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MIT Video - Big Data: The Management Revolution


What Happens To Your Body After Just One Workout

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 | By Sarah Klein
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BENEFITS OF ONE WORKOUT

To reap the full range of life-extending, heart-protecting, sleep-promoting, obesity-thwarting benefits of exercise, you're going to have to get some regular activity. In fact, about two and a half hours a week of it.
Those hours should be moderate-intensity aerobic activity (think: brisk walking), according to the Physical Activity Guidelines for Americans. (More vigorous exercisers can cut back on time as they up the intensity, but everyone should also aim for a couple of strength-training sessions a week, according to the Guidelines.)
But exercise also happens to be one of those cases where something is most certainly better than nothing. While we can only encourage you to stick with it, you should be proud of yourself even just for a single sweat sessions, thanks in part to these pretty powerful perks of just one workout.
Your DNA can change.
dna change
In a 2012 study, Swedish researchers found that among healthy but inactive adults, mere minutes of exercise altered genetic material in muscle cells. Of course, we inherit our DNA from our parents, but lifestyle factors like exercise can play a part in expressing or "turning on" certain genes. In the instance of exercise, it appears to affect gene expression for strength and metabolism.
You'll be in better spirits.
mood improves
As you kick off your workout, your brain will start to release a number of different feel-good neurotransmitters, including endorphins, which are the most commonly cited explanation for the so-called "runner's high" and serotonin, which is well known for its role in mood and depression.
You may be protected from diabetes.
diabetes
Like with the subtle changes to DNA, small changes to how fat is metabolized in muscle also occur after just one sweat session. In a 2007 study, University of Michigan researchers found that a single cardio workout increased storage of fat in muscle, which actually improved insulin sensitivity. Low insulin sensitivity, often called insulin resistance, can lead to diabetes.
You'll become more focused.
focus
The surge of blood to the brain when you start huffing and puffing kicks brain cells into high gear, leaving you feeling more alert during your workout and more focused immediately after. In a 2012 review of the research on the mental effects of exercise, researchers noted improvement in focus and concentration from bouts of activity as short as just 10 minutes, the Boston Globe reported.
Stress will fade.
elliptical workout
The Anxiety and Depression Association of America estimates that about 14 percent of people turn to exercise to mitigate stress. And even though pounding the pavement is, by definition, a stress response (cortisol increases, heart rate quickens), it really can ease some of the negativity -- even when exercise itself stresses you out. It's likely a combination of factors, including the influx of extra blood to the brain and the rush of mood-boosting endorphins out of it.

Comprendre toute l'histoire économique récente en un graphique

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En abscisse, l'échelle de la distribution des revenus; en ordonnée, le pourcentage d'augmentation des revenus. Lecture: entre 1988 et 2008, les revenus des 5% les moins riches ont stagné, ceux situés au milieu de la distribution des revenus ont augmenté de 80%, ceux des «1%» ont augmenté de 60%. © James Plunkett



Voici un fantastique graphique qui explique les fondamentaux de l'histoire économique. Il a été annoté par James Plunkett et il est tiré d'un graphique de l'économiste des inégalités Branko Milanovic. Il montre que les revenus augmentent entre 1988 et 2008 pour chaque centile de revenu.
Le graphique vous permet de voir comment les divers groupes de revenus ont prospéré ou stagné dans les dix dernières années (il s'arrête en 2008 mais on peut présumer sans risque que le graphique n'aurait pas l'air très différent aujourd'hui).
 
Dans le graphique, vous pouvez voir comment les centiles aux revenus les plus bas ont connu une croissance monstrueuse depuis la fin des années 1980. Cette croissance représente les économies émergentes et l'essor de la classe moyenne chinoise. Ensuite, il y a la classe moyenne mondiale développée, qui n'a presque pas connu de véritable croissance ces dernières décennies (ce qui explique probablement beaucoup de l'actuelle angoisse à propos des inégalités). Enfin, l'essor de l'ultra-élite, le 1% mondial, qui s'en est sortie fantastiquement bien pendant tout ce temps.
Comme James Plunkett le dit, chaque élite à Davos devrait voir et comprendre ce graphique.

Joe Weisenthal
Rédacteur en chef de Business Insider

BNP Paribas, une nouvelle péripétie dans la longue guerre économique transatlantique

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Depuis longtemps, la France contrarie les projets des Etats-Unis avec ses positions contre les OGM, sa défense de l’exception culturelle, son rôle moteur dans Airbus ou l’agriculture européenne.
Un bâtiment officiel à Washington, le 10 février 2014, lors de la visite de François Hollande aux Etats-Unis. REUTERS/Kevin Lamarque- Un bâtiment officiel à Washington, le 10 février 2014, lors de la visite de François Hollande aux Etats-Unis. REUTERS/Kevin Lamarque -
A 10 milliards de dollars, l’amende qui menace BNP Paribas aux Etats-Unis fait passer pour un amuse-gueule celle de 770 millions de dollars à laquelle la France avait été condamnée par la justice américaine dans l’affaire Executive Life. Il est vrai qu’avant d’aboutir à cette transaction, les négociations avaient été longues et tendues pendant plus de dix ans, l’évaluation de l’amende au départ portant sur quelque 2 milliards de dollars. Et une partie de l’amende avait été effacée en appel. Rien ne dit que le montant supposé de l’amende de BNP Paribas, révélé par le Wall Street Journal et qui a été multiplié par cinq en un mois, rappelle l’Agefi, en restera donc là.
Mais ce n’est pas le seul volet de ce dossier: la capacité de la banque française à pouvoir exercer aux Etats-Unis, dont elle pourrait être privée au cas où la licence lui serait retirée, en est un autre. L’enjeu est de taille.
 ATriste privilège pour BNP Paribas que de devoir essuyer l’explosion de l’ire de la justice américaine, alors que les reproches formulés à l’adresse de la banque française apparaissent contestables. Pas de blanchiment d’argent ni de manipulation boursière, mais des transactions avec des pays frappés par un embargo américain. A ceci près que BNP Paribas est une banque française et que la France, à la différence des Etats-Unis, n’a pas placé Cuba sous embargo. L’Union européenne elle-même y est hostile.

