don Easterbrooke, professeur émérite à l’université de Washington, pense aussi qu’un rapide refroidissement est en marche.
Il y a une catastrophe climatique majeure en route et rien n’est dit.Aucun avertissement n’est donné par AUCUN gouvernement des pays de l’hémisphère nord.Ils savent tous que la possibilité est très réelle. Que les indicateurs d’une période prolongée de refroidissement sont forts, ils restent pourtant sans rien faire, récupérant leurs taxes carbone des entreprises, et les surtaxes écologiques sur les factures du fuel domestique. Ils s’obstinent sur l’agenda du réchauffement pour soutirer jusqu’au dernier dollar possible des citoyens qu’ils veulent laisser mourir et ils ne disent absolument rien. Le GIEC sert loyalement ses maîtres des Nations Unies. Les Nations Unies et le GIEC savent tous deux qu’il va y avoir des morts massives par l’apparition d’un refroidissement prolongé. Ils restent sans rien faire, laissant s’accomplir leurs cibles de l’Agenda 21 avec le climat.
L’élite a commencé à prendre ses dispositions il y a quelque temps. Ce n’est pas par hasard
si des gens comme Bill Gates sont des contributeurs majeurs de la banque de semences de Svalbard en Norvègeou que des groupes comme les Bilderberg se réunissent chaque année pour discuter de l’avenir, notre avenir, sans bien sûr aucune déclaration publique comme l’exige la règle de Chatham House (règle utilisée pour réglementer la confidentialité des informations échangées lors d’une réunion, NdT).Quand le temps viendra où quelque chose devra être dit, ce sera minimisé à un tel degré, sans mauvais jeu de mots, qu’une majorité de gens ne comprendra pas. Ils ne verront pas que « un ou deux degrés de refroidissement » dont parlera le gouvernement seront suffisants pour déséquilibrer l’ensemble. Ils n’imagineront pas que les gouvernements qui ont piqué une crise pour une température qui serait remontée de deux degrés, mais qu’une chute de deux degrés semblera ne présenter aucun problème.
Il n’y a rien que nous puissions faire avec un refroidissement climatique. Comme je l’ai déjà dit : c’est un cycle. Il y en a eu avant l’apparition de l’homme sur Terre et il y en aura d’autres. Tout ce que nous pouvons faire est de nous y préparer. Tout ce que vous avez pu mettre en stock ne sera pas suffisant. Récupérer chaque morceau de bois, c’est peut être ces morceaux qui vous empêcheront de mourir de froid.
Ceux qui sont dans la force de l’âge devraient penser à leur aptitude physique. Serons-nous capables de couper du bois et de le fendre dans dix ou même vingt ans ?
C’est quelque chose qui va impacter au moins la moitié de la planète et qui va durer pendant des semaines ou des mois, voire même des années ou des dizaines d’années.
C’est une chose à laquelle nous devons penser très sérieusement et pendant ce temps les élites qui restent sans rien faire à se frotter les mains jubilent à la pensée de deux milliards de moins de bouches inutiles à nourrir sur une planète qu’ils pensent être la leur et seulement la leur.
.(Chris Carrington est un écrivain, chercheur et conférencier avec une formation scientifique, technologique et écologique. Chris est éditeur de The Daily Sheeple, où cet article est publié à l’origine. Réveillez-vous, troupeaux !)

Some Cool and Weird Bus Stops You Probably Haven’t Seen Before

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We see bus stops daily, rushed with people, a normal looking sheltered place where frustrated human beings anxiously wait for their darling wagons but there are some bus stops out there in the world which can make you miss your bus because there are amazingly designed and one cannot resist checking them out again and again. [via Darkroastedblend] amazing bus stops  (1)
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La ville anti-sdf : un mobilier pas très urbain

