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15 stratégies étonnantes pour se démarquer au travail

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Se démarquer au travail Découvrez comment sortir du lot dans votre vie professionnelle en sortant des sentiers battus.
Nous aimons tous briller au travail et décrocher cette promotion que nous méritons. Mais, lorsqu'il s'agit de se démarquer, nous entendons toujours et encore le même conseil : prenez des initiatives, aidez les autres, impliquez-vous.
Il est temps de rafraîchir la liste. Voici 15 stratégies surprenantes et peu conventionnelles que vous pouvez utiliser pour transformer votre réputation sans relief en popularité exceptionnelle.
1. Soyez productif, pas occupé. Comprendre la différence entre ces deux concepts est crucial pour le succès de tout employé. Le gourou de la productivité, Tim Ferriss, souligne que de longues heures de travail ne constituent pas un bon baromètre en ce qui concerne l'effort, à la différence des résultats.
2. Ne fixez pas des buts, utilisez des systèmes. Un but, c'est une chose unique que vous souhaitez atteindre, comme courir un marathon. Un système, c'est la manière dont vous programmez les choses afin d'atteindre ce but, par exemple, votre programme d'entraînement hebdomadaire. L'entrepreneur James Clear affirme que les buts constituent finalement un frein tandis que les systèmes aboutissent à de vrais résultats et vous conduisent au succès sur le long terme.
3. Abordez les problème immédiatement. Attendre pour dire à votre chef qu'un projet a échoué ou que vous avez commis une erreur ne rendra pas les choses plus faciles. Tim Ferriss ajoute qu'aborder directement des sujets difficiles vous permet d'avancer.
4. Apprenez à dire "non". Lorsqu'on accepte trop de tâches et que l'on est trop sollicité, on n'aide personne, ni soi-même, ni l'entreprise,écrit l'inventeur Stephen Key. Savoir dire "non" ouvre des discussions franches et beaucoup plus productives. Cela montre également votre capacité à gérer les priorités et à fixer des limites.
5. Soyez un bon narrateur. Jeremy Zimmer, PDG de United Talent Agency, affirme que la première chose qu'il demande de faire à un candidat, c'est de lui raconter une histoire. "Si nous vendons quelque chose, nous devons être capable de communiquer d'une façon élégante et intelligente", explique-t-il.
6. Dans les réunions, soyez le premier ou le dernier à prendre la parole. Des recherches montrent que ce n'est pas tant la manière dont vous exprimez une idée qui compte mais le moment auquel vous la formulez. On se souvient mieux des choses qui arrivent en début ou en fin de liste. On oublie souvent ce qui reste noyé au milieu.
7. Soyez en permanence dans la moyenne. Le dessinateur de la bande dessinée Dilbert, Scott Adams, estime qu'il n'a pas rencontré le succès parce qu'il était la personne la plus douée artistiquement, la plus intelligente ou la plus drôle. Il possédait juste un bon mélange de compétences solides et complémentaires. N'être pas mauvais dans de nombreux domaines intéressants peut vous rendre exceptionnel.
8. Devancez les critiques. Pour vraiment vendre une idée à un client, un collègue, un chef, vous devez vous préparer aux questions et aux doutes qu'ils peuvent avoir. C'est pourquoi, Bob Pittman, PDG de Clear Channel Communications, affirme qu'il faut toujours anticiper la réaction de vos contradicteurs.
9. Conservez des périodes tampons dans votre programme. Le PDG de LinkedIn, Jeff Weiner, déclare qu'un de ses secrets en matière de gestion de temps est de programmer des périodes vides. Il bloque 60 à 120 minutes non planifiées par jour, qu'il utilise pour avoir un moment de répit et se mettre à jour sur d'autres projets.
10. Réduisez le temps alloué à vos projets. Une théorie de la productivité est que les gens prennent tout le temps qu'il leur est donné pour effectuer une tâche. Donc, si vous vous octroyez moins de temps pour effectuer une même tâche, vous l'accomplirez plus rapidement et aurez du temps libre.
11. Soyez empathique. Les relations entre collègues sont la clé de votre succès sur votre lieu de travail et il n'existe pas de meilleur moyen pour développer la loyauté qu'en recourant à l'empathie. "Ayez de la compassion et ouvrez-vous aux gens avec lesquels vous travaillez", conseille Deepak Chopra, fondateur de la Chopra Foundation.
12. Supposez en permanence que votre poste est menacé. Russel Wilson, le quaterback de l'équipe des Seahawks ayant gagné le Super Bowl, se rend compte que son poste n'est jamais garanti. Ce genre d'attitude vous permet de garder les pieds sur terre car vous ne savez jamais quand un jeune talent ambitieux cherchera à prendre votre place.
13. Faites de l'exercice pendant la journée. Mike Cassidy, directeur de la gestion de projets chez Google, déclare qu'il fait de l'exercice chaque jour. "Instaurer une séance d'exercice physique dans la journée de travail réduit le stress, vous garde en forme et c'est génial pour avoir du "temps à soi" pour résoudre les problèmes professionnels et personnels." Il suggère d'avoir des réunions tout en courant ou en faisant du vélo.
14. Rendez à César ce qui appartient à César. Les plus doués ne chantent pas leurs propres louanges. Au lieu de cela, ils se font passer pour des gens bien en mettant le doigt sur la réussite des autres. En se comportant ainsi, ils rendent les autres heureux et donnent une bonne image d'eux-mêmes.
15. Ayez une vie en dehors du travail. Un stress important est mauvais pour vous et pour votre efficacité. La fatigue vous ralentit et réduit la qualité de votre travail. C'est pourquoi, le magnat des médias Arianna Huffington affirme qu'il est important de s'accorder du temps pour se relaxer, se rassembler et s'éloigner du train-train quotidien.

Article de Alison Griswold. Traduction par Sylvie Ségui, JDN
Voir l'article original : 15 Surprising Tips For Standing Out At Work

The rising strategic risks of cyberattacks

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Article|McKinsey Quarterly

Research by McKinsey and the World Economic Forum points to a widening range of technology vulnerabilities and potentially huge losses in value tied to innovation.

May 2014| byTucker Bailey, Andrea Del Miglio, and Wolf Richter
More and more business value and personal information worldwide are rapidly migrating into digital form on open and globally interconnected technology platforms. As that happens, the risks from cyberattacks become increasingly daunting. Criminals pursue financial gain through fraud and identity theft; competitors steal intellectual property or disrupt business to grab advantage; “hacktivists” pierce online firewalls to make political statements.
Research McKinsey conducted in partnership with the World Economic Forum suggests that companies are struggling with their capabilities in cyberrisk management. As highly visible breaches occur with growing regularity, most technology executives believe that they are losing ground to attackers. Organizations large and small lack the facts to make effective decisions, and traditional “protect the perimeter” technology strategies are proving insufficient. Most companies also have difficulty quantifying the impact of risks and mitigation plans. Much of the damage results from an inadequate response to a breach rather than the breach itself.
Complicating matters further for executives, mitigating the effect of attacks often requires making complicated trade-offs between reducing risk and keeping pace with business demands (see sidebar “Seizing the initiative on cybersecurity: A top-team checklist”). Only a few CEOs realize that the real cost of cybercrime stems from delayed or lost technological innovation—problems resulting in part from how thoroughly companies are screening technology investments for their potential impact on the cyberrisk profile.
These findings emerged from interviews with more than 200 chief information officers, chief information-security officers, regulators, policy makers, technology vendors, law-enforcement officials, and other kinds of practitioners in seven sectors across the Americas, Europe, the Middle East and Africa, and Asia.1 We also drew on a separate McKinsey executive survey on cyberrisk, supplementing this research with an analysis of McKinsey Global Institute (MGI) data on the value-creation potential of innovative technologies. It showed that the economic costs of cybercrimes could run into the trillions of dollars.

Areas of business concern

From our interviews and survey research, four areas of concern emerged on how executives perceive cyberrisks, their business impact, and the readiness of companies to respond:
More than half of all respondents, and 70 percent of executives from financial institutions, believe that cybersecurity is a strategic risk for their companies. European companies are slightly more concerned than American ones. Notably, some executives think internal threats (from employees) are as big a risk as external attacks.
Equally worrisome, a large majority of executives believe that attackers will continue to increase their lead over corporate defenses. Sixty percent of the executives interviewed think the sophistication or pace of attacks will increase somewhat more quickly than the ability of institutions to defend themselves. Product companies, such as high-tech firms, are most concerned about industrial espionage. The leaking of proprietary knowledge about production processes may be more damaging than leaks of product specifications, given the pervasiveness of “teardown” techniques and the legal protections afforded to product designs. Service companies are more concerned about the loss and release of identifiable information on customers and about service disruptions.
According to McKinsey’s ongoing cyberrisk-maturity survey research, large companies reported cross-sector gaps in their risk-management capabilities. Ninety percent of those most recently surveyed had “nascent” or “developing” ones. Only 5 percent were rated “mature” overall across the practice areas studied (exhibit). Notably, we found no correlation between spending levels and risk-management maturity. Some companies spend little but do a comparatively good job of making risk-management decisions. Others spend vigorously, but without much sophistication. Even the largest firms had substantial room for improvement. In finance, for instance, senior nontechnical executives struggled to incorporate cyberrisk management into discussions on enterprise risk management and often couldn’t make informed decisions, because they lacked data.

Exhibit

A large majority of surveyed companies had nascent or developing cyberrisk-management capabilities.
Concerns about cyberattacks are starting to have measurable negative business implications in some areas. In high tech, fully half of the survey respondents said they would have to change the nature of their R&D efforts over time. There is noticeable concern, as well, that cyberattacks could slow down the capture of value from cloud computing, mobile technologies, and health-care technologies. Some 70 percent of the respondents said that security concerns had delayed the adoption of public cloud computing by a year or more, and 40 percent said such concerns delayed enterprise-mobility capabilities by a year or more.
Cybersecurity controls are having a significant impact on frontline productivity, too. About 90 percent of the respondents overall said that controls had at least a moderate impact on it. Half of the high-tech executives cited existing controls as “a major pain point” that limited the ability of employees to collaborate.
While there is broad agreement among executives that concerted efforts by policy makers, companies, and industry associations will be needed to reduce threats, there is considerable disagreement about how a consensus might take shape. And executives worry that new regulations may be grounded in outdated techniques and that regulators’ skills and capabilities may be insufficient.

A global economic penalty

Looking forward, if the pace and intensity of attacks increase and are not met with improved defenses, a backlash against digitization could occur, with large negative economic implications. Using MGI data on the technologies that will truly matter to business strategy during the coming decade, we estimate that over the next five to seven years, $9 trillion to $21 trillion of economic-value creation, worldwide, depends on the robustness of the cybersecurity environment (see sidebar “About the research”).
Consider, for example, cloud computing. In an environment where a solid cyberresilience ecosystem accelerates digitization, the private and government sectors would increase their use of public cloud technologies,2 with enhanced security capabilities allowing widespread deployment for noncritical workloads. Private clouds would handle more sensitive workloads. In this case, we estimate that cloud computing could create $3.72 trillion in value by 2020. However, in an environment of stepped-up cyberattacks, public clouds would be underutilized, given increased fear of vulnerabilities and higher costs from compliance with stricter policies on third-party access to data and systems. Such problems would delay the adoption of many systems and reduce the potential value from cloud computing by as much as $1.4 trillion.
These dynamics could play out in many areas, with the proliferation of attackers’ weapons leading to widespread and highly visible incidents that trigger a public backlash and push governments to enforce tighter controls, which could dramatically decelerate the pace of digitization. Indeed, our interviews and workshops with executives from a variety of sectors reinforce the view that the cybersecurity environment may be getting more difficult and that early elements of a backlash are already beginning to materialize.
For more on this research, download the full report,Risk and Responsibility in a Hyperconnected World (PDF–1,688KB).
About the authors
Tucker Bailey is a principal in McKinsey’s Washington, DC, office; Andrea Del Miglio is a principal in the Milan office; and Wolf Richter is a principal in the Berlin office.
The authors would like to acknowledge David Chinn, James Kaplan, Roshan Vora, and Allen Weinberg for their contributions to the development of this article.

How redesigning an icon is changing perceptions worldwide

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By Stacey Kole | Design | Apr 25, 2014
Some icons are so commonplace that we’ve come to not think twice about them—until they’re changed. One such image undergoing a makeover is the ‘International Symbol of Access’, commonly known as the ‘Wheelchair Symbol’.
There’s no doubt that the existing icon is easily recognizable; the problem, especially for the people it is supposed to represent, is that it portraits wheelchair users as passive and inactive—the original variation even depicted wheelchair users as headless. Combatting the problem is the Accessible Icon Project, an initiative designed to help change perceptions of wheelchair users by redesigning the classic icon to focus on the individual, rather than the disability. The new design is as easily recognizable, and ADA compliant but also features a person in control of their own movement and navigating the world under their own power.
features
Each element of the icon has been carefully judged to ensure the new symbol carries none of the negative connotations of the previous icon. Certainly the new design is less in-keeping with the 1960s view of people with disabilities that produced the original.
The Project encourages grassroots efforts to replace old signs with the new forward-thinking symbol. Both stencils and stickers are available for those that wish to enact change.
The Accessible Icon Project is a great example of how design can change the world for the better.