Pas de trêve dans la guerre économique

De sorte que les accusations ne sont pas forcément fondées au regard des droits français et européen et des règles de l’ONU. Mais  les opérations incriminées ont été libellées en dollars, ce qui semble suffire au département des services financiers de l'Etat de New York pour les juger sur la base du droit américain.
Ainsi assiste-t-on à une nouvelle manifestation de la guerre économique que se livrent les grandes puissances, les Etats-Unis entendant bien imposer leur standard juridique à leurs partenaires pour accroître leur influence.
On ne peut s’empêcher de voir, en arrière plan de cette affaire, divers dossiers comme le coup d’arrêt donné par le gouvernement français au rachat des activités d’Alstom dans l’énergie par General Electric, ou les inquiétudes émises dans l’Hexagone à propos d’une ouverture plus large du libre échange entre les Etats-Unis et l’Europe dans le cadre des négociations Tafta. Inquiétudes ou fantasmes qui irritent.

La longue histoire d’un bras-de-fer dans l’agriculture et l’aéronautique

En réalité, entre la France et les Etats-Unis, les motifs à confrontation sont multiples et depuis fort longtemps. On peut s’étonner que la France puisse être considérée comme un gros caillou dans la chaussure de l’Oncle Sam, tant les poids économiques des deux pays sont différents. Pourtant, sur des dossiers stratégiques pour les Etats-Unis, elle fait figure d’empêcheur de tourner en rond.
C’est le cas dans l’agriculture, sur fond d’aides publiques. D’un côté, l’Amérique défend ses paysans en subventionnant massivement leurs productions soit par des soutiens directs, soit par des aides indirectes depuis que les premiers ont été revus à la baisse. De l’autre, l’Europe a mis en place la politique agricole commune (PAC) impliquant des subventions dont les agriculteurs français sont les premiers bénéficiaires dans l’Union.
Or, sur les marchés mondiaux, les agricultures américaine et européenne font à peu près jeu égal, avec un peu moins de 20% de part de marché chacune. Forcément, même rattrapée par l’Allemagne voire dépassée dans certaines productions, la France en pointe dans ce secteur à l’export, se retrouve en concurrence frontale dans des pays tiers avec les exportations américaines.
En outre, la France fait partie des opposants les plus farouches aux produits génétiquement modifiés. Elle entretient un foyer de résistance qui, aux yeux de l’administration américaine, pollue les négociations internationales et est à ce titre un frein au développement des exportations américaines de productions OGM. Et le lobby de Washington ne faiblit pas pour tenter d’infléchir la position française.
Un autre dossier qui saute aux yeux est celui de l’aéronautique civil, avec le bras-de-fer entre Boeing et Airbus dans lequel la France joue un rôle moteur avec l’Allemagne. Pendant que les deux groupes se disputent le leadership mondial dans les avions commerciaux, les capitales s’accusent mutuellement de subventionner leur champion réciproque et ont porté leur différend devant l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Paris, sur ce dossier maintes fois présenté par Washington comme stratégique pour l’industrie américaine et ses exportations, est aux avant-postes.
On a d’ailleurs noté que, à propos de la commande d’avions ravitailleurs du Pentagone remportée au départ par Airbus et finalement attribuée à Boeing, Washington ne comptait pas laisser le concurrent européen profiter d’aucune opportunité. Quitte à révéler une facette très protectionniste de sa politique! Paris et Berlin ont été renvoyés dans leurs buts.

L’impertinence française de l’exception culturelle

La France joue aussi la mouche du coche lorsque, dans les négociations internationales, elle s’accroche depuis plus d’une vingtaine d’années au principe d’exception culturelle pour justifier que ce secteur soit exclu des négociations sur le libre échange.
Ce n’est pas un hasard si elle est le pays qui, dans les principaux pays de l’OCDE, accorde une plus grande part à ses productions cinématographiques nationales et est en revanche le moins ouvert aux productions américaines (même si celles-ci se taillent plus de la moitié du marché).
Et l’an dernier, elle avait tracé une ligne rouge: si l'exception culturelle n'était pas respectée, la France n'accorderait pas de mandat à la Commission européenne pour négocier l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et les Etats-Unis. D’autres pays ont depuis rejoint la France.
Mais pour le commerce américain, les productions cinématographiques sont une industrie tout aussi stratégique que l’aéronautique: en termes de royalties, l’entertainment rapporte plus à l’économie américaine que les ventes d’avions de ligne. Car il ne s’agit pas que de productions cinématographiques, mais de tous les contenus audiovisuels qui circulent notamment sur internet. C’est bien pour renforcer cette exception culturelle que le rapport Lescure a dressé 80 propositions qui ne peuvent qu’irriter les géants américains fournisseurs de contenus.
C’est dans ce contexte chargé que la justice américaine s’est saisie du dossier BNP Paribas, juste après celui de Crédit Suisse (accusé d’avoir favorisé la fraude fiscale). La banque française n’est pas une inconnue outre Atlantique: avec ses filiales Bank of the West et de First Hawaiian Bank, elle s’appuie sur 675 agences pour servir 3,5 millions de clients et se place au 7e rang des banques commerciales de l’ouest des États-Unis. De quoi faire naître des convoitises à une période où les banques européennes n’ont pas forcément une bonne image.
La guerre économique ne connaît pas de trêve, surtout face à un adversaire qui, s’il dérange, ne peut offrir beaucoup de résistance. D’où l’intérêt, pour la France, de ne pas laisser se lézarder un front européen. 
Gilles Bridier

