L’année 2013 va enfin s’achever, enterrons-la dignement.
- A Berlin, le 25 décembre 2003. REUTERS/Fabrizio Bensch -
C’est bientôt Noël, ses plats gras, son alcool, ses cadeaux qui étaient presque ce que vous vouliez mais pas tout fait et les retrouvailles en famille. C’est donc comme chaque année, l’occasion de jouer au bingo en pariant sur les sujets d’actu de l’année qui ne manqueront pas d’être mentionnés entre le foie gras et la bûche. Cette année fut particulièrement riche. Quelle famille ne va pas évoquer au détour d’une blague le mariage pour tous, les impôts, le changement des rythmes scolaires?
En mêlant tous ces sujets, on va donc pouvoir jouer à nouveau au grand bingo de Noël (remis au goût du jour par Bienbienbien, vous y aviez joué ici même les deux précédentes années).
Rappelons les règles de ce jeu complètement ringard. Sur chaque grille, on a des phrases ou des situations susceptibles de se produire pendant la soirée qu’on peut cocher au fur à et à mesure de la soirée.
Par exemple, si, dès l’apéro, oncle Jacky balance:
A la fin du repas, celui qui a le plus de cases cochées gagne la partie.
![]()
Titiou Lecoq
Crédits photos Reuters Will Burgess, Fabrizio Bensch

En mêlant tous ces sujets, on va donc pouvoir jouer à nouveau au grand bingo de Noël (remis au goût du jour par Bienbienbien, vous y aviez joué ici même les deux précédentes années).
Rappelons les règles de ce jeu complètement ringard. Sur chaque grille, on a des phrases ou des situations susceptibles de se produire pendant la soirée qu’on peut cocher au fur à et à mesure de la soirée.
Par exemple, si, dès l’apéro, oncle Jacky balance:
«Ah bah maintenant dans la crèche du petit Jésus, on sait plus qui est le parent de qui hein… Ça se trouve, Melchior et Balthazar, ils étaient de la jaquette qui flotte ah ah ah…»Non seulement vous pouvez vous dire que ce repas est bien engagé, mais surtout vous pouvez rayer une case de votre grille.
A la fin du repas, celui qui a le plus de cases cochées gagne la partie.
Voici les trois grilles, à agrandir pour les imprimer

Crédits photos Reuters Will Burgess, Fabrizio Bensch