About the author
Stacey Kole is a freelance writer and former magazine editor. When she’s not crafting copy or chasing after her two little boys, Stacey can be found drinking coffee, tea, or anything else with caffeine. You can connect with her on LinkedIn or follow her on Twitter.More articles by Stacey Kole

7 Management Traits That Will Make All Your Employees Stay

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A few days ago, I published an article titled, "7 Management Traits That Will Make All Your Employees Quit." Now it is time to look at the other side of the coin. The previous column sparked a tremendous conversation surrounding leadership. Several commentators made the point that they don't think bad leaders are capable of change. I'm not so sure about that. I think people can evolve professionally and as a leader, just like they do elsewhere in life. Consider this quote from, Vince Lombardi, the legendary football coach of the Green Bay Packers, "leaders are made, they are not born. They are made by hard effort, which is the price which all of us must pay to achieve any goal that is worthwhile." I believe that with some effort put forth everyone can improve their leadership skills. That said, here are some managerial traits that good leaders exhibit that I think will encourage employees to stick around for the long haul.
Be Supportive
A good manager gives his/her employees the tools they need to be successful. A bad manager assigns tasks with little or no direction, and then becomes upset when the employee doesn't meet the expectation. Remember the Seinfeld episode where George doesn't hear his boss' instructions, but he is too afraid of what his boss might do if he asks for clarification? He spends the whole week pretending to know what to do. Two words come to mind here, lost productivity. Be approachable so your employees feel they can ask questions.
Understand and Harness the Power of Praise
Positive reinforcement is one of the most effective tools for a person in a leadership role. One of the biggest complaints from people that hate their jobs is they never receive any credit for a job well done. If you want your employees to like working for you and to perform their best, try giving them an atta a boy every once in a while when they do well. Nobody likes to work in a thankless environment.
Lead By Example
If you want your employees to take you seriously you must lead by example. If they question your work ethic, integrity, or skill to get the job done, then they are far less likely to do their best work themselves. As a leader you need to be blazing the path for success. If you are one of those managers that comes in late and leaves early, then you might want to rethink the example you are setting for your employees.

Show Appreciation by Hosting Some Team Building Events
Too many companies have cut out the Christmas party. Even if you don't do a Christmas party, you should put on some events throughout the year to show appreciation and increase morale. If there are budgetary concerns just do something simple. My company has an employee pot luck once every couple of months. Employees bring in dishes from home and then management buys the rest at a local grocery store. It is far from extravagant but the employees really enjoy it. It is a great way for the employees to get to know one another and feel a sense of community at the work place.
Listen to Your Employees
Make sure your employees voices are heard. In order to foster an environment of innovation, management must be open to their employees ideas. Nothing stifles progress more than shooting down your employees every idea. Pretty soon they will not even offer them. This will lead to stagnation within your company. Also, consider distributing an anonymous employee satisfaction survey. This will measure the temperature of your employees. If there are action items that need to be addressed they can be identified and action can be taken to improve the work environment. Companies that don't survey their employees are running the risk of never knowing what the problems are within the company. Thus, they have no way of fixing them.

Be Generous by Offering Incentives for Longevity
Studies show that companies that offer incentives for longevity have a greater retention rate. Whether it is a raise, bonus, additional time off, a better title, or a combination of the aforementioned, incentives for long tenure should be a part of your employee retention strategy.

Be Authoritative
Just like in my previous article when I discussed how nobody likes a micromanaging jerk, they don't like a wimpy pushover for a boss either. You can be authoritative; and, still go about it with integrity and respect. Your employees need to know that there is someone very competent at the helm. I guarantee you that Lombardi's players knew who the boss was, and they respected him for the hard work he put in.
Well there you have it. Last time, many of you said that you learned the most from a negative experience on what not to do. Can we learn just as much from a top performing manager as we can from the worst one? I also heard from a lot of you that were like me, and; had an experience with a bad boss. Have you had an experience with a good boss that has helped you develop your own management style? If so, what attributes did they exemplify?
"Perfection is not attainable. But if we chase it, we can catch excellence." Vince Lombardi

Le management fait sa révolution

EFT

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logoBienvenue sur la page EFT...

Emotional Freedom Technique
Technique de libération émotionnelle

Le bien-être à portée de mains...
Pour une séance EFT avec Skype, clique sur le lien ci-dessous:

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Présentation d'EFT

"La cause de toute émotion négative est une perturbation du système énergétique corporel."
Gary Craig, fondateur d'EFT

eft
EFT, parfois aussi surnommé "l’acupuncture émotionnelle sans aiguille", est un outil simple, naturel et efficace de libération émotionnelle.
Né de la rencontre de l’acupuncture et de la kinésiologie, EFT cible les causes du déséquilibre, stimule les points d’acupuncture par le tapotement, rétablissant ainsi la bonne circulation énergétique dans les méridiens perturbés.
EFT s’adresse à toutes sortes de douleurs physiques et émotionnelles, aux angoisses ou phobies, aux problèmes de poids ou de dépendances, aux défis relationnels ou professionnels...

Atelier EFT

L'atelier d’initiation pratique et théorique sur un week-end permet de maîtriser cette méthode et de l’appliquer dans le cadre d’un usage personnel ou familial.
Des matinées EFT durant l'année offrent ensuite la possibilité de réviser, d’approfondir l’art de délivrer EFT et de l’expérimenter sur des cas pratiques.

Programme de l'Atelier EFT

Première partie - EFT du rivage...
eft

EFT permet de larguer des amarres émotionnelles et de voguer plus librement vers de nouveaux rivages. Ce n’est cependant pas une solution miracle. Certaines problématiques demandent du doigté et de la patience...
Cette première partie de l'atelier est une prise en main de l'outil EFT. Nous introduirons la dimension énergétique qui est la toile de fond du processus de guérison et nous nous approprierons la "recette de base" EFT.
Nous commencerons à aborder aussi les principaux obstacles à l'efficacité d'EFT: l'inversion psychologique, l'importance d'être spécifique et de reconnaître les différents aspects d'une douleur physique ou émotionnelle, la présence de toxines...
Deuxième partie - EFT en haute mer...
eft

Dans cette partie, nous verrons comment quitter le rivage et voguer en haute mer: soit passer d'un EFT "mécanique" vers l'art de délivrer un EFT plus intuitif et créatif.
Nous apprendrons également quelques stratégies pratiques: "Traquer la douleur", la technique du scénario, les techniques de réduction de l'intensité émotionnelle, la loi d'attraction avec EFT, EFT à distance...
Troisième partie - EFT des profondeurs...
eft

Enfin dans cette dernière partie, nous explorerons quelques pratiques puissantes de transformation personnelle avec EFT: Pratique du don de guérison et d'amour, Processus de paix personnelle, "Pratique du Bodhisattva"...
Si tu désires organiser un atelier EFT dans ta région, contacte 5 souffles par l'intermédiaire duFormulaire de contact.
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  • Protocole et manuel EFT

    Tableau EFT
    (Clique sur l'image pour l'agrandir)
    Tableau EFT

    Protocole de la recette de base d'EFT (version courte)

    Point 1. Évaluation du stress ou de la douleur

    Cibler le problème, l'émotion négative, la douleur, la peur...
    Visualiser la situation, projeter mentalement le film de l'événement perturbateur.
    Évaluer le stress sur une échelle de 0 à 10.

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    But : Permet d'être le plus spécifique possible, de cibler le problème au plus près
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    Point 2. La mise en scène

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    Dire l'affirmation ciblée sur le problème:
    "Même si j'ai .............. (nommer brièvement et spécifiquement le problème), je m'accepte profondément et complètement."

    Exemple: "Même si j'ai une douleur aigüe à l'épaule gauche, je m'accepte profondément et complètement."

    Tout en tapotant le "point karaté" sur le tranchant de la main.
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    But : Indiquer au système énergétique sur quoi on va travailler (placer l'intention), tout en mentionnant que c'est OK de le faire maintenant.

    Point 3. La séquence de tapotements

    Enchainer par le tapotement des 8 points d'acupuncture avec l'extrémité de l'index et du majeur (environ cinq ou sept fois chaque point) en allant du haut vers le bas.
    Garder le problème à l'esprit en répétant sur chaque point un bref énoncé rappel du problème.
    Exemple: "douleur aigüe à l'épaule gauche"

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    1. Sommet du crâne
    2. Début du sourcil
    3. Coin de l'œil
    4. Sous l'œil
    5. Sous le nez
    6. Creux du menton
    7. Début de la clavicule
    8. Sous l'aisselle
    (9. Sous le sein)

    But : Traiter le problème en rééquilibrant la circulation énergétique dans le système des méridiens

    Point 4. Évaluation finale

    Penser à la problématique en réévaluant la douleur ou le stress de 0 à 10.
    Si encore du stress refaire la procédure.
    Si le problème persiste après plusieurs passages et que l'intensité plafonne sans descendre vers 0, "recibler" en cherchant des problèmes ou des évènements liés (travail de détective).

    But : Permet de tester l'efficacité de la procédure et de voir s'il ne faut pas travailler d'autres aspects liés au problème.
    Cette recette de base raccourcie convient très bien dans la plupart des cas.
    Il existe une recette de base plus complète. C'est celle enseignée originellement par Gary Craig.
    Par la suite, avec l'expérience, il l'a simplifiée et raccourcie tel que présentée ci-dessus.
    La méthode complète contient également les points d'acupuncture de la main et un travail d'équilibrage des deux hémisphères du cerveau avec des mouvements oculaires.
    Si tu utilises surtout la méthode raccourcie et que pour un problème particulier tu ne sembles pas progresser, reviens à la recette de base complète.
    Il est possible que pour tel ou tel problème, la gamme des 9 stimulations du cerveau ou le tapotement d'un point du doigt soient les clés nécessaires pour faire sauter le barrage énergétique et débloquer la situation.
    Ci-dessous, tu peux télécharger le protocole complet et consulter des manuels en doc PDF.


    pdfclic
    Protocole EFT
    Recette de base complète
    2 pages


    pdfclic
    Manuel EFT de Gary Craig
    Traduction française, 103 pages


    pdfclic
    The EFT free Manual
    Collaboration de plusieurs thérapeutes (2010-2011)
    45 pages en anglais


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  • EFT avec les enfants

    EFT marche merveilleusement bien avec les enfants.
    Il suffit d'être un peu créatif et d'adapter la méthode en fonction de leur âge.

    Pour les plus petits, tu peux par exemple leur montrer les sept ou huit points magiques à tapoter que t'a appris un ami magicien.

    eft

    Utilisez un vocabulaire qu'ils comprennent, par ex. pour la mise en scène:
    "T'as fait une bêtise" ou "T'as un gros chagrin, c'est pas grave maman t'aime très fort" ou "c'est OK".

    Une belle pratique avant de s'endormir…
    Demande à ton enfant de raconter les bons et les mauvais moments de sa journée tout en lui tapotant doucement les points.

    Pour les ados, c'est parfois moins évident...
    S'il y a trop de résistance à tapoter directement avec l'ado, pratique EFT à distance:
    Pense à l'ado et à ses problèmes tout en tapotant sur toi-même.
    Tapote aussi sur tes problèmes et tes tensions par rapport à ton enfant, et observe comment tes rapports avec lui évoluent.
    Eft à distance
    Le pouvoir de l'intention...
    Tapote sur toi en pensant à la personne ou visualise que tu tapotes sur la personne à distance.
    Expérimenter EFT sur tout !
    Les petits bobos, les problèmes de santé, les mémoires douloureuses, les phobies, les angoisses, les problèmes à la maison, en couple, au travail…

    Tapoter sur soi, sur des proches, des amis (directement ou à distance).
    Expérimenter et observer ce qui se passe.
    Des fois ça marchera super bien et d'autre fois, peut-être pas du tout.
    Ne te décourage pas. Prends-le comme un jeu et les faux-pas comme des opportunités d'apprentissage.

    C'est en forgeant qu'on devient forgeron, c'est en tapotant qu'on devient… tapoteur!
    eftQuelques stratégies
    quand EFT ne marche pas...


    pdfclic
    Stratégies EFT
    2 pages


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  • Dossier toxines et candidose

    Reconnaitre la présence de toxines
    eft
    Les toxines ne sont pas présentes dans la plupart des cas.
    Mais il arrive qu'elles perturbent le système énergétique et bloquent toute tentative de rééquilibrage.
    Elles sont même parfois la cause du problème.
    Par exemple, elles provoquent des variations d'énergie (un peu comme un yoyo): on est plein d'énergie ou agité et quelques minutes plus tard on est fatigué et abattu.

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    Elles sont souvent présentes dans les états dépressifs. Elles peuvent même les déclencher. Par exemple, une personne a pu régler son problème de dépression en éliminant simplement les céréales de son régime alimentaire, sans recourir à EFT, ni au médicament.