La NSA a récupéré des millions de visages sur le web

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La NSA a récupéré des millions de visages sur le web
Les activités de l'agence nationale de la sécurité américaine, la NSA, sont nombreuses, et ce ne sont pas les révélations d'Edward Snowden qui diront le contraire. Il n'y a donc pas uniquement les communications, orales ou écrites, qui soient prises en compte... Les visages présentent aussi un intérêt tout particulier, la NSA en a d'ailleurs récupéré des millions...
Les documents de Snowden révèlent ainsi que la NSA a usé, et abusé, de ses logiciels de reconnaissance faciale pour écumer le web et retrouver la trace de certaines personnes dans des enquêtes en cours. L’agence est par exemple capable de déterminer si la personne sur la photo a un passeport valide ou si un quelconque informateur a mentionné ladite personne. Le programme prend aussi en considération les petites modifications physiques (cheveux, barbe, etc), associent les informations de localisation et brassent des milliers et des milliers de clichés – 55 000 par jour en 2011 de bonne qualité sur plusieurs millions de photos -.
Comme pour les appels et les messages, la NSA ne peut pas, officiellement, demander des informations à partir d’une photo de quelqu’un sans avoir de mandat. Ceci dit, rien, ou presque, ne protège la « simple » collection de portraits… Alors certes, un portrait est bien moins privé qu’un message, mais tout de même, les détracteurs s’inquiètent, à juste titre, d’une possible diminution de la vie privée… En savoir autant sur une personne à partir d’une simple photo a de quoi faire peur…

Detroit’s apocalyptic downturn visualized using Google Street View

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Detroit declared bankruptcy last year and parts of the city are suffering severely from its economic decline. These changes are clearly illustrated by GooBing Detroit, a Tumblr blog that compares images from Google’s Street View Time Machine feature to show how houses and neighborhoods have deteriorated over recent years.
Here’s one example — while the collection is reasonably new and not hugely extensive at this point, the images are powerful.
GooBing Detroit 730x1448 Detroits apocalyptic downturn visualized using Google Street View
Thumbnail image via Joshua Lott / AFP / Getty Images

Comment construire votre réseau

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Le 01/04/2013
reseauDes réseaux personnels solides ne se créent pas devant la machine à café. Ils doivent être tissés avec soin. Voici la marche à suivre pour renforcer vos relations.
Si vous demandez à des Américains « Qui était Paul Revere ? », la plupart connaîtront probablement la réponse. Il a en effet été immortalisé dans un poème d’Henry Longfellow qui commence ainsi : « Ecoutez, mes enfants, l’histoire de la chevauchée nocturne de Paul Revere. » Mais combien d’entre eux, mis à part les étudiants en histoire, sauront qui était William Dawes ? Dans la nuit du 18 avril 1775, les deux hommes ont quitté Boston à cheval, et tous deux ont alerté le pays sur l’imminence de la guerre de l’Indépendance américaine. William Dawes est parti vers le sud et Paul Revere vers le nord. Les villes qu’ils ont traversées étaient comparables sur le plan démographique. Tous deux étaient issus du même milieu social et avaient reçu une éducation similaire. Pourtant, seul Revere est parvenu à former une milice et lui seul est devenu célèbre.
D’où vient une telle différence ? Elle est en grande partie due au type de réseau de chacun. Paul Revere était courtier en information, une personne qui occupe un rôle clé dans un réseau social en mettant en relation des groupes d’individus disparates. Durant son périple, il ciblait des citoyens disposant d’un bon réseau, et son message s’est donc rapidement répandu, comme l’explique Malcolm Gladwell dans son livre « Le Point de bascule ». William Dawes, lui, n’était pas courtier en information. Il ne savait donc pas à quelle porte frapper lorsqu’il entrait dans une nouvelle ville. En conséquence, les informations qu’il a transmises ont circulé au sein d’un petit groupe de personnes plutôt que de se répandre.
Comment construire votre réseau 1
Imaginons que l’information véhiculée par ces messagers ne concerne pas les soldats britanniques, mais une nouvelle idée de produit ou une manière différente de gérer une équipe. Si cette information n’est pas transmise aux bonnes personnes, elle va peu à peu disparaître. Avant que Microsoft ne devienne une marque célèbre, Bill Gates disposait d’un atout particulier dans son réseau : sa mère, Mary Gates, qui siégeait au conseil d’administration d’United Way aux côtés de John Akers, un cadre dirigeant d’IBM. A l’époque, Akers cherchait à introduire IBM sur le marché des ordinateurs de bureau.
Mary Gates attira son attention sur l’émergence d’un nouveau genre de PME dans le secteur informatique. Selon elle, ces start-up avaient le potentiel pour concurrencer les grandes sociétés avec lesquelles IBM avait l’habitude de nouer des partenariats. Les propos de Mary Gates ont peut-être changé la vision de John Akers dans sa recherche de partenaires pour le nouveau système d’exploitation (DOS) des PC d’IBM, ou ils ont peut-être confirmé ce qu’il savait déjà. Quoi qu’il en soit, Akers a étudié des propositions émises par des PME, dont Microsoft. La suite fait partie de l’Histoire : Microsoft a remporté le contrat DOS, a fini par éclipser IBM et par devenir le groupe informatique le plus puissant. Sans le solide réseau de Bill Gates, un nouveau système d’exploitation révolutionnaire aurait peut-être sombré dans l’oubli, à l’instar de William Dawes.
Des études ont montré l’existence de la même corrélation entre des réseaux tels que celui de Paul Revere et le succès de différents projets commerciaux. Ce sont en effet les réseaux qui déterminent quelles idées deviennent des innovations, quels nouveaux médicaments sont prescrits, quels agriculteurs exploitent les cultures résistantes aux insectes et quels ingénieurs de R&D font les découvertes ayant les plus grandes répercussions. Dans sa monumentale étude de 1998 sur les innovations dans les domaines de la science, des arts et de la philosophie, le sociologue Randall Collins, de l’université de Pennsylvanie, a montré que les découvertes révolutionnaires que l’on doit à de grands hommes tels que les Sept Sages de la Grèce antique, ainsi que Freud, Picasso, Pythagore ou Watson et Crick (structure de l’ADN), ont résulté d’un type particulier de réseau personnel ayant favorisé une créativité individuelle exceptionnelle. De fait, Collins n’a pu trouver que trois exceptions dans toute l’Histoire : le métaphysicien taoïste Wang Chung, le spiritualiste zen Bassui Tokusho et le philosophe arabe Ibn Khaldun.
Dans cet article, nous allons étudier de près les rouages internes des réseaux. Nous vous montrerons aussi comment évaluer votre réseau actuel, comment en bâtir un plus puissant et comment le gérer de manière active.

