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Channel: Cercle de Vie

Comment devenir Napoléon et éviter Sainte-Hélène ?

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http://seminaire.carleenbinet.com/optin20822658

Accouchement

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https://www.facebook.com/LauriePeret/videos/1926733757382822/

Foot

Mangez le si vous voulez

Le quizz de l’été – Quelles sont vos formes favorites d’intelligence ?

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Nous voici à la fin de la série de billet sur les intelligences managériales. Je vous invite à passer ce test pour faire un point avec vous même.
Voici une série de 35 affirmations. Pour chacune d’elles, notez :
  • 0 si vous n’êtes pas concerné
  • 3 si cela vous arrive rarement de penser ou faire ainsi
  • 6 si cela vous arrive souvent de penser ou faire ainsi
  • 10 si vous vous reconnaissez complètement.
Il s’agit d’un auto diagnostic répondez en fonction de ce que vous pensez et faites et non en ce que vous aimeriez penser et faire.
  1. Je rédige mes notes et compte-rendus avec aisance.
  2. Je suis plus pro-actif que réactif.
  3. Je n’ai pas peur d’avoir peur.
  4. Je fais preuve de curiosité.
  5. Je sais coopérer avec des personnes ayant des expertises que je n’ai pas.
  6. J’ai l’impression que j’apprends en permanence.
  7. Même en cas d’agression, je reste calme.
  8. Je suis passionné par les missions internationales.
  9. j’aime bien remettre en cause les idées toutes faites.
  10. Je trouve aisément quel est le bon moment pour agir.
  11. J’exprime mes émotions sereinement.
  12. Je maitrise les quatre opérations de base sans me servir d’une calculette.
  13. Je sais hiérarchiser essentiel, priorités et urgences.
  14. j’ose dire « non » sans me sentir gêné.
  15. Je suis créatif.
  16. Je comprends un texte dès la première lecture.
  17. Je sais écouter et me taire lorsque qu’un autre me parle.
  18. J’organise mes idées facilement.
  19. Je repère avec acuité quelles sont les émotions de mes interlocuteurs.
  20. J’aime bien être provoqué et provoquer.
  21. Je suis un bon orateur en public.
  22. Je m’intéresse à l’économie, la politique, les relations internationales et aux innovations technologiques.
  23. Lorsque l’on me fait une remarque, critique ou suggestion, je réponds : « merci de me dire cela ».
  24. Je ne répète pas les mêmes erreurs.
  25. Je sais faire des critiques sans vexer les autres
  26. Je sais à la fois faire des analyses détaillées et en tirer une synthèse pertinente.
  27. Je tiens compte de mes émotions pour penser, décider et agir.
  28. Je distingue bien ce que je peux exprimer en public ou en privé.
  29. Je pratique la formule : « hâtons nous lentement »
  30. Je pense que ce ne sont, ni les plus forts , ni les plus rapides qui survivent, mais ceux qui s’adaptent.
  31. Je fais confiance et je délègue des responsabilités.
  32. Je relis mes mails avant de les envoyer pour évaluer les effets qu’ils peuvent avoir sur les destinataires. 
  33. Tout en épousant de fortes convictions, je laisse une part au doute.
  34. Tout en tenant compte des expériences du passé, je suis résolument orienté vers le futur.
  35. Je préfère dire ce que je pense au lieu de ruminer dans mon coin
Résultats : totalisez vos points dans chacune des formes d’intelligence.
Intelligence intellectuelle : 1-12-16-18-26
Intelligence émotionnelle : 3-11-19-25-27
Intelligence stratégique : 2-13-22-29-34
Intelligence relationelle : 7-17-21-23-32
Intelligence contextuelle : 5-8-10-28-30
Intelligence pédagogique: 4-6-24-31-33
Intelligence impertinente : 9-14-15-20-35
Etes vous surpris par vos résultats ? Qu’en tirez vous et que décidez vous de faire ?