    En règle générale, plus l'état pathologique est grave, plus la personne sera allergique à la nourriture et à l'environnement.


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    On peut tester quelles sont les substances qui nous sont toxiques à l'aide du test musculaire (kinésiologie) ou en consultant un allergologue (qui traite ces questions de réactions allergiques à la nourriture ou à l'environnement).

    Attention, la présence de toxine ne signifie pas nécessairement qu'il y a une réaction allergique (de type éruption cutanée, démangeaison, étouffement, bouffée de chaleur…).
    L'action est souvent plus sournoise et souterraine: les toxines perturbent temporairement le système énergétique et à la longue peuvent l'épuiser en l'empêchant d'atteindre un état d'équilibre.


    Un bon moyen pour trouver ce qui peut être toxique est de se poser simplement la question.
    Intuitivement on soupçonne que l'on ne supporte pas bien telle ou telle substance.

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    Par exemple est-ce que tu te sens lourd, est-ce que tu as besoin de faire une sieste chaque fois que tu prends tel aliment?

    Comment procéder avec les toxines?
    Si tu as de bons résultats avec EFT, cela signifie que les toxines ne sont pas un gros problème pour toi.
    Si par contre tu as vraiment l'impression d'être bloqué avec un problème de santé et que rien ne marche, élimine pendant quelques jours une ou deux substances que tu soupçonnes être toxique et continue avec EFT. Vois s'il y a une amélioration, sinon essaye d'éliminer autre chose.
    Une autre approche consiste à traiter les substances toxiques avec EFT.

    Traiter les toxines avec EFT:
    Avec EFT, on ne traite pas les symptômes de la réaction allergique mais la perturbation énergétique.
    Tiens la substance (ou le nom de la substance sur un papier) contre le plexus ou l'estomac et commence la recette de base:
    "Même si mon corps réagis négativement à… (nommer la substance), je…"
    "Même si je suis affecté par…"
    "Même si mon corps est allergique à…"

    Ce sont souvent des problèmes émotionnels non résolus qui empêchent le corps de gérer et d'éliminer naturellement les toxines.
    Si nécessaire, cherche quelle émotion est derrière la réaction allergique et traite-la avec EFT.
    Par exemple, les aspects de peurs, angoisses, refus du monde extérieur, sentiment d'insécurité: "Le monde est un lieu dangereux".
    Ou cherche parfois un événement traumatique du passé (même si à première vue il n'a pas l'air d'être lié à l'allergie).

    Après traitement, tester (prudemment) le résultat en s'exposant progressivement à la substance ciblée.

    À souligner:
    N'importe quel symptôme physique ou émotionnel peut indiquer une réaction à la nourriture ou à l'environnement: anxiété, maux de tête, arthrose, hyperactivité, toux chronique, fatigue, dépression, problèmes digestifs, yeux irrités, difficulté de concentration, douleurs musculaires, difficultés respiratoires, problèmes de poids…

    N'importe quelle substance peut causer une réaction allergique, même des aliments bio, des compléments alimentaires "bon pour la santé", des herbes aromatiques… sans oublier la présence de métaux dans le corps: plombage, prothèse…
    Parfois, il ne faut pas se fier aux apparences: tu n'as peut-être aucun problème avec des frites et un hamburger, mais un verre de lait ou une banane peuvent te perturber!
    Souvent les substances auxquelles on est dépendant, donc que l'on consomme le plus, sont toxiques pour nous!
    Parmi les aliments qui causent le plus souvent des réactions, on trouve: le blé, les produits laitiers, le sucre, le soja, les cacahuètes, le maïs, les œufs, les céréales, les levures, les aliments avec du gluten…

    Pour illustrer ce chapitre sur les toxines, voici deux tableaux impressionnants extraits d'une étude américaine sur les troubles du comportement et l'hyperactivité chez l'enfant.

  • À gauche: avant la prise de l'aliment toxique
  • Au centre: après la prise
  • À droite: après traitement de la réaction allergique

  • Premier tableau: variation des dessins d'un enfant de 3 ans exposé au lait

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    Deuxième tableau: variation de l'écriture d'un enfant de 4 ans exposé aux oeufs

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    Un cas spécifique d'intoxication: la candidose

    La candidose est une infection chronique qui touche de plus en plus de monde. Elle est favorisée entre autre par une alimentation moderne trop sucrée et oxydante, par l'abus de la consommation de médicaments et d'antibiotiques, par le stress.
    Cela entraîne un déséquilibre de la flore intestinale et un affaiblissement du système immunitaire qui permettent à des champignons de type levure comme le candida albicans de proliférer dans l'appareil digestif et se propager par voie sanguine dans l'organisme.
    Normalement ces levures vivent en symbiose dans le système digestif, mais leur prolifération entraîne un sentiment général de mal-être et des symptômes pathologiques: colites intestinales (avec gaz, ballonnements...), fatigue anormale, allergies aggravées, boulimies, envies de sucré, problèmes gynécologiques, respiratoires, dermatologiques (eczéma, démangeaisons, psoriasis, mycoses...), état dépressif, troubles du sommeil, de l'humeur...

    En présence d'une candidose, EFT ou toute autre thérapie n'obtiendra que peu d'effets positifs jusqu'au traitement spécifique du problème.
    Protocole de base pour traiter naturellement la candidose:

    Le traitement peut être assez long (plusieurs mois) suivant l'importance de l'infection. Pour les états graves, il est préférable de demander l'avis d'un thérapeute compétent et adapter selon les cas.

    Important: changer les habitudes alimentaires!
    La partie indispensable du traitement, mais aussi la plus difficile, surtout les premiers jours. Après quelque temps, on commence à retrouver énergie et vitalité.

    Éviter le sucre sous toutes ses formes même naturelles (le candida se nourrit de sucre), les levures et ferments (pain, bière...), les produits laitiers (exception: fromage de chèvre ou brebis, lait de jument, lait de riz, de soja).
    Limiter la consommation d'alcool, de viande (préférer le poisson, les volailles et l'agneau).
    Éviter les céréales riche en gluten (remplacé le pain par du pain azyme, pita, zwiback, wasa...) et consommer plutôt du riz, du sarrasin, du quinoa...
    Consommer de préférence des légumes frais crus ou cuits, des graines germées, des salades, des soupes de légumes.
    Éviter les boissons sucrées, gazeuses et remplacer le plus possible le café et le thé noir par des tisanes, des tasses d'eau chaude avec du jus de citron pressé, des jus de légumes frais ou du thé vert.

    Commencer le traitement par 3 ou 4 irrigations coloniques.

    Prendre des probiotiques (2x par jour) pour reconstituer la flore intestinale (p.ex. Lactobat Omni Fos).

    Le matin au lever: presser un demi citron dans une tasse d'eau tiède, couper une gousse d'ail en petits morceaux et les avaler sans mâcher en faisant descendre avec la boisson tiède (cela évite les relents d'ail dans l'haleine).
    Prendre directement en bouche 1 ou 2 gouttes d'huile essentielle Tea-tree au moment du brossage des dents.
    Extraits de pépins de pamplemousse (2x par jour: 15 gouttes dans un verre d'eau).

    Prendre en alternance (1 matin l'un, 1 matin l'autre) les 2 médicaments de base de SANUM contre la candidose (se trouvent en gélules, en gouttes ou suppositoires):
    Albicansan ® s’impose comme le traitement de base de toutes les candidoses chroniques.
    Fortakhel ® se révèle un complément actif pour les candidoses vaginales, les eczémas mycosiques, et les candidoses digestives.

    Compléments alimentaires (vitamines et acide aminés):
    Burgerstein TopVital et Burgerstein Omega-3
    Éventuellement une solution de type homéopathique pour soutenir le travail d'élimination du foie (p.ex. la marque CERES) et de drainage (p.ex. la marque PEKANA).

    Conseil pour restaurer la flore intestinale: éliminer autant que possible les antibiotiques.

    pdfclic
    Protocole de traitement de la candidose
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    Ouvrage de référence sur la candidose:
    "Je me sens mal, mais je ne sais pas pourquoi."Éd. 3 Fontaines. Dr Ph G Besson
    Liens Internet contenant un dossier complet sur la candidose:
    * Sanum
    * Atelier Santé (avec questionnaire pour diagnostiquer la candidose)
    Exemple de site proposant l'irrigation colonique:
    * Irrigation du colon


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  • Symbolique corporelle

    Il peut s'avérer utile lors d'une séance EFT de reconnaître ce que la douleur veut nous dire.
    Voici quelques pistes...

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    Hémisphère droit du cerveau
    Il gère les expériences, le "pourquoi", les sensations, le ressenti, les perceptions du monde intérieur.

    Des douleurs ou des tensions sur le côté droit du corps signalent plutôt des perturbations du Yin intuitif, affectif et créatif: le principe féminin, le côté qui reçoit, le "savoir-être", la difficulté face aux changements intérieurs, le manque de reconnaissance affective…

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    Hémisphère gauche du cerveau
    Il analyse et gère le "comment", les connaissances acquises, le temps, les faits, les perceptions du monde extérieur, les concepts, les mots et les nombres, le raisonnement.

    Des douleurs ou des tensions sur le côté gauche du corps signalent plutôt des perturbations du Yang rationnel, concret, et analytique: le principe masculin, le côté qui donne, le "savoir-faire", la difficulté face aux changements extérieurs, trouver sa place dans la société, construire sa vie concrètement…


    Voici une vidéo assez intense et surprenante d'une conférence de la neuro-anatomiste Jill Bolte Taylor (sous-titrée en français).
    Cette scientifique de formation a transmis dans un livre (My Stroke of Insight - Voyage au-delà de mon cerveau) sa propre expérience d'une attaque cérébrale et ces effets sur la perception de la réalité.
    D'après ce document il semble évident que le Qigong favorise l'hémisphère droit du cerveau qui serait l'une des clés de la perception de l'énergie.
    Durée : 18 minutes


    Les articulations
    Les articulations sont les lieux où s'inscrivent les changements de direction, les transformations, les capacités à évoluer et avancer dans la vie.
    Elles sont signe d'un cheminement fluide et harmonieux ou au contraire rigide et conflictuel.
    Elles se grippent, se bloquent, se coincent parfois pour résister aux évènements qui bouleversent notre vie.
    Comme des ponts partiellement écroulés, elles entravent alors la libre circulation de l'énergie.
    Bloquées, elles séparent et isolent.
    "Déliées", elles rassemblent et unissent: le pied "pousse" le sol, la force monte dans les jambes, le bassin dirige la poussée vers les extrémités, la main bouge. Ainsi le pied et la main sont liés dans un rapport ininterrompu.

    L'épaule
    Porteuse des joies et des peines, des responsabilités et des insécurités, elle invite le bras à accueillir et embrasser la vie, à nous prendre en charge et à agir avec souplesse et légèreté.

    Le coude
    Il représente la liberté d'agir, la facilité à changer de direction, à trouver notre place.

    Le poignet
    Il manifeste la volonté d'agir, de saisir pleinement la vie et les opportunités avec souplesse.
    Il invite la main à toucher l'autre et le monde, à donner ou à recevoir, à exécuter une tâche, à laisser une trace.

    La hanche
    Pourvoyeuse d'équilibre, initiatrice d'une direction pour avancer dans la vie, elle invite la jambe à se déplacer dans le monde de façon autonome et stable, à aller à la rencontre des autres avec ouverture.

    Le genou
    Il manifeste notre degré de flexibilité, notre capacité à plier pour amortir les chocs, notre humilité.

    La cheville
    Pont entre soi et la terre, elle exprime notre capacité d'avancer en restant ancré, enraciné, de nous appuyer sur nos valeurs et nos propres ressources, de changer de direction.
    Elle invite le pied à cheminer dans la vie avec confiance, souplesse et stabilité.

    Les six articulations correspondent par pair: l'ouverture de l'épaule fait écho à celle de la hanche, celle du coude à celle du genou et celle du poignet à celle de la cheville.

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  • Un exemple concret :
    EFT pour arrêter de fumer

    Voici quelques conseils pour aborder avec EFT tous les problèmes de dépendance, dans ce cas précis la dépendance à la cigarette.

    Point 1. Objectif

    Avant tout, fixe un objectif dans le temps: donne-toi au moins un mois pour expérimenter EFT avec la cigarette et essaye de tapoter tous les jours.