Etude Amadeus : trafic aérien en hausse, porté par 300 "super-lignes"

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[23/04/2013]
Amadeus publie un état des lieux pertinent du trafic aérien mondial, marqué par une croissance du secteur en 2012 (+5%), grâce à des marchés clés comme l’Asie et l’Amérique latine, et à 300 « super lignes » rassemblant chacune plus d’un million de voyageurs par an.
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Amadeus a utilisé la solution Amadeus Air Traffic Travel Intelligence pour passer au révélateur un secteur aérien en pleine mutation à l’échelle mondiale. Il en ressort notamment une dynamique de croissance (+5%) enregistrée en 2012, portée principalement par l’Asie (9%) et l’Amérique latine (6%). Le marché asiatique s’affirme d’ailleurs comme un véritable carrefour aérien : c’est là que la concurrence est la plus rude, avec 75% des liaisons assurées par trois compagnies aériennes ou plus. L’Asie truste d’ailleurs le classement des liaisons les plus fréquentées à l’échelle mondiale, en plaçant sept lignes dans le top 10 dont la principale : Jeju-Séoul, en Corée du Sud (10 156 000 de voyageurs pour la seule année 2012). L’autre enseignement de l’étude réside dans la concentration du marché mondial, qui s’articulerait autour de 300 « super lignes » regroupant 22% du trafic global selon Amadeus.


Le marché européen affiche néanmoins une plus faible densité : 45% du trafic serait assuré par une à deux compagnies, tandis que les transporteurs low-costs y sont plus présentes que dans toute autre région (+1,5% en 2012, à 38% de parts de marché). « Cette étude est porteuse de bonnes nouvelles pour les compagnies aériennes, puisqu'elle montre que le trafic aérien de voyageurs a augmenté dans toutes les régions de la planète entre 2011 et 2012 » souligne Pascal Clement, Head of Travel Intelligence, Amadeus. « Comme en 2011, l’Asie est en tête de la croissance et les données recueillies font espérer une poursuite du dynamisme de ce continent, où un nombre restreint de lignes concentrent pour l'instant l'essentiel du trafic. La solution Amadeus Air Traffic permet aux compagnies aériennes de programmer et de développer des réseaux qui répondent aux réalités du trafic de voyageurs et à un besoin avéré du marché, mis en évidence par des données complètes sur les liaisons empruntées ».

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  • Les voyageurs d’affaires recourent de plus en plus volontiers à leur appareil mobile pour réserver leur chambre d’hôtel pendant leurs déplacements professionnels. HRS Corporate a doublé le nombre des réservations effectuées via smartphones et tablettes en 2013, pour atteindre 12% des transactions.
  • IPass vient de lancer sa nouvelle solution Business Traveler 2.0, qui doit faciliter l’accès au WiFi des voyageurs d’affaires pendant leurs déplacements professionnels, tout en leur garantissant une sécurité accrue de la connexion à tarif préférentiel.
  • American Express ajoute un nouvel atout à son panel technologique : l’agence de voyage d’affaires a officialisé le 21 mai un accord avec Sabre lui permettant de proposer son outil de gestion des déplacements professionnels TripCase.

Le monde selon Bush

Babylone la cité du péché

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100 km au sud de l’actuelle Bagdad, près de la ville moderne de Hilla. À partir du début du IIe millénaire av. J.-C., cette cité jusqu’alors d’importance mineure devient la capitale d’un royaume qui étend progressivement sa domination à toute la Basse Mésopotamie et même au-delà. Elle connaît son apogée au VIe siècle av. J.-C. durant le règne de Nabuchodonosor II qui dirige alors un empire dominant une vaste partie du Moyen-Orient. Il s’agit à cette époque d’une des plus vastes cités au monde, ses ruines actuelles occupant plusieurs tells sur près de 1 000 hectares. Son prestige s’étend au-delà de la Mésopotamie, notamment en raison des monuments célèbres qui y ont été construits, comme ses grandes murailles, sa ziggourat (Etemenanki) qui pourrait avoir inspiré le mythe de la tour de Babel et les jardins suspendus dont l’emplacement n’a toujours pas été identifié. Babylone occupe une place à part en raison du mythe qu’elle est progressivement devenue après son déclin et son abandon qui a lieu dans les premiers siècles de notre ère. Ce mythe est porté par plusieurs récits bibliques et également par ceux des auteurs gréco-romains qui l’ont décrite et ont ainsi assuré une longue postérité à cette ville, mais souvent sous un jour négatif. Son site, dont l’emplacement n’a jamais été oublié, n’a fait l’objet de fouilles importantes qu’au début du XXe siècle sous la direction de l’archéologue allemand Robert Koldewey, qui a exhumé ses monuments principaux. Depuis, l’importante documentation archéologique et épigraphique mise au jour dans la ville, complétée par des informations provenant d’autres sites antiques ayant eu un rapport avec Babylone, a permis de donner une représentation plus précise de l’ancienne ville, au-delà des mythes. Il n’empêche que des zones d’ombres demeurent sur l’un des plus importants sites archéologiques du Proche-Orient ancien, tandis que les perspectives de nouvelles recherches sont réduites du fait de la situation politique de l’Irak.
 

http://www.louvre.fr/oeuvre-notices...
http://jdtr.pagesperso-orange.fr/Ha...
http://home.nordnet.fr/caparisot/ht...
http://secretebase.free.fr/civilisa...