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Pics métalliques, plots en béton, jardins de cactus, éclairage perturbant… Sous couvert de design, le mobilier urbain s’arme de tout un arsenal anti-SDF. Ou comment les centres-villes ont déclaré la guerre aux sans-logis. 
Capture d'écran de la page Flick'R du collectif Survival Group
Capture d’écran de la page Flick’R du collectif Survival Group
C’est une méthode qui ne dit pas son nom. Dans nos villes, sous couvert de design, le mobilier urbain s’arme de tout un arsenal anti-SDF. Jardinets de cactus, pics, barres métalliques, plots de béton. Autant d’équipements qui poussent comme des champignons le long des vitrines, dans les couloirs du métro ou devant les copropriétés. L’objectif : dissuader les personnes sans-abri de s’y asseoir ou de s’y allonger. C’est « l’air de rien », en s’inspirant de l’exemple précurseur de New-York, que les villes européennes se sont peu à peu dotées de ce type d’équipement anti-sdf.
Inventaire
Un phénomène qui n’a pas échappé à l’œil d’Arnaud Elfort. Avec son appareil photo, cet artiste plasticien arpente depuis plusieurs années le macadam parisien en constituant un véritable inventaire de ce mobilier urbain d’un genre nouveau. « Ces dispositifs anti-SDF sont apparus il y a une dizaine d’années dans le métro, quand les bancs ont été remplacés par des sièges individuels. Aujourd’hui, on en compte des centaines, de formes très variées, dans tout Paris », constate-t-il. Dernière innovation en date : les plans inclinés, qui bordent désormais de plus en plus de vitrines. Particulièrement discrets et terriblement « efficaces » : Essayez donc de vous asseoir sur un pan incliné à 45°…
Produit répulsif
Mais à qui doit-on ces joyeuses envolées urbanistico-sécuritaires ? Avant tout aux copropriétés et aux commerçants qui paient pour ce mobilier. La Ville de Paris, elle, se dit impuissante face à ses initiatives privées. Quand à la RATP, elle a été la première à introduire dans l’espace public parisien des équipements anti-sdf. Ailleurs en Ile-de-France, on ne manque pas d’idées pour faire déguerpir la misère. En 2007, le projet de la ville d’Argenteuil avait notamment marqué les esprits : C’est à coup de produit répulsif que le maire Georges Mothron entend alors disperser les sans-abris installés devant le centre commercial de la ville.  Face au tollé, il y renoncera finalement.

Un vrai poète cet Alban !

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Salut grosse vache (…) tu dois bien comprendre que je ne veux plus voir ta gueule et qu’il est hors de question que je débourse un centime pour ton licenciement ! ! ! ! !

Le 26/11/2013 par Philippe Ravisy
C’est ainsi que commence le mail envoyé par un employeur à une salariée qu’il ne voulait plus revoir après un arrêt de travail.
Nous ne résistons pas, tant ils sont stupéfiants, à la tentation de reproduire in extenso les termes de ce courriel tels qu’ils figurent dans le mémoire soutenu par l’employeur devant la Cour de cassation.
La Cour d’appel de Bordeaux ayant condamné l’employeur pour licenciement abusif, celui-ci a tenté de faire casser l’arrêt d’appel en prétendant que la salariée n’apportait pas la preuve qu’il était l’auteur du mail et en s’appuyant sur les dispositions du code civil posant les conditions de validité de la preuve des obligations contractées par courrier électronique.
La Chambre sociale de la Cour de cassation répond très justement que les dispositions invoquées par l’employeur ne sont pas applicables dans la mesure où le courrier électronique produit par la salariée ne l’avait pas été pour faire la preuve d’un acte juridique entrainant des obligations (un contrat ou un engagement unilatéral) mais celle d’un fait.
Or, l’on sait que l’existence peut être établie par tous moyens (de preuve), dont la force probante est appréciée souverainement par les juges du fond.
De cette mise au point effectuée par la Chambre sociale, on doit en retenir que les salariés peuvent continuer à produire les courriels qui leurs sont adressés par leur employeur lorsqu’ils souhaitent rapporter la preuve de faits, mais qu’il faudra se montrer vigilant lorsque le contenu du mail emportera modification d’un acte juridique (par exemple un avenant au contrat de travail).
Philippe Ravisy



Texte du courriel d’insultes envoyé par l’employeur dans cette affaire (les fautes d’orthographe ont été maintenues)


«  Salut grosse vache Alors t’es contente que Marjorie t’ai appelé ?
En tous cas sache que ca ne changera rien du tout ! ! ! ! j’attends toujours ta lettre de démission car après mon comportement tu dois bien comprendre que je ne veux plus voir ta gueule et qu’il est hors de question que je débourse un centime pour ton licenciement ! ! ! ! ! Et pas la peine que tu me casses les couilles avec tes conneries de prud’homme parce que moi j’ai un avocat et je t’enfoncerai encore plus que je l’ai déjà fais et crois moi c’est possible.
Alors ? ? ? toujours pas les boules d’avoir quitté sofinco et ton petit cdi tranquille !
je tiens quand même à te remercier grâce à toi j’ai pu monter ma boîte à moindre frais et qui aurait cru que tu serais assez naïve pour me suivre après que je t’ai recrutée pour Epargne sans frontière alors que je savais depuis des mois qu’on allait déposé le bilan ! !