    Point 2. Peur de l'échec

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    Tapote sur les blocages lié à la peur d'échouer, p.ex.:
    "Même si ça ne marche jamais (même si je n'y arriverai jamais), je choisis de me donner une nouvelle chance avec EFT et d'expérimenter pendant un mois."
    "Même si je n'ai pas assez de volonté pour y arriver, je m'accepte complètement."
    "Même si aujourd'hui j'ai oublié de tapoter, je m'accepte…"
    "Même si j'ai recommencé à fumer aujourd'hui après avoir arrêté pendant deux jours, je m'accepte…"

    Point 3. Gérer l'envie

    Tapote régulièrement quand vient l'envie de fumer, si possible plusieurs fois par jour.
    Évalue ton envie de 0 à 10, puis:
    "Même si j'ai (terriblement) envie d'une cigarette (d'une clope), je m'accepte profondément et complètement."
    Réévalue de 0 à 10, et fais une ou deux rondes supplémentaires avec:
    "Même si j'ai encore…" et "Restant d'envie de fumer"

    Ne pas se décourager si ça ne marche pas toujours, et que l'envie subsiste: fume ta cigarette sans culpabiliser.
    (Refais une ronde de tapotement avec le point 2 sur la peur de l'échec.)

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    Évite d'aller contre l'envie de la cigarette par un effort de volonté, cela crée un conflit qui renforce encore le désir.
    Avec EFT, on ne va pas lutter contre, on cherche simplement à rétablir l'équilibre énergétique (et on verra bien si oui ou non ça affecte le besoin de fumer).

    Remarque:
    Les paragraphes 2 et 3 sont importants pour neutraliser l'Inversion Psychologique.
    Il faut donc les pratiquer régulièrement pendant un mois.
    Attention, l'Inversion est un auto-sabotage, on trouvera donc toujours une excuse valable ou une justification pour ne pas tapoter à tel ou tel moment!
    Mais si on persiste, l'Inversion devrait perdre de sa force au bout de quelques jours déjà.

    Point 4. Le travail de fond

    Derrière toute dépendance, il y a un problème d'anxiété, de mal-être ou de manque émotionnel.
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    En fait, la cigarette neutralise de façon temporaire (et sans les résoudre) ces charges émotionnelles négatives.
    Il faudra donc adresser régulièrement ces problèmes avec EFT.
    Tapote sur tous les stress et les problèmes de ta vie actuelle, les charges émotionnelles du passé, les souvenirs d'événements perturbateurs.
    Tapote chaque jour sur un ou deux problèmes de fond.
    Si tu persistes avec ce point 4, il y aura un moment (après une semaine ou deux) où tu vas remarquer deux choses:
    1. La cigarette n'aura plus le même goût, la même odeur.
    2. Tu vas commencer à "oublier" de fumer à certains moments de la journée ou ne tirer que quelques bouffées sur ta cigarette sans vouloir la terminer.

    Note qu'on est pas du tout dans un effort de volonté. Le système énergétique se rééquilibre, les charges émotionnelles se neutralisent.
    Ton corps va comprendre que tu as trouvé un outil pour gérer ton stress et tes angoisses et qu'il n'a plus besoin de la cigarette.
    Tu seras surpris de réaliser qu'arrêter de fumer est très facile pour le corps une fois que le besoin émotionnel est désamorcé.

    Point 5. L'entraide

    Un dernier point pour augmenter les chances de succès:
    Comme il y a risque d'auto-sabotage, trouve une personne qui désire aussi arrêter de fumer et commencez ensemble.
    Contactez-vous par mail ou téléphone par exemple deux fois par semaine pour vous motiver ou vous remettre sur les rails et échanger vos observations. (Pourquoi ne pas vous rencontrez quelquefois pour une séance d'EFT à deux: l'autre a souvent plus de recul pour voir nos problèmes.)

    Remarques:
    Cette procédure est valable pour toutes les dépendances. Elle peut être beaucoup plus rapide ou plus longue, ça dépend de la complexité du problème (p.ex. des envies de chocolat sont moins complexes qu'un problème d'alcoolisme).
    La régularité et la persistance sont des clés pour vaincre les dépendances.

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  • Les 18 Règles De Vie du Dalai-Lama

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    1. Prenez en compte que le grand amour et les grandes réussites impliquent de grands risques.
    Le risque est impliqué dans chaque grande occasion de la vie. S’il n’y avait pas de risques, alors tout le monde agirait, ce qui rendrait les gens « ordinaires » et non « grands ». Démarquez-vous des autres comme celui qui peut non seulement prendre des risques, mais qui apprécie de le faire.

    2. Lorsque vous échouez, n’échouez pas la leçon.
    Si vous oubliez ce que vous avez appris à ne pas faire, vous serez condamnés à répéter vos actions. Plus important encore, ne craignez pas l’échec. Car l’échec est le précurseur de la réussite. Rien de grand ne s’est accompli sans échec.
    Le but de la vie n’est pas que nous soyons parfaits, mais que nous devenions la meilleure version possible de nous-même. Il est plus important d’être authentique qu’infaillible, et nous gagnons à écouter notre instinct. Les seules vraies erreurs sont celles que nous commettons à répétition. Les autres sont des occasions d’apprentissage.
    3. Suivez les trois R :
    Respect de soi – La confiance est la clé de la réussite et si une personne ne se respecte pas, vous ne pouvez pas croire en elle. Ainsi, si vous ne vous respectez pas, vous ne pouvez pas réaliser de grandes choses puisque vous ne pouvez respecter les autres.
    Respect des autres – Et vous serez respectés en retour. Si vous ne retournez pas le respect des autres, certains présumeront qu’ils ne valent pas la peine d’être respectés, et de ce fait, ils ne se respecteront pas.
    Responsabilité pour toutes vos actions – Vous êtes seul responsable de vos sentiments, de vos actions, de votre réussite, etc. Vous contrôlez totalement votre vie, il ne faut pas essayer de blâmer les autres pour ses erreurs et ses malheurs.
    4. Rappelez-vous que ne pas obtenir ce que vous voulez est parfois un merveilleux coup de chance.
    Essayer d’obtenir tout ce que vous désirez ne sera pas nécessairement bon pour vous dans le long terme. Si quelque chose semble ne jamais fonctionner, comme si le destin intervenait, pensez à lâcher prise et revenez y plus tard. L’Univers agit de façon mystérieuse et doit être digne de confiance.
     5. Apprenez les règles pour savoir comment les transgresser correctement.
    Les règles sont faites pour être transgressées. La plupart d’entre elles sont mis en place par les anciens établissements corrompus qui ne cherchent qu’à asservir et maintenir leur propre pouvoir. Quand il s’agit de transgresser les règles, faites-le correctement pour éviter les répressions. Mais par-dessus toutes choses, assurez-vous que vous le faites dans les règles. Si l’autorité n’avait jamais été remise en question, nous serions civilisation stagnante.
    6. Ne laissez pas une petite dispute briser une grande amitié.
     Évidemment, l’amitié est bien plus importante qu’une petite dispute, mais très peu de gens mettent cette règle en pratique. Vous devez également être en mesure de suivre la règle #7 pour pouvoir suivre la règle #6.
    7. Lorsque vous réalisez que vous avez commis une erreur, prenez immédiatement des mesures pour la corriger.
    Et ne laissez pas votre fierté faire obstacle à ces mesures. Pardonnez-vous et prenez-en l’entière responsabilité. Cela en dira long sur votre personne. Ce n’est pas le nombre de nos échecs qui déterminent notre réussite finale, mais notre capacité à en extraire de la sagesse, puis à passer à autre chose avec une énergie nouvelle.
    Les erreurs sont neutres; nous pouvons en faire ce que nous voulons. Selon notre manière de les percevoir, elles nous accableront ou nous guideront vers le succès.
    8. Passez un peu de temps seul chaque jour.
    Peu importe ce que vous faites, passez au moins 30 minutes de votre journée seul dans un endroit calme. Cela vous donnera au moins une demi-heure pour observer ce qui se passe dans votre vie, de prendre conscience de qui vous êtes et de comprendre ce que vous voulez. Que ce soit à travers la prière, la méditation, le yoga ou le golf, ce rituel est un « must ».
    9. Ouvrez vos bras au changement, mais ne laissez pas s’envoler vos valeurs.
    Le monde est en constante évolution. Si vous n’êtes pas ouvert au changement, alors vous serez malheureux. Vous allez vous-même changer, mais cela ne veut pas dire que vos valeurs doivent changer aussi. Accueillez les nouveaux lieux, les nouveaux visages et les nouveaux amours, mais ne changez jamais ces parties importantes de vous-même, sauf si vous avez de bonnes raisons de penser que vous aviez tort d’y croire.
     10. Rappelez-vous que le silence est parfois la meilleure réponse.
    Le silence conduit à la contemplation détendue au cours de laquelle les émotions ont moins d’influence et où logique peut prendre le relais. Par exemple, si vous vous disputez avec un ami, garder le silence au lieu de riposter en vous emportant est plus efficace et mettra fin à la dispute beaucoup plus rapidement.
     11. Vivez votre vie avec honneur.
    De ce fait, lorsque vous vieillirez et vous regarderez en arrière, vous serez en mesure d’en profiter une seconde fois. Vous allez devoir vivre avec vos actions pour le reste de votre vie, alors pour vous épargner le regret et l’angoisse, vivez votre vie avec honneur à partir de maintenant. Les bonnes choses viennent et les bonnes personnes aussi. Vous ne serez jamais puni pour avoir agi avec intégrité.
     12. Une atmosphère d’amour dans votre maison est le fondement de votre vie.
    C’est la règle où vous avez le moins de contrôle. Comme dans la règle # 3, si vous respectez (aimez) votre famille, ils vous respecteront et vous aimerons en retour. Faites entrer l’amour dans votre maison. Faites briller les murs avec de la tendresse. Cela établira une base solide dans la vie de vos enfants.
     13. Lorsque vous êtes en désaccord avec les êtres chers, concentrez-vous uniquement sur le présent. Ne réveillez pas le passé.
    Le passé est constant, immuable. Réveiller le passé ne peut qu’apporter plus de douleur à la situation. Pardonnez les actions passées et concentrez-vous sur le présent.
     14. Partagez vos connaissances.
    On apprend tellement dans une vie. Partager vos connaissances avec les gens que vous rencontrez, cela ne peut que les aider. Plus important encore, partager vos échecs et vos expériences pour que les autres ne reproduisent pas les mêmes erreurs.
     15. Soyez doux avec la terre.
    La terre est l’endroit où nous vivons. Donc, cela devrait être évident. Blesser la terre c’est se blesser soi-même, l’avenir de vos enfants et de vos proches.
     16.  Une fois par an aussi souvent que possible, allez quelque part où vous n’êtes jamais allé auparavant.
    Découvrez de nouveaux lieux et de nouvelles choses. Vous pourriez vous retrouver avec quelqu’un quelque part qui vous rend plus heureux. La Terre est si vaste avec des endroits uniques et magnifiques, pourquoi ne pas aller explorer un peu ?
     17. Rappelez-vous que la meilleure des relations est celle dans laquelle votre amour pour l’autre dépasse vos propres besoins.
    L’inverse peut être un indice que votre relation doit se terminer. Si vous avez besoin de quelqu’un plus que vous l’aimez, c’est un signe de dépendance, pas d’affection. Trouvez quelqu’un où l’amour est la force dominante et dans laquelle la relation est beaucoup plus épanouissante.
    18. Jugez vos réussites d’après ce que vous avez eu à renoncer pour y arriver.
    Décidez ce que vous voulez. Concevez votre vie idéale et foncez. Ne laissez aucune partie de ce rêve s’échapper, ainsi, vous ne vivrez jamais dans le regret. Tout est bon, car tout est utile –  dans la mesure où vous savez saisir les occasions d’apprentissage qui se présentent à vous.
    Si vous percevez les expériences difficiles comme de mauvais présages, elles auront un impact négatif. Si vous les voyez comme des occasions de croître, vous saurez les transcender.

    Comment promouvoir l'intelligence économique ? - Alain Juillet


    IT Perfect Storm

    L’hormone de l’amour existe bien chez les animaux domestiques

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    L'hormone de l'amour existe bien chez les animaux domestiques
    Renaud chantait que "l'amour dans le cœur d'un chien, c'est le plus grand amour qu'il soit". Si l'on parlait jusqu'ici davantage d'affection pour un animalà son maître, les scientifiques ont aujourd'hui mis en évidence que nos animaux domestiques produisent bien cette "hormone de l'amour", l'ocytocine.
    Lorsque Paul Zak, professeur à la « Claremont Graduate University » de Californie, a décidé de mesurer les niveaux d’ocytocine dans certains animaux domestiques, il était loin de se douter que « les résultats seraient aussi choquants ». Après avoir prélevé des échantillons de sang chez un chien croisé terrier et une chèvre, les chercheurs les ont fait jouer ensemble avant de prélever de nouveaux échantillons sanguins. Le chien montrait une augmentation d’ocytocine de 48% – déjà élevé chez un humain -, quant à la chèvre, cela pourrait être assimilé à de l’amour véritable chez l’homme.
    L’ocytocine étant responsable notamment des liens d’amitié et d’amour chez l’homme, il semblerait donc que les animaux domestiques, et uniquement ceux-ci, créent des liens et ressentent l’amour de la même manière que nous.
    Une deuxième expérience fut réalisée, cette fois avec des humains jouant avec des chiens ou des chats pendant 15 minutes. Si les résultats divergent selon les participants et selon leurs relations passées avec des chiens ou des chats, tous ont montré une augmentation de leur taux d’ocytocine, celle-ci étant davantage prononcée avec les chiens. Outre le fait que cette étude démontre bien que l’amour existe chez nos animaux domestiques, elle montre aussi que nous ne tissons pas les mêmes liens face à un animal.