La cybergénération prendra le pouvoir

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Il est possible de mesurer l’importance d’une personne comme d’une technologie à l’admiration et la crainte qu’elles suscitent. Or, l’ère Gutenberg semble faire place irrémédiablement à l’ère numérique avec l’avènement des nouveaux réseaux d’information et de communication. Cette révolution qui a déjà bouleversé nos habitudes, ne va pas sans modifier fondamentalement les schèmes de pouvoir, provoquant une crispation des élites en place, celles là même qui de profits cyniques en privilèges exorbitants en sont venues à mériter le statut de parasites de la République. Les frelons ont investi l’industrieuse ruche républicaine, et non content de se délecter carnassièrement de ses occupants en viennent désormais à la saccager. C’est ici qu’interviennent les vigies numériques qui du rôle d’observateurs pourraient bien se retrouver propulsées au rôle d’acteurs.
Cybereurope
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La génération Internet, combien de divisions ?
 
Eclaircissons au préalable un point particulier qui ne saurait relever du simple détail : lorsque l’on fait mention de génération Internet, elle ne saurait être réduite à une fallacieuse restriction de classe d’âge. Il est néanmoins possible de dégager une tendance lourde où la majeure partie des Internautes auraient entre 20 et 40 ans [1], encore faut-il dissocier espaces communautaires et blogs où le différentiel semblerait plus accentué (les espaces communautaires nécessitant effectivement certaines connaissances acquises par la formation ou l’expérience puisque confrontées à la critique avisée d’autres participants).
L’un des aspects les plus prégnants des diverses études menées est que cette population dispose d’un niveau souvent intellectuellement et/ou professionnellement élevé. Ce qui n’est pas sans conséquence dans une société où l’ascenseur social stagne voire repasse aux étages inférieurs, où une frange conséquente de jeunes diplômés sont condamnés à la précarisation et à l’incertitude de leur avenir, et où des cadres du public comme du privé, insérés eux dans la vie active, sont maintenus dans une pression permanente de stress pouvant les amener à des actes irrémédiables sans avoir la certitude que leur progéniture bénéficiera du fruit de leur labeur. Foncièrement critiques envers la société, ces utilisateurs/producteurs du cyberespace sont porteurs d’une autre vision sociale comme créateurs de contenus ne rentrant guère dans le moule de la société consumériste contemporaine.
 
Encore en phase de gestation plus ou moins prononcée, il n’en reste pas moins que le « poids » de cette génération est d’ores et déjà pris en compte par les responsables politiques et économiques [2]. Car si chaque Internaute n’est pas un producteur de contenu, il est en revanche souvent relayeur de celui-ci, formant une chaîne où l’un de ces relais peut se muer à son tour en producteur. De fait, la réputation d’une marque ou d’une personne publique peut facilement être ébranlée ou encensée par les nouveaux médias des masses : c’est d’ailleurs cette prise de conscience par les autorités qui les incitent à vouloir transformer Internet en un simple espace régulé à vocation purement commerciale ou suffisamment aseptisé pour le rendre inoffensif : c’est que je nomme la minitélisation d’Internet.
 
Car Internet bouleverse le monde, et en principale ligne de mire les élites politico-économico-médiatiques, celles-là mêmes qui évoquent sans relâche l’ouverture au monde et la flexibilité (sans en connaître les affres, ce qui est tout de même fort pratique) tout en craignant de perdre le monopole du pouvoir. Pouvoir considéré comme un bien personnel transmissible à leur descendance tant le concept de reproduction endogamique sociale est dorénavant poussé à son paroxysme dans une majorité de pays occidentaux.
 
La France mais aussi ses partenaires Européens n’ont aucunement compris ce qui se passait sous leurs pieds : entre autres exemples, l’émergence de Partis Pirates Internationaux, à commencer par la Suède où une décision inique d’une institution judiciaire mit le feu aux poudres, est symptomatique qu’une prise de conscience globale est en train d’émerger et que la dépossession du cyberespace par ses acteurs est devenue un objectif patent pour les autorités institutionnelles et les groupes privés influents. Seulement comment stopper une entité organique ? Internet croît avec sa grappe d’innovations, et ne cesse de déjouer les prévisions en créant de nouvelles façons d’évoluer en son sein. Là où les élites pensent affronter un outil froidement mécanique et centralisé, ils font face en réalité un univers vivant capable de trouver à chaque problème une solution par l’action de l’intelligence collective. Les moyens d’action préalablement employés avec réussite à l’encontre des mass media deviennent entièrement caducs concernant Internet.
 
Ces mass media qui ont pour fonction désormais non d’informer mais de relayer ce qui est permis sans recul critique nécessaire. La différence sémantique est d’importance car leur docilité obtenue par la pression comminatoire ou l’octroi de subsides destinés à soutenir leur activité vacillante avec en sus le soupçon récurrent de collusion entre le monde politique et journalistique, fruit de liaisons dangereuses, est une stratégie qui se veut permanente au profit d’une personne physique comme d’un groupement politique qui eux-mêmes peuvent être foncièrement perméable à des intérêts privés et/ou communautaristes puissants. Instructif de relever que les mass media tout en vilipendant de temps à autre ce nouveau moyen de communication à travers toutes ses ramifications technologiques, usant de propos réellement condescendants et blessants par ses plus éminents représentants, en viennent de façon désormais chronique à réagir à la suite de bourdonnements (appelés aussi buzz) émanant de ce dernier.
 
Seul hic : le média des masses qu’est Internet permet l’échange, la comparaison et la multiplication des angles d’un sujet ou d’une situation. Difficile dans ces conditions de pouvoir tromper tout le monde, difficile de viser un individu en particulier à seule fin d’enrayer la propagation d’une information pouvant être dupliquée à l’envie. Les solutions ébauchées par les gouvernements faisant l’objet de la seconde partie du présent article dont je vous invite à en prendre connaissance.
 