Pauvre conne ! tu croyais vraiment que je t’avais recruté pour tes compétences ? Alors je te préviens envoie moi ta lettre et plus vite que ça, tu vas enfin bouger ton gros cul pour quelque chose ! ! ! ! !
Et t’avises pas d’essayer de me la faire à l’envers avec la Marjorie sinon tu vas voir ce que c’est du harcèlement, je vais te montrer ce que c’est moi une dépression grosse vache ! ! ! !
Alors ? ? ? ? ? ? tu regrettes toujours pas ? ? ? ? il aurait peut être été plus simple de coucher finalement ! ! ! l maintenant t’a plus rien, plus de boulot, plus d’argent et toujours pas de mec tu peux la faire ta dépression ! ! ! !
Juste pour info change de secteur je t’ai grillé chez toutes les banques tu feras plus rien dans ce métier.
A bon entendeur salut ! ! ! ! ! ! !
PS : tes heures sup tu peux te les foutre au cul.
Alban
 ».
Un vrai poète cet Alban !

Cassation Sociale 25 septembre 2013, n° 11-25884

À quoi ressemblera votre quotidien au travail en 2053?

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La technologie et ses innovations bouleversent complètement le quotidien au travail.
Comment s'organisera une journée de travail en 2053? Plusieurs experts se sont posé la question, et expliquent notamment que la retraite aura potentiellement disparu, ainsi que la hiérarchie dans les entreprises, tandis que l'alternance des métiers sera devenue la norme.