L’esclavage moderne est organisé et consenti

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L’homme qui est devenu une main d'oeuvre, esclave d’un système où l’argent, la marchandise et la rentabilité prennent le pas sur l’humanité.
Si nous sommes esclaves de ce système, c’est que nous le voulons bien…
« La servitude moderne est une servitude volontaire, consentie par la foule des esclaves qui rampent à la surface de la Terre. Ils achètent eux-mêmes toutes les marchandises qui les asservissent toujours un peu plus. Ils courent eux-mêmes derrière un travail toujours plus aliénant, que l’on consent généreusement à leur donner, s’ils sont suffisamment sages. Ils choisissent eux-mêmes les maîtres qu’ils devront servir.

Pour que cette tragédie mêlée d’absurdité ait pu se mettre en place, il a fallu tout d’abord ôter aux membres de cette classe toute conscience de son exploitation et de son aliénation. »
« Contrairement aux esclaves de l’Antiquité, aux serfs du Moyen-âge ou aux ouvriers des premières révolutions industrielles, nous sommes aujourd’hui devant une classe totalement asservie mais qui ne le sait pas ou plutôt QUI NE VEUT PAS LE SAVOIR.
Ils ignorent par conséquent la révolte qui devrait être la seule réaction légitime des exploités.
Ils acceptent sans discuter la vie pitoyable que l’on a construite pour eux. Le renoncement et la résignation sont la source de leur malheur. »
« Voilà le mauvais rêve des esclaves modernes qui n’aspirent finalement qu’à se laisser aller dans la danse macabre du système de l’aliénation. »
« L’oppression se modernise en étendant partout les formes de mystification qui permettent d’occulter notre condition d’esclave. Montrer la réalité telle qu’elle est vraiment et non telle qu’elle est présentée par le pouvoir constitue la subversion la plus authentique.
Seule la vérité est révolutionnaire. »
De la Servitude Moderne – Documentaire de 2009 adapté d’un livre du même nom (écrit par Jean-François Brient):
A suivre ...
https://www.pme.ch/management/2018/08/09/grand-bluff-travail-cool


Ne pas Juger mais Comprendre

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Louis Corman, né en 1901 à Roubaix et mort en 1995 à Nantes, est un médecin psychiatre, ancien médecin chef du service psychiatrique de l'adulte à l'hôpital Saint-Louis de Paris, et fondateur du service de psychiatrie de l'enfant à l'hôpital Saint-Jacques de Nantes, est l'inventeur de la morphopsychologie, il est à l'origine de la « Société française de morphopsychologie » fondée en 1980.


Fils de Louis Joseph Corman, chef de fabrication, Louis Edmond Joseph Corman est né à Roubaix en 1901. Il suit des études de médecine à Paris, et, à la Sorbonne, suit l'enseignement prodigué par Marie Curie. Après avoir été nommé chef du service psychiatrique pour adultes de l'hôpital Saint-Louis à Paris1, Louis Corman crée, à la fin des années 1930, le service de psychiatrie de l'enfant1 à l'hôpital Saint-Jacques de Nantes, dont il est médecin-chef de 1934 à 19682. En 1937 il élabore le concept de morphopsychologie. En 1972, il épouse en secondes noces Anna Duté. Auteur de nombreux ouvrages, il fonde en 1980 la « Société française de morphopsychologie », puis l'« Association des morphopsychologues conseils ». Il meurt à Nantes le 1.