Contrefaçon, terrorisme, pédophilie : le triptyque gagnant pour « détruire » Internet
 
Pour mener une guerre dans les démocraties modernes, il convient de se parer du rôle du défenseur animé des plus nobles intentions. Le panel de notre époque est bien établi et permet de rallier un maximum de partisans : la pédophilie (qui voudrait que l’on s’en prenne à ses enfants ?) ; la contrefaçon (qui voudrait que son labeur ne soit aucunement rémunéré à sa juste valeur ?) ; le terrorisme (qui voudrait perdre la vie suite à une action meurtrière d’un fanatique ?) sont les trois épouvantails autorisant les sociétés occidentales à renier les principes humanistes ayant libéré antérieurement la connaissance et les peuples.
 
Il a souvent été énoncé qu’Internet était un espace de non-droit par les zélateurs de lois intrusives comme souvent inefficaces, devenant le cas échéant le parfait adjuvant d’une démocratisation de solutions de cryptage rendant la tâche des services de surveillance et de sécurisation des intérêts nationaux encore plus ardue. Ce paralogisme illustre à merveille la méconnaissance d’une part de l’applicabilité des règles juridiques, et ce faisant de la capacité d’interprétation des magistrats ainsi que du rôle de la jurisprudence, comme d’autre part un acharnement qui participant à l’inflation législative et à la difficile compréhension de la Loi par le citoyen. Il y a aussi une part conséquente de sophisme, en ce sens que les responsables à l’origine de mesures législatives poursuivent d’autres buts que ceux annoncés, et visent à circonscrire soit les effets d’Internet en aval (en touchant ses utilisateurs), soit à le neutraliser en amont (par l’entremise d’une coupure de l’abonnement ou d’un filtrage aux frontières) [3].
 
Pourtant les élites devraient se méfier car en procédant d’une telle sorte elles amorcent une cyberguerre dont elles ne mesurent que difficilement les conséquences à terme. Elles censurent un outil qui a libéré la créativité, relayé l’innovation au profit de tous et apporté un souffle bienvenu à l’économie traditionnelle au moment où celle-ci peinait. En stigmatisant toute une frange de la population par des mesures vexatoires ou des ponctions fiscales inadaptées et injustifiées, elles n’aboutissent pas à se priver uniquement d’apports humains essentiels à la bonne marche et au rayonnement d’un Etat : elles poussent à l’incompréhension, la frustration et enfin à la révolte.
 
Or c’est affronter là un adversaire sur son propre terrain, et qui saura apprendre à évoluer plus vite et plus efficacement que les esprits rétifs à l’avènement d’une nouvelle ère [4].
 
L’ère numérique, le souffle d’un changement nécessaire
 
Il faut vraiment profiter à plein du système pour ne plus rien y voir en dehors. L’exemple Français en est symptomatique par l’aveu d’un régime désormais ouvertement clanique et non plus méritocratique. L’absence d’alternative réelle d’un système rodé pour ne conserver que l’illusion que le peuple a encore une quelconque importance à ses yeux est efficient à des degrés plus ou moins divers au sein des pays occidentaux. Ces sommets aux coûts ahurissants entre gens du même monde pour discuter de l’avenir de millions de personnes sans changer pour autant de conduite sont l’exacte démonstration que le système tourne en roue libre et n’a aucunement pour objectif une quelconque amélioration et élévation au profit du plus grand nombre.
 
La génération Internet est par conséquent légitimement appelée à prendre les rênes de pays aux mentalités sclérosées et aux schémas d’action et de pensée dépassés par les évènements. Les régimes oligarchiques occidentaux ayant failli dans leur mission de former et protéger les citoyens : se contentant de les transformer en consommateurs tout en éviscérant sciemment toute notion de solidarité à seule fin de les contrôler. Le déclassement social, les abus des autorités et leurs affidés, les restrictions unilatérales, la fatuité et l’égoïsme des puissants, la violence gratuite par manque de repères sociaux et de juste autorité, l’omniprésence d’une économie rentière ne peuvent que donner lieu à un besoin de changement : la génération Internet EST ce changement.
 
Innovation, infrastructures, investissements et institutions doivent devenir les mots clefs d’une génération ayant pour principale tâche de construire l’avenir et non de ponctionner jusqu’à épuisement le miel de la ruche à son seul profit. C’est un défi d’importance, mais le plus noble de tous.
 
[2] Cf Emission Ca se dispute du 24 octobre 2009 entre Eric Zemmour et Nicolas Domenach. Rajoutons que les réseaux sociaux disposent d’un rôle de premier plan, débordant parfois du strict cadre virtuel pour aboutir, entre autres exemples, aux flash mobsà connotation activiste.
[3] L’Allemagne a adopté une loi en juin 2009 (Gesetz zur Erschwerung des Zugangs zu kinderpornographischen Inhalten in Kommunikationsnetzen), véritable réplique Européenne de celle déjà en vigueur en Australie depuis octobre 2008 visant à « protéger » les Internautes en établissant un filtre sur le réseau des réseaux (Cyber safety Plan).
[4] A l’heure où les hérauts de textes législatifs font étalage de leur incapacité à comprendre la véritable nature d’Internet, perçue à leurs yeux comme un ensemble centralisé, comment leur expliquer que l’avènement prochain du WiFi Direct va encore accélérer l’impossible contrôle total des flux d’informations ?