Imaginez: nous sommes en 2053. La notion de «bureau» a quasiment disparu, les usines ne sont peuplées que de robots, qui ont fait disparaître la notion de pénibilité au travail, les métiers manuels sont devenus minoritaires... À l'occasion du 40e anniversaire de l'Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail (Anact), célébré mardi, des experts, des syndicalistes ou des représentants du patronat se sont prêtés au jeu de se projeter 4quarante ans en avant, et d'essayer d'imaginer, ce qui va potentiellement changer dans notre quotidien au travail. Pour Jacques Froissant, fondateur du cabinet de recrutement Altaïde, les prévisions observées sont plutôt réalistes. «À la vitesse où la technologie accélère nos vies au quotidien, il est légitime de penser que le travail aussi, devra s'adapter», explique-t-il.
• Travailler plus longtemps, mais sur des périodes plus courtes. En 2053, «nous travaillons plus longtemps mais sur des périodes plus courtes», souligne Hervé Lanouzière à l'AFP, en réaction à l'augmentation de l'espérance de vie. «Certains scientifiques prétendent qu'il n'est pas absurde de penser que les enfants qui naissent aujourd'hui pourront vivre bien au-delà des 100 ans... Ce simple constat fait réfléchir à la façon dont la notion même de travail va être bouleversée!», explique Jacques Froissant.
• La «retraite» n'existera plus. Le concept de «retraite» sera complètement tombé en désuétude. À la CGT, Maryse Dumas souligne que la notion de retraite qui «recouvrait une idée de retrait de la vie sociale» a disparu et qu'au-delà de 60 ans - car le rythme biologique l'exige - les personnes sont libres de leur participation».
• Les robots auront pris le contrôle des métiers manuels (et auront supprimé la notion de pénibilité). Les robots ne nous auront pas débarrassés de toutes nos tâches, mais au moins une bonne partie. De nombreux métiers manuels auront disparu. «On disait déjà il y a 30 ans que les robots allaient prendre notre travail, ce n'est pas nouveau. Mais là, ça se concrétise. Des robots qui seront en vente dans cinq à dix ans seront en mesure de reproduire exactement les mêmes gestes qu'un humain... Et déjà actuellement, il y a de nombreuses usines qui sont simplement peuplées de robots, et sans présence humaine», observe Jacques Froissant. Une part «non négligeable» de la production est «prise en charge par des robots, des ordinateurs ou même des avatars» ce qui a «supprimé le concept de pénibilité».
• La notion de «bureau» et d'entreprise physique aura disparu. En 2053, nous «n'irons» plus au travail. Philippe Durance, chercheur au Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) explique que «la disparition du lieu de travail (...) touche quasiment toutes les catégories professionnelles». On travaillera depuis son domicile, dans des espaces de «co-working», dans les transports, dans les lieux de restauration, dans des parcs... Le «bureau» à l'ancienne existera peut-être, mais il sera la plupart du temps vide. Il sera un espace de travail aussi éphémère que les autres. «Pourquoi s'embêter à se rendre dans un lieu pour effectuer des tâches que l'on peut faire dans n'importe quel autre lieu?», questionne Jacques Froissant.
• Les «chefs» n'existeront plus, et l'avis de tout le monde sera pris en compte. Que ceux qui aspirent aujourd'hui à devenir des petits - ou grands - chefs se fassent une raison: les managers n'existeront plus, et les organigrammes complexes des entreprises auront disparu. «Les niveaux hiérarchiques seront au maximum de deux!», prédit Christian Leroy, représentant du Medef dans le Nord-Pas-de-Calais, qui explique aussi que la parole des salariés «sera systématiquement prise en compte», les représentants du personnel ayant «été intégrés dans les structures de gouvernance des entreprises».
• «Alterner» les métiers sera devenu la norme. Selon Maryse Dumas, les parcours professionnels ne seront plus linéaires et permettront «d'alterner des métiers, des fonctions, des filières différentes», avec des droits nouveaux «attachés à chaque personne» et «mis en œuvre tout au long de l'activité professionnelle». Une tendance dont les prémisses sont déjà visibles actuellement. «L'explosion des offres de formation et l'incitation à se reconvertir sont des éléments déjà très en vogue! De même que cumuler plusieurs activités professionnelles est aujourd'hui à la portée de n'importe qui!», insiste Jacques Froissant.
• La technologie au service de la surveillance. Certains responsables de l'Anact imaginent des cas où «les compétences sont validées par des tests génétiques», les neurosciences «ayant conforté l'idée de la différence femme-homme» ou un monde où la technologie est au service de la surveillance. Ainsi, dans certaines suppositions, «le télétravail ne pourrait être rendu possible que si l'opérateur accepte un implant intégré à l'avant-bras pour surveiller ses gestes en temps réel» et des ordinateurs permettent «de décompter du salaire le temps où le salarié gère ses mails et affaires personnelles».