    Time 100 : des femmes d'influence de plus en plus nombreuses

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    Mis en ligne le 25/04/14 I Rédaction par la rédaction
    E-mail
    Beyonce 
    La liste des 100 personnalités d'influence établie par le magazine Time compte un nombre record de 41 femmes... avec en couverture la chanteuse Beyonce en petite tenue.

    Des femmes de plus en plus influentes. C'est une des données que le magazine Time met en avant en publiant son nouveau classement annuel des 100 personnalités les plus influentes dans le monde. Dans cette liste, 41 femmes, un nombre record. Parmi ces personnalités, les incontournables Angela Merkel, Hillary Clinton (que le magazine voyait récemment en dominatrice), Janet Yellen ou Malala Yousafzai. Mais aussi la présidente chilienne Michelle Bachelet ou la sénatrice Kirsten Gillibrand, qui s'est attaquée aux violences sexuelles dans l'armée US.
    Elles étaient 9 femmes à figurer parmi les 72 « personnalités les plus puissantes du monde », dans le classement 2013 du magazine Forbes, publié mercredi 30 novembre (Voir : Un peu plus de femmes chez les maîtres du monde). Si le classement du Time donne davantage de place aux femmes, c'est parce qu'il inclut aussi des personnalités du monde artistique.
    « L'un des constats les plus frappants au sujet de plusieurs femmes de cette liste », souligne le magazine, « est que ce n'est même pas le fait d'être la première ou la plus jeune à s'imposer dans un domaine particulier qui rend leur histoire intéressante ». C'est que, « pour la plupart, ces femmes ont choisi d'utiliser leur succès pour étendre leur influence au-delà de leur sphère professionnelle ».
    A ce titre, celle que Time choisit de mettre en avant, c'est la chanteuse pop Beyonce. Parce qu'elle vend des millions d'albums, mais aussi parce que son dernier opus « a provoqué un débat sur le féminisme dans le monde entier », note le magazine... tout en choisissant, pour sa couverture, une photo de Beyonce en petite tenue.

    CUILLÈRE – La façon dont vous dormez en dit long sur votre couple

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    Dormir à deux n'a rien de naturel (Source : REUTERS / Nacho Doce).
    Dormir à deux n'a rien de naturel (Source : REUTERS / Nacho Doce).
    Vous êtes plutôt du genre cuillère ou dos à dos ? Derrière son apparente superficialité, cette question est essentielle pour mesurer la force de votre couple, si l'on en croit une étude effectuée par l'université du Hertfordshire, rapporte le site américain Science Daily.
    Effectuée lors du Festival international de la science d'Edimbourg auprès de 1 100 personnes, l'étude conclut que la distance qui vous sépare de votre partenaire révèle l'intensité de la relation qui vous lie.
    Ainsi, 86 % des couples qui dorment collés-serrés (à moins de 2,5 cm d'écart) se sont dits heureux dans leur relation, contre « seulement » 66 % de ceux qui dorment chacun de leur côté (à plus de 75 cm d’écart). Sur le même modèle, ceux qui se touchent en dormant sont plus satisfaits dans leur relation que ceux n'ayant aucun contact. Sauf que dans les faits la plupart des couples sont dos à dos (42 %), tandis que 31 % regardent dans la même direction et que 4 % se font face à leur partenaire…
    Vingt-quatre ans de sommeil en moyenne
    Si cet argument ne suffit pas à vous rassurer quant à la solidité de votre couple, sachez que plusieurs études estiment que dormir en couple sabote la qualité de votre sommeil. Or, nous passons en moyenne vingt-quatre ans à dormir — « ce qui représente, pour les couples, la plus longue période passée ensemble », soulignait le professeur Damien Léger de l'Hôtel-Dieu à Paris dans un article du Monde.
    >> Lire : Sommes-nous vraiment faits pour dormir ensemble ?
    La taille du lit joue également. En janvier 2012, dix couples bardés de capteurs ont dormi successivement dans des lits de 140 puis de 160 centimètres sous la direction du professeur Léger. Résulat : les « cobayes » ont augmenté de 15 % leur temps de sommeil profond, et leur nombre de réveils nocturnes a baissé d'un quart. Finalement, les couples estiment avoir amélioré « de près de 50 % leur sensation de confort ».
    Loin d'être étonnants ces résultats témoignent surtout du fait que dormir à deux est récent et loin d'être naturel. En effet, dormir en couple est un comportement social qui date de la révolution industrielle et de l'exode rural qui en a découlé, poussant les gens à vivre dans des villes surpeuplées aux espaces de vie confinés, rappelle la BBC.
    Or, cette nouvelle façon de dormir ne s'est pas encore répercutée sur notre activité psychique, expliquant les désagréments que cela entraîne. Malgré ces constats, seulement 8 % des individus entre 40 et 60 ans dorment séparément, relève la BBC.
    Dans un appel à témoignages du Monde.fr, vous aviez été nombreux à nous raconter votre expérience, et surtout vos trucs et astuces (lits plus grands ou séparés, bouchons d'oreilles, etc.) pour arriver à concilier amour et sommeil de qualité. Et vous, quel est votre truc ?
    >> Lire les témoignages : "Dormir à deux, c'est plus difficile qu'il n'y paraît"

    L’économie collaborative n’est plus une niche

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    Créé le 16/04/2014 à 16h43 -- Mis à jour le 02/05/2014 à 13h13

    CONSOMMATION - La première semaine de l’économie collaborative se déroule en France du 1er au 7 mai…

    Partage, échange, troc, location, l’économie collaborative est en train de passer du système D quotidien à une nouvelle donne économique. Si le concept ne vous dit rien encore, les noms de PAPAirbnbBlablacarKisskissBankbank, principaux acteurs de cette économie éclose pendant la crise, vous parlent certainement plus.
    Cette économie collaborative pèserait 3,5 milliards de dollars en 2013, selon le magazine Forbes, de quoi se présenter comme une alternative au capitalisme, qui rédéfinit nos façons de produire, de consommer et d’échanger et transforme les consommateurs en acteurs de leur environnement.
    Preuve supplémentaire de ce succès: la première semaine de l’économie collaborative commencera le 1er mai à Paris, à l’initiative du collectif Ouishare, un laboratoire d’idées autour de ce secteur de partage citoyen. Au cours de cette semaine aura lieu le festival Ouishare Fest, du 5 au 7 mai à Paris, un rassemblement international des acteurs du milieu collaboratif. Seront remis à cette occasion les OuiShare Awards valorisant et récompensant les cinq meilleurs projets innovants.

    Des entrepreneurs innovants, imités par les grands groupes

    Echange de logements de courte durée entre particuliers, prêts de voitures, ou désormais de bateaux, partage de connaissances en ligne, ou financement participatif passant outre les banques (crowdfunding), sont ainsi autant de domaines touchés par ces entrepreneurs défendant les nouvelles valeurs de l’économie. Auxquels s’ajoutent les jardins partagés, le coachsurfing(hébergement gratuit «sur le canapé» de l’habitant) ou encore le coworking(partage d’espace de travail).
    Les acteurs du secteur défendent l’idée suivante: à la faveur de la généralisation de l’utilisation d’Internet et des réseaux sociaux en mobilité, poussés par la recherche d’économies ou de compléments de revenus dans un contexte de baisse du pouvoir d’achat, les citoyens bâtissent les bases d’une alternative au consumérisme qui commence à avoir un impact sur l’économie. Et les grandes entreprises se tournent logiquement vers cette activité. En témoigne les partenaires de l’événement, Google, Danone, Castorama, La Poste ou encore Orange qui se cherchent, eux aussi, un modèle collaboratif.

    La France est en avance

    D’autant que la France avance vite. 77 % des Français* déclarent avoir déjà acheté ou loué des biens auprès de particuliers sur Internet. 74 % considèrent que l’économie collaborative est réellement avantageuse en matière de pouvoir d’achat et qu’elle véhicule «l’image d’un système économique de proximité» (72 %).
    «La France est le premier pays d’échange de maisons et Leboncoin.fr est le deuxième site le plus consulté par les Français derrière Facebook», raconte Antonin Léonard, co-fondateur de Ouishare. «L’économie collaborative est une dynamique à la croisée de l’innovation sociale et technologique. L’appel à projets l’an passé de Fleur Pellerin Fab Labs 2013 a permis de sélectionner 14 lieux de création collaborative qui vont monter en puissance dans les années à venir», affirmait-il en février sur le site wedemain.fr.
    L'économie du partage est aussi au coeur du documentaire «Global partage» le 13 mai sur Canal+. L'occasion de suivre les pratiques de ces adeptes d'un modèle résolument «connecté» à Paris, San Francisco, Seattle ou Barcelone.

    Sommes-nous vraiment faits pour dormir ensemble ?

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    N'en déplaise à l'Eglise, dormir à deux est un acte récent pour notre espèce, et qui n'a rien de naturel.

    Allons-nous cesser d'être masochistes au lit ? Apparemment, nous y travaillons. Sur les 4 millions de matelas vendus chaque année, la largeur 140 cm est toujours la star incontestée de nos nuits (65 % des matelas achetés en France). Mais une révolution silencieuse est en marche : en 2012, plus de 610 000 matelas de largeur 160 devraient s'écouler,"trois fois plus qu'il y a cinq ans", note Gérard Delautre, directeur général de l'Association pour la literie.

    Tendance similaire chez Ikea qui ne donne toutefois pas de chiffres précis."Depuis dix-huit mois, nous enregistrons une forte demande pour des lits plus larges", reconnaît Muriel Rolland, porte-parole de l'enseigne où les ventes de cadres de lit taille 140 baissent au profit des 160. Dans le même temps, le matelas simple est de plus en plus remplacé par un double. Conséquence : pour trouver de la place, les urbains abandonnent les tables de chevet "et veulent des têtes de lit avec rangements intégrés", ajoute Mme Rolland.
    24 ANNÉES DE SOMMEIL
    Cette recherche de confort n'a rien de vain. Nous passons en moyenne vingt-quatre ans à dormir, "ce qui représente, pour les couples, la plus longue période passée ensemble", note le professeur Damien Léger de l'Hôtel-Dieu à Paris. Ce spécialiste du sommeil reconnaît voir"très régulièrement des personnes qui ont du mal à dormirà deux, mais qui n'osent pas l'avouer". Le Monde a lancé un appel à témoignages. Des dizaines d'internautes, hommes et femmes, jeunes et moins jeunes, ont répondu à la question : "Dormir à deux, la galère ?"
    Il est vrai que nous nous lançons, depuis quelques décennies, un défi de taille : non seulement nous voulons conjuguer amour et couple (une nouveauté de moins d'un siècle), mais nous cherchons toujours à dormir ensemble. Ce faisant, nous perpétuons une tradition instituée par l'Eglise catholique qui "a sacralisé la conjugalité et le lit pour lutter contre le paganisme et maîtriser la société et sa reproduction", précise l'ethnologue parisien Pascal Dibie, auteur d'Ethnologie de la chambre à coucher (Métaillé, 2000).
    N'en déplaise à l'Eglise, dormirà deux est un acte récent pour notre espèce, et qui n'a rien de naturel. Jugez plutôt : nous faisons en moyenne quarante mouvements chaque nuit, "mais cela peut facilement aller jusqu'à soixante", précise M. Léger. Nous sommes, comme de nombreux mammifères (singes, cochons, chiens, chats), des ronfleurs (un homme sur trois, une femme sur six). Et pour pimenter le tout, les générations ne cessent de grandir et de grossir (en trente ans, plus 2 cm et 2 kg pour les femmes, plus 5 cm et 5 kg pour les hommes). Ce changement morphologique accentue le ronflement... et quatre Français sur dix déclarent souffrir de troubles du sommeil, selon l'Institut national du sommeil et de la vigilance.
    Le lit Flavigny conçu par Jean Prouvé. Un design épuré, mais réservé aux célibataires (avec matelas).
    Les Français ne détiennent pas seulement le record mondial de consommation d'anxiolytiques, ils utilisent, avec leurs voisins espagnols, les lits à deux places les plus étroits du monde occidental (135 centimètres de large en Espagne, 170 en Italie). Pour rappel, les 140 centimètres français représentent deux carrures et quelque d'un homme bien charpenté.
    Or, l'impact de la dimension du lit sur la qualité de notre sommeil est flagrant. En janvier 2012, dix couples bardés de capteurs ont dormi successivement dans des lits de 140 puis de 160 centimètres sous la direction du professeur Léger. Les résultats sont bluffants : les "cobayes" ont augmenté de 15 % leur temps de sommeil profond (152 minutes contre 132). Leur nombre de réveils nocturnes a baissé d'un quart (vingt-trois fois contre trente). Et, une fois la nuit au large passée, les couples estiment avoir amélioré "de près de 50 % leur sensation de confort".
    Pour autant, la dimension du lit n'explique pas tout. "Hommes et femmes ne vivent pas du tout de la même façon la nuit à deux", expliquent John Dittami, chercheur au service de biologie des comportements de l'Institut de zoologie de Vienne (Autriche), et son comparse Gerhard Klösch, de l'Institut de recherche sur le rêve et la conscience de l'université médicale de Vienne. "Les femmes ont un sommeil plus reposant sans leur partenaire, alors que les hommes ont un sommeil plus doux quand ils dorment avec leur compagne", expliquent les auteurs de Ein Bett für zwei ("un lit pour deux", Herbig Verlag, 2008, non traduit).
    "LA CULTURE EST LE PLUS GRAND ENNEMI DU SOMMEIL"
    Pourquoi cette différence ? Dormirà deux à l'écart du groupe est un comportement social récent à l'échelle de l'évolution, et cela ne s'est pas encore répercuté sur notre activité psychique. Il faut donc chercher ces explications dans des habitudes ancestrales. La femme, maîtresse du foyer, semble avoir une sensibilité bien plus importante aux bruits et aux mouvements. Alors que l'homme assimile la présence de sa compagne à celle, sécurisante, du groupe.
    Mais plus ces chercheurs creusent, plus le sujet leurs paraît complexe. "Les femmes, par exemple, semblent subir le lit à deux, mais ne veulent pas laisser leur place, arguant que cela rassure leurs compagnons", notent-ils. "La culture est le plus grand ennemi du sommeil, lance John Dittami. Dans chaque pays, cette culture nous dicte quand et comment il faut dormir. Alors qu'on dort bien quand on fait ce que l'on veut." D'une traite, en petites siestes, seul, en groupe... En bons Autrichiens, ces deux chercheurs ont choisi, pour leurs couples respectifs, des lits jumeaux avec chacun sa couette : "La grande couette commune est un désastre. Chacun dans le lit veut la tirerà lui. C'est une source de tension énorme que nous avons mesurée."
    Anecdotique, la couette ? Pascal Dibie ne le pense pas. L'utilisation de cet objet, apparu il y a une trentaine d'années en France, est une aberration due à... Ikea, estime-t-il. "La France appartient aux sociétés dites 'bordées', qui vont jusqu'à l'Egypte. Dans ces pays, traditionnellement dépendants de la culture du lin, on dort habillé et sur le dos, bordé d'un drap et de couvertures, dans des chambres non chauffées." Une habitude opposée à celle des pays nordiques. "Du nord de la France à la Scandinavie, la domestication des canards eiders a créé des sociétés à couettes. Les gens dorment nus, lovés en chien de fusil dans des couettes personnelles, même s'ils dorment côte à côte. Et les chambres sont chauffées." Le typique lit à deux en largeur 140 utilisé avec monocouette et pyjama est donc un ovni français générateur de stress dont, estime M. Dibie, "on ne nous a pas vendu le mode d'emploi".