IBM s’écroule dans les serveurs, Cisco en forte croissance

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Cisco UCS - BF
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Les cartes sont-elles en train d’être redistribuées sur le marché des serveurs? IBM subit une baisse de 25% de son chiffre d’affaires et Cisco vit une belle croissance mais vend encore peu de machines comparativement. On voit apparaître un nouveau venu pour la première fois dans le Top 5, le chinois Inspur Electronics qui a quadruplé ses ventes. 
Le chiffre d’affaire global des ventes serveurs est en net recul au niveau mondial au premier trimestre 2014, selon l’institut Gartner. Le montant des ventes a reculé de 4,1% bien que le nombre d’unités vendues ait augmenté de 1,4%.
IBM touché fortement
C’est IBM qui est touché le plus fortement que ce soit pour ses serveurs x86, Risc ou Mainframe. « La faute à des cycles de vie peu dynamiques pour ses produits de manière cyclique » veut expliquer Gartner. Le chiffre d’affaire de Big Blue dans les serveurs est en recul de 25,5% entre le premier trimestre 2013 et le premier trimestre 2014. Quant aux Mainframes plus particulièrement, au sein des serveurs, la baisse du chiffre d’affaires est de 37,6%.
Dell vit un recul de 5,5% et HP de 2,3%. En revanche, Cisco explose ses résultats, en vivant une croissance de 37% de son chiffre d’affaire lié aux serveurs. La récente prédiction de John Chambers, PDG de Cisco, sur la prochaine disparation de deux acteurs du Top 5 des fournisseurs informatiques est-elle en train de se concrétiser, avec IBM et HP à la peine?
Cisco détient cependant une faible part du marché, 5,4%, et ne réalise pour l’instant que 617 millions de dollars de chiffre d’affaires dans le secteur au niveau mondial alors qu’un HP est à 2,9 milliards et un IBM à 2,2 milliards.
Arrivée d’Inspur Electronics dans le Top 5
Cisco n’apparaît même pas dans le Top 5 des vendeurs en nombre d’unités. Il est dépassé par Inspur Electronics, un constructeur chinois dernier du Top 5, qui aura vendu 80 000 machines au premier trimestre, et un autre chinois Huawei, quatrième du classement, qui a vendu 86 000 serveurs. HP aura vendu 536 000 machines, pour sa part.
Mais comparé à IBM, en zone Europe, moyen orient et Afrique, Cisco n’est plus très loin. Il a vendu 15 400 machines tandis qu’IBM en a vendu 39 000. Sur la même zone, sur cette période, HP pour sa part a vendu 215 000 serveurs et Dell 115 000.
Moins de serveurs achetés en Europe, mais plus chers 
En ce qui concerne plus particulièrement, l’Europe de l’ouest, les chiffres sont à l’inverse de la moyenne mondiale. Le nombre d’unités vendues a baissé de 4,8% tandis que le chiffre d’affaires a augmenté de 6,7%.
Par ailleurs, au niveau mondial,  les ventes de serveurs x86 ont augmenté de 1,7% en nombre d’unités vendues, et de 2,8% pour le chiffre d’affaires. Les machines Risc et Itanium fonctionnant sous Unix vivent quant à elles une forte baisse de 19,9% en nombre de serveurs vendus, et une baisse de 16,9% pour le chiffre d’affaires généré. Quant aux Mainframes, la baisse est de 37,6% en termes de chiffre d’affaires. Bref, les temps sont durs pour IBM.
HP numéro un mondial 
HP demeure le vendeur numéro un de serveurs en termes de chiffres d’affaires, avec 2,9 milliards de dollars. Il détient 25,5% du marché, mais recule de 2,3%. Il aura vendu 7,9% de serveurs au début 2014 de moins qu’au premier trimestre 2013. IBM en a vendu 27% en moins, mais Inspur Electronics a quadruplé ses ventes.
Les ventes de serveurs lame, le segment où Cisco opère, aura connu une croissance des revenus de 5,2% mais une baisse des unités vendues de 3,9%. Les serveurs en rack ont vu leurs ventes en nombre d’unités en hausse de 1,4% et de 1,7% en chiffre d’affaires.
Photo, façade des serveurs x86 UCS de Cisco.

Google révèle la première carte serveur qu’il a conçue

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Google - carte Serveur P8 - BF
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Google sait tout faire. Après la voiture qui roule toute seule, après les drones, voici que la firme développe une carte de serveur informatique. Google l’a présentée lors du salon « Impact 2014 » organisé par IBM à Las Vegas, du 27 avril au 1er mai,sur le stand OpenPower.
Un processeur Risc P8
Il s’agit de la première carte mère de serveur qu’il a réalisée avec un processeur de technologie Risc Power8 fourni par IBM. Cette carte a été développée dans le cadre du programme OpenPower proposé par IBM afin de convaincre des partenaires de le suivre sur cette architecture de processeur, plutôt couteuse.
« Nous cherchons toujours à offrir la meilleure qualité de service à nos utilisateurs, et nous avons donc construit ce serveur afin d’y placer notre pile logicielle pour Power. Cela s’est avéré être plus facile que prévu, en partie grâce à la possibilité d’utiliser le mode ‘little-Endian’ dans le P8 » déclare Gordon MacKean directeur chez Google.
Mesurer les performances pour s’améliorer
Selon lui, une vraie plate-forme de serveur est également essentielle pour des mesures de performance détaillées et des optimisations en continu, ainsi que pour intégrer et  tester les améliorations en cours. Elles viendront par le biais d’OpenPower et de la communauté OpenPower étendue. Google, IBM, Nvidia, et d’autres firmes ont formé la Fondation OpenPower, une organisation à but non lucratif dédiée au développement d’un écosystème ouvert.
En janvier dernier, les sociétés chinoises Suzhou PowerCore Technology Company et The Research Institute of Jiangsu Industrial Technology ont annoncé qu’ils travaillaient dans le cadre d’OpenPower pour un usage dans le Big Data et le Cloud Computing. En février, Samsung Electronics a rejoint le groupe. On note aussi la présence de Hitachi, Emulex, et ZTE.

Photo, la carte mère de serveur à base de processeur P8 d’IBM conçue par Google.

When It's not your time

Dan Gilbert: The psychology of your future self

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"Human beings are works in progress that mistakenly think they're finished." Dan Gilbert shares recent research on a phenomenon he calls the "end of history illusion," where we somehow imagine that the person we are right now is the person we'll be for the rest of time. Hint: that's not the case.
pinThis talk was presented at an official TED conference, and was featured by our editors on the home page.

Psychologist; happiness expert
Harvard psychologist Dan Gilbert says our beliefs about what will make us happy are often wrong — a premise he supports with intriguing research, and explains in his accessible and unexpectedly funny book, Stumbling on Happiness. Full bio
 
 

Un humanisme sans Dieu est-il possible ?