Pour la finance et les RH, la DSI est frileuse et en plus désargentée

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Analyse : Les directions métiers sont d’accord : il ferait bon collaborer plus avec la DSI. Mais voilà, ces mêmes métiers, en particulier ressources humaines et finance, doutent des capacités de la DSI. Pire, ils la jugent même « frileuse » sur les nouveaux projets.
A tort ou à raison, entre la DSI et les directions métier, ce n’est pas toujours la chaude camaraderie. Pourtant, paradoxalement, s’il y a un point sur lequel ces directions semblent s’entendre, c’est bien justement sur les bénéfices d’une collaboration.
D’après une étude de Vanson Bourne pour SunGard AS, c’est même la quasi unanimité avec 94% des cadres dirigeants d’entreprises françaises estimant qu’une synergie offrirait un avantage compétitif. Bon alors, c’est quoi le hic ?
Collaborer c'est formidable. Mais qui le fait réellement ?
Une fois entré dans le détail, on constate que le plébiscite est en réalité un peu plus nuancé, en particulier d’un métier à un autre. Ainsi au sujet de la capacité (expertise et compétences) de la DSI  à instaurer « un environnement technologique approprié dans l’organisation », 70% des responsables du marketing se déclarent confiants - mais pas forcément en phase sur ce que doit être cet environnement.
Ils ne sont en revanche que 35% dans la finance – à laquelle est souvent rattachée la DSI d’ailleurs – et les ressources humaines à partager ce sentiment. Faut-il parler d’un désaveu ? Pas nécessairement. D’ailleurs, au sein même de la DSI, 35% des sondés en doutent eux aussi (53% croient en ces capacités).
Et les raisons de ces réserves s’appuient notamment sur des éléments objectifs. Pour l’informatique (70%), la finance (69%) et le marketing (75%), l’insuffisance des ressources de la DSI joue clairement en sa défaveur. Du côté des RH, on est plus circonspect sur ce point (38%), tout comme au sujet du poids trop prépondérant du quotidien.
La DSI accaparée par le quotidien et effrayée par la nouveauté ?
« Le fait que la DSI soit accaparée par ses activités au quotidien est également ressenti comme un frein par 49% de l’Informatique, 69% de la Finance, 75% du Marketing et 8% des RH » souligne ainsi l’étude.
Difficile de leur donner tort quand « 59% des répondants de la direction informatique ne travaillant pas étroitement avec les autres directions métiers, considèrent que leur rôle est de se concentrer sur la maintenance et non de soutenir la stratégie des métiers. »
Mais pour les dirigeants des ressources humaines, le problème majeur n’est ni celui des ressources ni encore moins la gestion de l’existant. Le constat est plus sévère. Les RH jugent en effet à 46% que la DSI est « frileuse »à l’idée de lancer de nouveaux projets.
Et c’est encore plus vrai pour la finance.  Si ce métier ne travaille pas plus étroitement avec la DSI, c’est essentiellement (85%) car ses représentants ont une mauvaise opinion de la volonté de celle-ci à engager de nouveaux chantiers. Réalité ou simple incompréhension ?

C'est le candidat qui choisit le recruteur

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Nous pourrions penser que la conjoncture donne l’avantage à l’employeur plutôt qu’au candidat, sur un marché de l’emploi où la demande domine sévèrement l’offre. Il n’en est rien. Le contexte ne fait qu’amplifier une tendance de fond bien réelle : le candidat a le choix de son employeur ! Nous anoblissions récemment le statut du candidat à travers un titre plutôt évocateur : "Quand le candidat devient client". Ce candidat, dont la courbe d’exigence croît, pour quantité de raisons valables, au point d’atteindre des niveaux que la croissance économique observe jalousement, inverse de toute évidence le rapport candidat/entreprise.

Extrêmement connecté, informé de tout et sur tout, disposant de quantité d’informations sur l’entreprise, jusqu’aux faits d’armes de ses dirigeants, aux pratiques de rémunérations ou de management, le candidat prend le pouvoir de décider – ou non - de rejoindre telle ou telle société. Et même si le web apporte son lot d’informations plus ou moins avérées, de critiques et de louanges plus ou moins fondées, les faits sont là, charge à l’entreprise d’apporter la preuve du contraire…

Attentif à tout, de l’accueil qui lui sera réservé à la qualité et à la transparence des échanges, de la solidité financière officielle aux commentaires officieux, de l’image employeur à la cote des dirigeants, des informations officielles disponibles aux témoignages d’employés, le candidat devient extrêmement sélectif et n’écarte plus aucun détail.

Le constat peut paraître alarmant : près d’un candidat sur deux se désengage d’un processus avancé de recrutement pour des raisons liées à la qualité du processus ou des interlocuteurs,à la transparence et au suivi, et de manière générale à la considération donnée à sa candidature.
Attention à ne pas traiter ce phénomène à la légère, il ne s’agit en rien d’un caprice. Rappelons par ailleurs que tout candidat est un client potentiel de l’entreprise et qu’il se fera "ambassadeur" ou "destructeur" de la marque, selon qu’il aura été bien ou mal considéré. Avons-nous une idée de l’impact financier négatif que représentent tous les candidats insatisfaits ?

Acquérir les meilleurs talents ne peut donc se faire selon les règles d’hier

Il est vital pour l’entreprise de sortir de l’ancienne relation dominante, de quitter les schémas arithmétiques et mécaniques du recrutement, pour conduire une démarche réfléchie et ambitieuse. Elle doit aujourd’hui déployer une approche humanisée et bienveillante de l’acquisition de talent, et faire concilier urgence et performance avec une gestion prévisionnelle solide.

Le candidat, aussi accessible soit-il, n’est plus aussi docile qu’auparavant. Qu’on se le dise, il a le choix de son employeur…
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