    "Dormir à deux, c'est plus difficile qu'il n'y paraît"

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    Dormir à deux est un acte récent pour notre espèce, et qui n'a rien de naturel. Sollicités à nous faire part de leur témoignage, les lecteurs du Monde.fr sont partagés sur le "bonheur" de dormir ensemble. S'il en est pour qui ce n'est pas un problème, bien au contraire, les autres ont opté pour des lits en grande largeur, sinon des boules Quiès. Certains, plus radicaux, vont jusqu'à faire chambre à part. Ce qui ne les empêche pas de s'aimer…
    Dormir à deux est un acte récent pour notre espèce, et qui n'a rien de naturel.
    CEUX POUR QUI DORMIRÀ DEUX EST UN PROBLÈME… NON RÉSOLU
    • Il ronfle, par Séverine

    Cela va faire deux ans que mon ami et moi avons emménagé ensemble. Et cela fait deux ans que j'estime que la qualité de mon sommeil a diminué. Le gros problème reste ses ronflements. Je donne un petit coup pour qu'il s'arrête mais il ronfle toujours. Un deuxième petit coup, un peu plus fort cette fois-ci, mais il n'y a rien à faire : il continue de ronfler. La troisième fois, je le secoue, il se réveille, me pose des questions pour comprendre ce qu'il lui arrive. Je ne réponds pas, il insiste, je finis par me réveiller complètement. Je lui explique donc qu'il ronfle et que j'aimerai dormir. OK ! Il me dit qu'il ne fait pas exprès. Je referme les yeux, j'attends Morphée quand soudain, j'entends un bruit sourd qui devient de plus en plus sonore. Mon compagnon s'est rendormi. Ça y est, il ronfle à nouveau.

    • Pas faits pour dormir ensemble, par Ana
    C'est la seule chose que j'envie aux rois ! La reine et le roi ne se rencontraient que le jour, et parfois la nuit mais pour quelques instants et après, au revoir. L'homme et la femme ne sont pas faits pour dormir ensemble, même dans la même chambre. Personne ne doit devoirsouffrir ce cauchemar de sueur, ronflement, promiscuité, perte d'espace vitale au nom de l'amour ou du conformisme de l'amour.
    • Une contrainte, par Wilhelm
    Dormir avec ma copine est clairement une contrainte. J'ai le sommeil qui devient plus léger, je me laisse moins aller aux mouvements de peur de la réveiller, et elle a tendance à toujours (sans forcément le vouloir) envahir mon espace vital. Dès lors, des signes de fatigue évidents entament ma vitalité et mon moral, car j'ai besoin de beaucoup dormir. Pour pallier ce problème, j'ai appris avec le temps à être– malheureusement – moins attentionné. Je bouge, je la pousse et je n'hésite pas à la réveiller quand elle ronfle un peu. Cela ne la dérange pas outre mesure, et moi je retrouve un peu de quiétude dans mon sommeil. Il est impératif dans un couple que les deux aient un sommeil équilibré. On ferait tout pour elles, mais le sommeil, c'est sacré !

    LES ADEPTES DES LITS EN GRANDE LARGEUR
    • Nuits folkloriques, par Lauren
    Nous avons un palace pour Hobbit. Nous sommes deux, des petits formats dans le sens où ni lui ni moi ne dépassons le 1,69 mètre. Lui a le sommeil façon enclume : à peine couché, il s'endort. Par contre, il parle en dormant. Moi, en revanche… Parfois deux heures s'écoulent entre le coucher et le sommeil, parfois je me réveille en pleine nuit pour le plaisir de regarder le plafond, une autre fois encore, mes cauchemars sont si terribles que je dois le réveiller pour qu'il me rassure. Et ai-je précisé que j'ai également un syndrome des jambes sans repos ? Autant dire que mes nuits sont plutôt "folkloriques". Il n'aime pas être trop couvert, je ne jure que par l'édredon en plume de baleine, il a toujours trop chaud, et moi le contraire… On avait donc envisagé des lits séparés pour réussirà ne pas se gêner l'un l'autre, mais nous avons préféré une solution différente : le lit en 160 × 200, et la couette personnelle. Tous nos amis rigolent en voyant la taille du lit par rapport à la nôtre, on peut faire des marathons avant de s'y retrouver, et même fairedormir une troisième personne. Mais n'empêche, avoir le choix de pouvoir s'endormir l'un contre l'autre ou pouvoir s'étaler dans tout le lit sans qu'on ne se touche, c'est un bonheur. Par contre, la taille du lit ne l'empêche pas de parler en dormant. Peut-être qu'un bâillon… ?
    • Plus de confort avec l'âge, par Sophie
    Pour moi il est indispensable de dormir dans le même lit que mon mari. Nous ne nous voyons pas beaucoup finalement dans une journée. Travail, enfants, tâches ménagères, mais aussi hobbies… Le moment du coucher est devenu un moment privilégié de complicité et d'échange. Pour rien au monde je n'irai dormir dans une chambre à part. Néanmoins, nous avons constaté au cours de nos voyages qu'un lit plus large était plus confortable "avec l'âge". Alors nous avons décidé de nous "décoller" un peu et nous avons acheté un lit de 1,60 mètre.

     LES ADEPTES DES LITS SÉPARÉS
    • Des lits jumeaux, par Jean
    Il y a quinze ans, nous avons opté pour des lits jumeaux qui se touchent. C'était justement pour éviter que l'un réveille l'autre en bougeant… et depuis nous continuons. Les rapprochements plus intimes se font sans problème.
    • Chacun sur son matelas, par Céline
    J'ai 20 ans, je suis étudiante, et cela fait trois ans que je suis avec mon copain et que nous dormons régulièrement ensemble. Dormir avec lui a toujours été pour moi un réconfort, je suis en général dans un meilleur état psychologique et je dors mieux que quand je suis toute seule. Cependant, il arrive fréquemment que l'on se gêne physiquement. Chez nos parents, nous avons des lits 140, et il est vrai qu'à deux, on peut très facilement manquer de place. Pour sa chambre d'étudiant, comme il était vraiment impossible de dormirà deux sur le matelas de 80 fourni, nous en avons acheté un deuxième, et c'est finalement une très bonne solution : on arrive à caler les matelas pour qu'ils ne se séparent pas et pour pouvoirêtre proches si on le veut, mais en général quand on dort, c'est chacun sur son matelas, et du coup tout se passe très bien. Les avantages de la proximité sans ses inconvénients !
    • Eviter les "conquêtes de territoire", par Aurélie
    Dormir à deux, c'est plus difficile qu'il y paraît (…) J'ai toujours eu du mal à dormirà deux mais j'ai du mal à concevoir mes nuits sans la présence de mon petit ami. Alors deux solutions : un lit plus grand (pour éviter les "conquêtes de territoire" nocturnes et donc éviter d'être collé(e) au mur) et une couette chacun. Car oui, frileuse comme je suis, je ne supporterai pas de m'endormir avec la simple couverture de mon petit ami ! Et tant mieux si personne ne ronfle !
    VIVE LES BOUCHONS D'OREILLES !
    • Jamais sans…, par Cédric
    Ma femme a souvent des allergies et donc a souvent le nez pris, ce qui malheureusement se traduit par des ronflements. Ayant un sommeil sensible, notre vie la nuit était assez difficile, au point d'aller régulièrement dormir sur le canapé sans dispute. La solution est venue lors d'un voyage, alors que je séjournais pour affaires dans un hôtel où la climatisation faisait énormément de bruit, j'ai essayé les bouchons d'oreilles distribués dans les avions. Depuis j'ai du mal à dormir sans.

    CEUX QUI FONT CHAMBRE À PART
    • Ne pas le "heurter" physiquement, par Monique
    Dormir à deux est mission impossible pour moi. Les raisons ? Le besoin de liberté, de place… et oui, jusque dans mon lit !, la nécessité de me sentir libre de tous mouvements sans avoir (lorsqu'on est éveillé) à faire attention à ne pas bouger trop brusquement, ne pas éveiller l'autre, ne pas le "heurter"physiquement, pouvoir me lever quand j'en ai envie et pas attendre qu'il se réveille pour commencerà bouger, s'endormir dans la quiétude et non pas en trépignant car "l'autre" ronfle, ne pas "subir" les assauts nocturnes ! Bref, l'indépendance, la liberté… Qui a dit qu'il est obligatoire de dormir ensemble ? Qui a dit que cela "empêchait" de s'aimer ?
    • Je dors comme un ange, par Gabriel
    Ma femme se couche tard, moi tôt. Je faisais un effort surhumain pour veiller tard avec elle. Résultat, je me réveillais le matin avec une grosse fatigue comme si je n'avais pas dormi. J'étais fatigué toute la semaine. Ma femme faisait des efforts pour se coucher tôt mais n'arrivait pas à s'endormir. Elle voulait discuter tard, mon sommeil était de plus en plus perturbé. Maintenant, elle dort dans la chambre des invités avec la tablette et la télévision. Je revis, je dors comme un ange, je peux bouger dans tous les sens sans ennuyer ma femme. C'est le bonheur.
    • Plus reposé, par Thomas
    Mon compagnon et moi ronflons tous les deux. J'ai de grosses difficultés à m'endormir et ai un très mauvais sommeil. J'ai besoin de beaucoup de temps (et de sonneries de réveil) pour me réveiller. Lui a besoin de beaucoup dormir et est réveillé par le moindre mouvement ou bruit le matin. A la suite d'un changement d'horaires lié à ses vacances, nous avons commencé à dormir dans des lits séparés dans deux pièces différentes. Nous avons convenu que chacun de nous était plus reposé et, depuis maintenant deux ans, nous faisons chambre à part. Cela convient parfaitement à notre vie de couple mais impose d'avoir une chambre en plus.
    • Pour le meilleur, par Pomme
    Pourquoi devrait-on s'obligerà dormir avec son conjoint quand on a la chance d'avoir une autre chambre à disposition ? C'est écrit nulle part, ce n'est pas contractuel alors, je ne dors avec mon amoureux que quand nous en avons envie tous les deux, c'est-à-dire… 1 à 2 fois par semaine, maximum, parfois moins. Après treize ans de vie commune, ça ne me paraît pas être une anomalie. Alors, c'est sûr qu'au début de la relation, c'est inenvisageable… mais avec le temps, mieux vaut se rapprocher de l'autre pour le meilleur exclusivement !