DESSP Dispositif d'évaluation et de suivi du stress professionnel

3 Keys to Being a Leader

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Whether you are leading a work team, a division, a company or an industry, you need 3 critical steps you must take to transform your leadership efforts from good to great.
They are:
Be a General. Teams need fearless, strategic leadership. A great general does not just shout orders. A general understands the big picture of the task ahead and deploys resources strategically for the greatest chance of success. Are you amassing your strategic skills? Are you looking not just at your own tasks, but also at the larger landscape, in order to work and lead strategically?
Be a Teacher. You will generate the most loyal and productive teams if you are able not just to lead, but also to teach. Can you support and instruct others so that they can be more successful in their jobs? Can you understand what makes you successful and communicate that to others so that they can follow your example? You may be an inspired genius, but your success will rest on your ability to communicate that to others and teach them to execute on your level.
Be an Optimist. Business is a difficult path. There are many challenges, many hurdles, many failures. To be a great leader, you must be a great optimist. Set extraordinary goals – and then be fully confident your team will get there. Think about how you feel when you hear instructions. If you hear, “Well, just do the best you can” does that feel different than hearing “Go for it. I believe in you!”
Embracing the 3 elements of great leadership will bring you – and those you lead – three steps closer to success.

Photo Credit: Kennosuke Yamaguchi
"坂本龍馬像" (Statue of Sakamoto Ryouma) https://flic.kr/p/8ujCvZ

4 Ways To Avoid the Axe

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Just because you’re a quiet achiever doesn't mean you won’t be fired.
Believe me, I've seen it.
I've sat in boardrooms and watched the decisions being made as to who gets fired, released, retrenched, and outplaced.
Who gets axed and why?
Often it’s the person who is simply unknown to management: the introvert rather than the extrovert, the demure rather than the outgoing, the task-oriented rather than the people-oriented.
Yet my psychological profiles of retrenched employees reveal that they seldom lack skill, energy or ability but they fail to publicise internally their competence and achievements.
So when the axe falls it's on them.
It works like this: during tough or turbulent times,companies do what’s required for their survival, not yours. Corporate firings are motivated by the desire for greater corporate efficiency, not by poor performance of employees. Suddenly, cutting back to core business means cutting back to core employees. Core employees are those who blend in noticeably with the prevailing mood of the company. When companies downsize, reduce ‘head count’, cut costs, and slash overheads, the quiet achievers are easy targets.
Don't get the chop. Here are 4 Ways To Avoid Being Axed:
1. Find a Fit. Wave the company flag, sing the company song and achieve through established channels. Even US Presidents become unemployed if they don’t follow the rules, get along with their work mates, or fail to fit in. If the leader of the world’s only superpower has to accommodate others in order to be keep his job, so will you. Is this always easy? No. Is it always necessary? Yes. So find a way to fit in.
2. Become skilled in the art of self-promotion. You don't have to change your personality, become a blow-hard, be super-competent or fawn over the boss. You simply need to consistently inform others of your successes. Does IBM make the best computers in the world? No, but IBM markets its competencies well. Does McDonald's make the best hamburger? Does Coca-Cola make the best beverage? Do you get the point? Learn to communicate effectively the competence you already possess.
3. Attend to politics. You don't have to be a Prime Minister or President to grasp that every job has a political dimension that’s as important as the job's actual tasks. Office politics is just an aggregate of relationships. Politics is people, and they are all around you, all the time. So pay attention to what’s going on around you.
4. Wise Up. Blithely trusting that doing good work is enough, or being oblivious to the political dimensions of your job is not only naïve, it’s immature. Wise up. If your political skills don't match your professional skills, you are expendable because you lack the ‘emotional intelligence’ required to operate successfully in business today. If you don’t invest time and effort to ensure that you are perceived correctly by others, then their conclusions about you may not be supportive, accurate or fair. But that's your problem, not theirs.
You alone are responsible for your career.
Take charge of it,

Distinct signs of Boiling Frog Syndrome

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Anecdote regarding Boiling Frog Syndrome is widely known. A frog placed in a boiling water will certainly jump out. What if the frog is initially placed in a cold water and the water is gradually heated up? The results are going to be different.
Gradually increasing ambient temperature is bound to offer a soothing effect on the frog. It tends to keep adjusting itself with the variations but there is a limit to it. There will be a point beyond which frog's metabolism cannot cope up and has to ultimately die.
We always enjoy the subtle changes in the workplace and tend to adjust ourselves. If the change outside is faster than that of inside, for sure you have a devastating impact in the pipeline. Although it is not easy to pull yourself out of the comfort zone, it is becoming increasingly important to prepare for change.
Distinct signs below indicates that you are getting yourself into the comfort zone
#1 Learning: Let's say you have 5 years of experience in a company. You introspect and find that your learning process has stopped after the 1st year. Then, your overall experience is just 1 year multiplied by 5 years and it is suicidal.
#2 Growth: Your counterparts are given much higher pay pack increase and you are given a token increment or nothing for consecutive years
#3 Responsibilities: Despite your company's growth, your profile has either got stagnant or shrinking
#4 Spare time: You have more than 30% spare time and wondering on how to spend
#5 Presence or Absence: It is immaterial for your department or company whether you are present or absent.
#6 Consultations: You are not approached for any decision making or improvement process within the company
Course of action:
To overcome the Comfort Zones, you can undertake some or combination of following initatives
~ Look for relevant education program and qualify yourself
~ Opt for part time teaching to enhance knowledge and build network
~ Participate in groups relevant to your profession
~ Explore job opportunities outside
~ If necessary, do not hesitate to change your domain. For instance, you may look for Opportunities in Sales if there are no potential in your current Technical Services domain
~ Experiment new avenues like consulting for enhancing your earning potential
~ Spend few hours in week reading stories of great achievers to motivate yourself
If you want to get what you did not have, you have to do what you have not done. Stay away from comfort zones and always experiment discomfort zones. You will be amazed with the great opportunities that come your way!!
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