    CEUX POUR QUI TOUT ROULE
    • Besoin de ce contact, par Sarah
    Mon conjoint et moi-même dormons dans un lit 140. Mais nous ne nous dérangeons pas dans notre sommeil – nous avons la chance de ne pas ronfler. Chaque soir, nous nous endormons l'un contre l'autre. Nous avons besoin de ce contact – ne serait-ce qu'une main posée sur le ventre ou deux jambes qui se croisent – afin de pouvoir nous endormir sereinement. Cela nous apaise et apporte du réconfort. (…) Les rares fois où j'ai dû dormir sans lui, mon sommeil était haché, agité et je ne me suis pas reposée. Dormirà deux pour moi est essentiel.
    • Seul, je dors moins bien, par Philippe
    Pour moi la question ne se pose même pas : dormir enlacés, blottis l'un contre l'autre est vraiment ce que je préfère. Quel réconfort, apaisement, que de dormir au contact de la personne aimée. D'ailleurs, quand je suis en déplacement, je dors moins bien. C'est sensuel d'être peau contre peau, ressentir la chaleur de l'autre corps, sa douceur. Mariés depuis trente ans, je ne me lasse pas du contact du corps de ma femme.
    • Fusion, par Loïc
    Avec mon épouse, en couple depuis neuf ans et marié depuis un peu plus d'un an, nous avons toujours dormi littéralement collé ensemble, corps contre corps… à chaque fois que l'un de nous souhaite se tourner, l'autre suit et s'adapte de manière quasi automatique. Toutefois, il arrive que l'un des deux ne trouve pas le sommeil, dans ce cas, une séparation s'opère et chacun repart de son côté. Nous dormons dans un lit de 140 et avons eu l'occasion de dormir dans des lits king size : plus nous avions de place, plus nous en prenions en nous étalant. Nous craignons de passer sur un format supérieur : plus de confort pour chacun, mais au final moins de fusion dans le couple !
    • Canaliser ma nervosité, par Claire
    Nous sommes un couple de trentenaires. Lui n'a jamais eu de problèmes de sommeil, je dors mal depuis que je suis petite. Dans l'ensemble, dormirà deux est vraiment bénéfique pour moi. Au-delà du réconfort que cela procure (la chaleur, la sérénité), cela m'aideà canaliser ma nervosité, à ne pas me retourner comme une crêpe ou me lever toutes les heures. Bien sûr, il y a des moments où je rêve d'avoir des lits séparés, comme quand l'un des deux est enrhumé, mais à notre âge ces inconvénients sont vraiment rares. Je vois de plus en plus de gens de mon âge qui font matelas à part, je trouve ça dommage. C'est aussi un moteur de la sexualité, surtout en cas d'insomnie partagée.
    • Le temple de notre amour, par Christian
    En quinze ans de vie commune, mon épouse m'a sans doute réveillé trois fois parce qu'elle faisait un cauchemar et cinq fois en me piquant toute la couette. Elle s'est plaint de mes ronflements quelques fois, uniquement les lendemains de fête d'ailleurs. Ce lit commun est le temple de notre amour, nous ne changerions pour rien au monde !

    Le relais

    The Future of the Internet is Anonymous

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    anonymousRight now we’re in a world that sees  transparency as the new form of integrity. Right now we’re in a world that understands that reputation is everything. Loyalty is somewhat fleeting as consumers, armoured with this incessant flow of knowledge from the web, have the ability to make swift  judgements and decisions about individuals, companies and governments, often times to the detriment of the target. The emergence of social media has forced companies to stop hiding from behind that veil of corporate spin and address the very things that the web has thrown at them. Nothing is secret any longer. Even secrets that were once held secure behind invulnerable fortresses now have a strong probability of materializing today.
    Is transparency as a norm working? Or, are the results of transparency surfacing a new order that will create yet another tier of acceptance from the masses?

    Has the rise of transparency backfired?

    Brian Solis painted a great picture of our online behaviours in this article and how they intermingle with the dynamics of the web:
    Online, just like in the real world, actions and words speak loudly. Unlike real life though, your digital footprints are there for anyone to find on Google, social networks, and in communities. These disparate pieces are then assembled by employers, schools, friends, lovers, enemies, and anyone and everyone who wish to learn something more about you. Whether pure, sinister or simply inquisitive, whatever the reason, today these pieces construct a semblance of you and whomever sifts through your online legacy is left to their own surmise. This is too important to leave to chance. Online is the new real world. This is your life.
    I wrote earlier about,”No Room for Error: A Cautionary Tale of A Precarious Tweet ” and the misstep a young lad, Chris Spiegel, had made on Twitter that could potentially have prevented him from graduating with his senior class; moreover, it could have hampered his efforts into securing college placement. One of the comments struck a chord with me.
    The kid made an adolescent mistake, owned up to it and learned from it. If that is the purpose of sanctions, a two day suspension would have served the purpose. Instead, the school appears to have over reacted and is being punitive. It doesn’t appear that they are interested in a true learning experience but rather in sacrificing one kid. Just plain meanness! A whole unblemished academic record appears to not matter at all. I am furious that alleged educators refuse to look at this in the content of 17 years of “good kid” slashed down in one moment over a tiny lapse in judgement.
    For kids like Chris, this incident not only made him think twice about his actions, it also suppressed any future desire of being truly himself on social media. Erratic judgements within social teaches us to behave in ways that prevents us from being further misjudged or attacked. For kids, who have not yet felt the wrath of social media, they will learn from their peers’ mistakes. They will learn discretion. Or they will learn to recede further away from transparency into a darker place where judgements are fewer and far between.

    “Anonymity is Authenticity”

    I wrote this post last summer, Publishers OR Platforms? Cyberbullying and Increased Accountability by Social Networks, following the death of Rahteah Parsons, who, after being assaulted by 4 boys, was tormented relentlessly by classmates and other kids on social networks; also following the suicide of Hannah Smith, who experienced the same torment on Ask.fm. I wrote, “the internet has evolved to an era that has given free reign to voice an opinion and use like-minded affiliations to express and further spread that opinion.” In these cases, anonymous profiles proliferated the incessant stream of hateful attacks that eventually wore down both girls’ defences. Here, I referenced a polarized view of social networks via Christopher “Moot” Pool, founder of 4Chan, who argued that anonymity on social was necessary:
    The cost of failure is really high when you’re contributing as yourself. Those mistakes are attributed to who you are. Anonymity, in contrast, allows people to be creative, and poke and prod and try things they might not otherwise. Anonymity is authenticity. It allows you to share in a completely unvarnished, unfiltered, raw way.
    And while I originally argued that anonymity was a cowardice state that allowed people to be and feel comfortable being the anti-self that runs away from accountability, my stance has seen another side of this coin.

    Anonymity is Safe

    It becomes clear that humans, while inherently social, are discriminating of the things we disclose and to those to whom we share.  As per Solis,
    We now live three lives online and will continue to do so in future; one that disappears, one that is secret, and one that sculpts our legacy.

    If transparency breeds contempt, then anonymity should build acceptance

    The freedom to express opinion and judgement without feeling guarded, or without fearing others linking you to a statement is indeed liberating. And while this free reign may take the form of a soapbox soliloquy or criticisms (and perhaps bullying attacks) against opposing views, there is a large segment of users who want the ability to share a secret, or have a place to vent their frustrations or challenges — without the fear of reprisal.
    We all have this “secret” life and we should be fierce in demanding privacy for those things we want to remain private.
    Despite revelations from Snowden and the NSA that nothing on the net is private, this does not stop the wave of user adoption for applications like SnapChat, Whisper or Secret.
    Here are some recent stats for Snapchat from Mashable;
    snaptchat
    Launched at the tailend of 2012, it took less than 6 months for Whisper to accumulate 2 million users and a billion pageviews. Founder of Whisper, Michael Heyword said this about his vision for the app:
    Whisper allows people to emote online in a way that won’t ever be tracked to their permanent, cant-be-deleted data trail left by social media accounts…..Michael Heyward designed Whisper to let people take down the facade of perfection, anonymously, and just relate to one another. “You dont have to be this brand manager,” he says. “It’s exhausting.”
    whis2whis1
    I’ve recently downloaded Whisper and my experience has been more than liberating. It has allowed me an outlet to record my hopes, desires and more importantly, my anger and not-for-public emotions. Being judged in real life or on social takes its toll. If my reputation precedes me, then I will be discriminating about what I say in places where my content and identity are linked.
    Popular opinion just doesn’t matter. It’s irrelevant. But I want to track progress in my life: my emotions, my dark moments, my personal observations, my milestones — all in my own digital diary.
    Why shouldn’t users have the option to keep part of their identities secret and separate?

    It’s up to the next generation

    BF Skinner laid this out succinctly when he disclosed his theories on Operant Conditioning,
    The promise or possibility of rewards causes an increase in behaviour ….The removal of a desirable outcome or the application of a negative outcome can be used to decrease or prevent undesirable behaviours.
    This new medium has created is an endless volatile loop of positive and negative reinforcement. While transparency has extreme benefits, there are just as many negative consequences that have come as a result of creating this honesty within social channels. Society continues to send the wrong message to Millennials and GenZers, warning them to be more discerning and to suppress who they really are as individuals… warning them of the potential consequences should they venture down the wrong path.
    How we communicate today poses tremendous issues for this younger generation. Their experiences are grounded in the fear of being vulnerable… fear of being misjudged… fear of not being accepted… fear of being punished. When the next generation grows up, it’ll be up to them to shape the landscape and determine how to balance the impacts of transparency and anonymity.
    What do you think the future holds?
     
    CEO at ArCompany, and a seasoned digital strategist having held management positions for top Ad Agencies including Ogilvy, Rapp Collins, and Isobar Digital. She also has extensive start-up experience with launch successes like Yahoo! Answers. Hessie is also an active blogger/writer for ArCompany, Huffington Post, Digital Journal and WhatsYourTech.ca

    Le MIT a mis au point un matériau encore plus performant que le graphène

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    Des chercheurs du Massachussetts Institute of Technology et de l’université Harvard ont développé un nouveau matériau de synthèse qui serait encore plus performant que le graphène et ouvrirait la porte à toute une famille de nouveaux matériaux.

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    L’informatique et l’électronique de demain, ce seront des écrans souples, des processeurs mille fois plus puissants, des batteries que l’on recharge en quelques secondes… Des applications incroyables qui reposent sur de nouveaux matériaux pour remplacer ce bon vieux silicium. Et le graphène, jusqu’ici en bonne position pour devenir le graal des technologies émergentes, vient peut-être de se trouver un nouveau concurrent de poids.
    © JACS
    Diagramme de la structure moléculaire du nouveau matériau développé par le MIT et l'université d'Harvard.
    Ce sont des scientifiques de l’université d’Harvard (Massachussetts) et du MIT qui ont trouvé ce nouveau matériau, bidimensionnel comme le graphène. Il repose sur la combinaison de nickel et d’un mélange organique appelé HITP, d’où son nom : Ni3(HITP)2. Il présente plusieurs avantages par rapport au graphène, dont l’utilisation et surtout la fabrication est très contraignante.
    Tout d’abord, il est plus facile à produire. Ses composants s’assemblent eux-mêmes par strates parfaitement alignées qui prennent la forme d’un flocon. Cette « souplesse » devrait également permettre de plus facilement le contraindre pour des applications différentes.
    Ensuite, ce nouveau matériau possède une « bande interdite » utilisable. Pour schématiser, la bande d’énergie interdite est une partie du matériau qui ne conduit pas le courant électrique et se situe entre la bande de valence, non conductrice, et celle de conduction, qui permet le passage du courant. Cette capacité à éviter la déperdition électrique, à isoler le passage de courant est essentielle à la fabrication de composants électroniques ou à celle de cellules solaires.
    Or, si le graphène est un extrêmement bon conducteur électrique et thermique et s’avère très résistant, il manque d’une bande interdite, qui oblige ses utilisateurs à des contorsions visant à changer sa structure, notamment en attachant d’autres molécules, pour certains usages. Ces ajouts aboutissent en définitive à détériorer les performances du graphène.

    Le premier d'une grande famille ?

    Les chercheurs ont jusqu’à présent réaliser des tests de conductivités électriques avec des amas de Ni3(HITP)2. Les excellents résultats obtenus sont très encourageants car la version bidimensionnelle devrait autoriser des performances bien meilleures. Mircea Dincă, professeur assistant au MIT, déclarait : « nous avons toutes les raisons de croire que les propriétés des particules sont moins que celles d’une feuille. Mais elles n’en demeurent pas moins impressionnantes »
    Mais le meilleur reste peut-être à venir. Il se pourrait bien que ce nouveau matériau ne soit que le premier d’une grande famille d’éléments fabriqués à partir de différents métaux et composants organiques. « Nous avons désormais un arsenal entier de synthèses organiques et inorganiques », expliquait Mircea Dincă. Des matériaux qui pourront être travaillés afin « d’ajuster leur propriété, avec une précision atomique et des possibilités de modifications virtuellement infinies ».
    Ces travaux pourraient être appliqués aux composants électroniques, comme les super condensateurs, ou les cellules photovoltaïques. L’approche des chercheurs bostoniens est en tout cas saluée par le milieu scientifique qui loue « l’approche novatrice et surprenante » et la qualité d’un travail « extraordinaire ».

    Développez votre "winner attitude"

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    La "winner attitude" c’est le bon positionnement pour atteindre ses buts et ambitions. Car, que ce soit dans son lien aux autres, dans la réalisation de son travail, ou dans la mise en mots des projets professionnels, croire en soi ouvre les portes de la réussite.
    Nous sommes tous constitués de failles, de peur et  de craintes que « ça » ne fonctionne pas.
    De ne pas réussir à obtenir un marché, de rater une négociation, d’échouer dans nos objectifs. Loin d’être de la bonne pression, ce brouhaha anxiogène de nos pensées profondes édifie nos barrières psychologiques inconscientes. Celle-là  mêmes qui  inhibent toute possibilité de prise de risque.
    La winner attitude, c’est un outil avant tout. La possibilité de modifier nos anciens schémas de pensée pour nous orienter solution et positivisme. Si l’on ne devient pas sûr de soi du jour au lendemain, on peut repérer là où sont nos limites, et avec rigueur apprendre à marcher en vainqueur.

    La winner attitude

    La winner attitude c’est avant tout un positionnement intérieur qui produit un potentiel. En effet, savoir et croire en soi permet de convaincre, de rallier à soi mais aussi de prendre des risques et de se lancer dans l’océan des possibles. Pourquoi ? Parce que qui n’envisage pas l’échec ose. Que ce soit dans les mots que vous employez ou dans votre attitude intérieure et extérieure, savoir que l’on va réussir crée la réussite.
    Être positif est un acte difficile pour beaucoup d’entre nous car notre vécu est tissé de traumatismes, de sensations d’échec, ou de responsabilités financières qui nous donnent à entendre que l’échec est une possibilité tout aussi présente que la réussite. Pourtant, c’est bel et bien l’envisager qui crée la faille.
    C’est souvent cette peur qui est à la base des comportements de la névrose d’échec. Cette faculté à toujours entrer dans des projets professionnels à perte. C’est aussi la base de l’autodestruction.
    Cette névrose qui nous pousse à nous mettre nous-mêmes en échec au moment où tout aboutit. Le panel de névroses que crée notre positionnement intérieur est infini.

    Observez autour de vous, dans votre bureau, au cœur de votre siège professionnel

    Ce boss peu charismatique et autoritaire qui obtient l’ordre par la crainte suscitée chez ses employés et non par le respect qu’il dégage… qu’est-ce qui le différencie de ce patron qui a, sans user de despotisme, optimisé le potentiel de ceux qui travaillent pour lui ? Votre collègue, toujours hésitant dans ses mots, qui travaille jour et nuit sans jamais oser demander une augmentation… qu’est-ce qui le limite ? Son manque d’ambition ou sa peur d’exiger ? Ou ce commercial brillant, qui dit oui à tout ce que la hiérarchie exige sans jamais oser exprimer ses idées… 
    Le problème vient-il de l’entreprise qui l’emploie ou de sa difficulté à exprimer ses idées et de son impossibilité à assumer tout conflit ?
    La réponse à ces questions d’un point de vue psychologique sera toujours la même : la première limite de tout homme est avant tout intérieure. Vos êtes ce que vous pensez et vous exprimez ce que vous croyez être.

    La pensée positive

    Le premier pas, pour avancer, est donc de maîtriser ses pensées. Laissez de côté les anciens schémas  de pensée négatifs pour vous orienter solution et challenge. Habituez-vous à vous exprimer toujours de manière positive. Sur vous-même ou sur vos projets, face à vos collaborateurs ou employés, entraînez-vous à parler toujours positivement, même des pires problèmes.
    Car la pensée est une donné quantifiable. Elle produit une énergie perceptible et mesurable. Lorsque vous pensez négatif, ce que vous produisez  est différent de lorsque vos pensées sont positives. Chaque réflexion sur le monde crée et a un impact sur les individus qui vous perçoivent.

    Apprendre donc à contrôler et à maitriser ses pensées est la plus grande des forces

    Sur le plan psychologique, envisager des issues négatives lorsque vous lancez un projet produit un stimulus anxiogène. La crainte, vous l’aurez de manière inconscience, et lorsque vous parlerez de ce projet à quiconque qui vous écoute, vous transmettrez d’inconscient à inconscient que l’échec est possible, envisagé même.
    Dompter ces pensées est donc un facteur qui va vous aider à construire les plus grands des objectifs.
    La winner attitude est un état d’esprit qui influe donc sur vous-même comme sur ceux qui vous observent. Soyez persuadé de votre propre réussite et ainsi le garant de votre chemin.

    8 stratégies pour développer votre winner attitude

    • Visualisez-vous réussir avant chaque étape de concrétisation. Prenez un temps, yeux fermés, pour voir vos équipes ou vous-même en position de succès. Inutile de chercher à voir comment vous y arrivez, prenez l’histoire de votre parcours professionnel dans sa finalité positive et visualisez-vous le poing levé par la réussite.
    • Travaillez votre image. SI la winner attitude est une construction qui peut prendre du temps, sachez déjà donner l’apparence de quelqu’un a qui tout réussit. Marchez la tête vers le ciel, le pas assuré, regardez toujours vos interlocuteurs dans les yeux. Demandez, proposez, exigez… même si cela ne vous est pas naturel, ayez conscience que cela influe sur le regard que l’on porte sur vous.
    • Prenez conscience de l’impact de vos jugements sur votre attitude. Lorsque vous êtes en début de projet et que vous ne vous sentez pas capable d’y arriver, votre inconscient engrangera cette situation comme une possible mise en échec de votre personne. Vous serez par conséquent en difficulté pour réussir cette tâche mais aussi les suivantes. Donc, gardez toujours en tête que tout est question de perception, et que par définition ce n’est donc jamais objectif. L’impression que vous n’êtes pas apte à produire ce qu’il faudrait est avant tout une illusion, une mauvaise perception de votre personne.
    • Ne cherchez pas les raisons d’un succès ou d’un échec  dans des causes extérieures.
      Vous avez en main ce que vous vous créez. En business, la chance ou la malchance n’existe que pour ceux qui s’en remettent au hasard. Vous, ne vous en remettez qu’à vous-même et à votre capacité de savoir avancer au bon endroit. Assumez votre échec comme la possibilité d’apprendre à faire mieux, et vivez votre réussite comme la concrétisation de votre effort.
    • La confiance en soit s’acquiert aussi par le savoir. Lisez, instruisez-vous en profondeur sur le domaine d’action dans lequel vous souhaitez évoluer. Apprenez vos droits, consultez les recherches qui ont déjà été faites, mais aussi les techniques de management ou les livres relatifs au succès. La science et le savoir sont au business le cadre de tout challenge.
    • Prenez conscience de vos limites névrotiques. Souvent ce dont on ne se sent pas capable provient de notre chemin de vie, reste d’anciens traumatismes de notre petite enfance ou du temps où nous nous structurions comme être pensant. Ne prenez donc pas toutes vos pensées comme argent comptant. Sachez vous remettre en question, vos pensées encore plus lorsqu’il s’agit de vous-même. C’est aussi par là que se maîtrise toute pensée.
      Car peut-être que le stress qui vous fait tant bégayer lorsqu’il vous faut prendre la parole en meeting est le résultat d’une construction psychique de vos premières prises de parole dans le monde scolaire. Tout symptôme a une histoire. Cherchez à en remonter le fil.
    • Soyez sûr de vous sans avoir besoin du regard des autres. Dans le contexte professionnel, la rivalité, les conflits d’intérêt et les rapports aux autres sont toujours biaisés par le fait que chacun veut réussir, a peur du succès de l’autre. Depuis petit on nous apprend qu’il y a un lauréat, une réussite, une bonne réponse. On s’est donc structuré avec l’angoisse inhérente à toute action que si l’un réussit, nos chances à nous se réduisent alors. Cette idée est complètement fausse mais pourtant résonne en nous comme une névrose collective. Du coup sachez faire la part des choses entre les remarques que l’on vous fait pour que vous avanciez et celles qui sont faites sans fondement. Une seule solution donc, pour y arriver, savoir qui on est en dehors du regard des nos comparses du boulot. SI vous vous savez bon et éthique, rien ne doit vous en détourner.
    • La remise en question ne doit jamais se faire en collectivité. Vous avez le droit à l’erreur comme tout le monde. Mais faites-la, cette remise en question, en votre for intérieur. Car si l’on vous prend à remettre en question vos pas ou vos dires, bientôt autour de vous se créera l’aura que vous pouvez vous tromper. Et si c’est bel et bien le cas, dans un contexte professionnel mieux vaut ne jamais se déjuger ouvertement. Changez de route, en laissant toujours entendre que chacun de vos pas et les variables entrant en jeux sont prévus. Et s’ils ne l’ont pas été, vous saurez les interpréter, en saisir le sens… et le résultat est alors le même : prévoir et savoir gérer l’imprévu éventuel relèvent de la même sécurité intérieure.

    Appel pour la reconnaissance du syndrome d’épuisement au tableau des maladies professionnelles

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    Paris, le 22 janvier 2014


    Depuis une dizaine d’années, le mot de burn out s’est imposé dans le langage courant pour décrire l’épuisement professionnel des salariés. Tant que celui-ci touchait surtout les métiers à vocation, enseignants ou médecins, le sur-engagement paraissait presque aller de soi. Quand on aime, on ne compte pas… ses heures ou ses nuits ! Pourtant, aujourd’hui tout dérape. A leur tour, des cadres, des employés ou des agriculteurs sont frappés par une lassitude nommée travail.

    Quand à une charge excessive s’ajoutent une activité frénétique et l’épuisement émotionnel qui va avec, la pathologie psychique n’est pas loin. Une enquête récente du cabinet Technologia estime que plus de 3 millions d’actifs sont aujourd’hui en risque élevé de burn out en France.

    Cependant, le flou de l’expression ne permet ni de décrire ces affections ni de promouvoir leur reconnaissance en tant que maladies professionnelles. Les scientifiques et les médecins ont besoin d’autres données pour prendre en charge le phénomène.

    En effet, l’absence de tableaux de maladies professionnelles spécifiques rend ces affections psychiques très difficilement reconnues par la sécurité sociale. Il faut pour cela que la maladie présente une gravité justifiant une incapacité permanente égale ou supérieure à 25% et qu’un lien « direct et essentiel » avec l’activité professionnelle soit mis en évidence par le comité régional de reconnaissance des maladies professionnelles. Or, les critères réglementaires de recevabilité des demandes restent difficiles à réunir et le traitement par les comités régionaux de reconnaissance des maladies professionnelles est très hétérogène. Résultat, seuls quelques dizaines de cas de pathologies psychiques sont ainsi reconnus chaque année. Ce qui est loin de la réalité du burn out en France.

    Pourtant, les pathologies liées au sur-engagement ou à l’épuisement professionnels, regroupées dans ce qu’on appelle commodément le burn out, sont cliniquement identifiées et concernent des milliers de salariés. D’autres pays européens les reconnaissent comme maladie du travail. Un groupe de travail sur les pathologies professionnelles, mandaté par le Conseil d’orientation des conditions de travail (COCT), situe en effet le burn out à la frontière de trois pathologies précises, la dépression d’épuisement professionnel, l’état de stress répétés conduisant à une situation traumatique et l’anxiété généralisée. Les discussions à ce sujet devraient s’engager bientôt.

    Par conséquent, les signataires de cet appel, professionnels de la médecine du travail, de la santé mentale, de la prévention des risques professionnels ou des ressources humaines et de la qualité de vie au travail, demandent que la sécurité sociale puisse reconnaître rapidement deux nouveaux tableaux de maladies professionnelles liées à l’épuisement : la dépression d’épuisement et l’état de stress répété conduisant à une situation traumatique. Et demandent également une discussion avec les partenaires sociaux sur la dimension de l’anxiété généralisée dans le syndrome d’épuisement.

    Au-delà de la réparation due aux salariés abîmés par des organisations du travail délétères, l’objectif de l’appel est aussi d’engager avec les entreprises et les partenaires sociaux un dialogue de prévention. Bordé en amont par les réflexions en cours sur l’amélioration de la qualité de vie au travail, ce dialogue doit l’être en aval par l’existence de tableaux de maladies professionnelles d’ordre psychique qui seuls permettront de rappeler aux entreprises leurs obligations en matière de santé et de sécurité.
    Cet appel s’il est entendu permettra de surmonter le retard français en matière de prévention du risque psychique.
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