L'approche morphologique de ses malades par le médecin lyonnais Claude Sigaud a marqué plusieurs de ses élèves. C'est en les rencontrant et en s'inspirant directement de l'opuscule publié par ce dernier en 1914 La Forme humaine. Sa Signification que Louis Corman a établi la loi de dilatation-rétraction. Déjà pour les besoins de la médecineClaude Sigaud mettait en avant les associations entre le milieu, les fonctions corporelles et l'apparence présentée par le malade. Dans une perspective de compréhension des hommes, Louis Corman généralisa ces interactions en soulignant encore leur caractère dynamique. Sur ces bases déterminées et en se concentrant sur le visage, il a pu reprendre certains éléments de la tradition physiognomonique et y apporter une cohérence et rationalité inconnues jusqu'alors. (Sources : « Qui était Claude Sigaud ? », article de Louis Corman, in La revue de morphopsychologie, octobre 1987).
Louis Corman pose comme postulats essentiels de l'analyse morphopsychologique que les formes corporelles amples et rondes sont l'expression de l'instinct d'expansion alors que les formes en creux ou plates sont l'expression de l'instinct de conservation. Si dès sa venue au monde, chaque organisme est animé des deux instincts ; la plus ou moins grande affinité avec le milieu habituel ou les événements rencontrés va donner, selon les cas, la priorité à l'un d'eux et renforcer les formes soit dilatées soit rétractées, dans une interaction permanente.
Ce schéma suffirait pour comprendre le jeu entre la diversité des vécus individuels et celle des apparences : un environnement favorable subjectivement pour un individu stimule son instinct d'expansion, ce qui, à terme, se traduit par des traits d'épanouissement et donc du volume, alors qu'un environnement plus hostile (subjectivement) lui fera mobiliser son instinct de conservation et induira chez lui, à terme, une restriction de ses formes : c'est la rétraction.
Tout individu étant d'une grande complexité en comparaison de ce principe, le visage, particulièrement, traduit en fait selon certaines zones une plus ou moins grande expression de l'instinct d'expansion ou inversement de conservation. Par exemple, le front peut donner l'indice d'un épanouissement pendant que le reste du visage sera marqué de traces de relations plus difficiles avec l'environnement... Cette différentiation spatialepouvant en théorie se poursuivre toujours plus finement pour autant que l'expérience du morphopsychologue soit suffisante.

chuck norris


Quel est aujourd’hui l’état d’esprit du Management ?

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Quel pourrait être le meilleur sens pour animer et conduire les hommes et leurs entreprises ? Comment se traduirait-il dans les faits ? Autrement dit, quelles sont ses manifestations concrètes ?

Chacune des orientations du Management est une façon de répondre à sa problématique centrale : 

le risque des changements de sens individuels et collectifs. 

Le manager est confronté au risque des changements de sens individuels et collectifs de ses managés, voir de ceux de ses propres supérieurs, et, de toute façon, de ceux qu’il active lui-même, consciemment ou inconsciemment. 

Dans ces conditions, pour le manager, quelle est la meilleure orientation à prendre, selon celles prises par les autres. Quel est le bon, le meilleur sens ? Quelle politique conduire et maintenir ?

Merci de répondre à ce  SONDAGE  

et vous recevrez un certificat "Boussole - Management"

La bête immonde

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L'histoire se répète ...

Qui a provoqué la crise financière de 2008 ?


Elle a finit par mettre l'extrême droite au pouvoir dans plusieurs pays, en suivant le même scénario ?




C'est une dystopie qui prend forme



“Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve”  la formule du poète Hölderlin est souvent utilisée par Edgar Morin pour montrer que les contradictions d’un système sécrètent les bases de leur propre dépassement. Ainsi  les catastrophes entrainent des élans de solidarité, les crises économiques peuvent provoquer des réactions salutaires – des Etats, des citoyens – créant ainsi les bases d’une nouvelle société.
“Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve”  : Voilà une donc une belle idée dialectique. Quelques exemples historiques l’illustrent bien : les syndicats et mutuelles sont nés en réaction aux défauts du capitalisme, l’Etat keynésien est né pour réguler les désordre du marché.
Pour autant l’idée hégélienne devrait se souvenir du troisième temps de la dialectique (1)  « la négation de la négation » : ce qu’on pourrait résumer ainsi :  là où croît ce qui sauve, croît un nouveau danger…
source : https://www.dortier.fr/la-ou-croit-le-peril-croit-aussi-ce-qui-sauve-est-ce-vrai/

La bête immonde est de retour



Matthieu 6
23mais si ton oeil est en mauvais état, tout ton corps sera dans les ténèbres. Si donc la lumière qui est en toi est ténèbres, combien seront grandes ces ténèbres! 24Nul ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l'un, et aimera l'autre; ou il s'attachera à l'un, et méprisera l'autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mamon.









Effondrement

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INTERVIEW

«Le scénario de l’effondrement l’emporte»

Par Laure Noualhat — 15 juin 2012 à 19:07
Dennis Meadow.
Dennis Meadow. Photo Bruno Charoy pour Libération.

Dès le premier sommet de la Terre de 1972, le chercheur américain Dennis Meadows partait en guerre contre la croissance. A la veille de la conférence «Rio + 20», il dénonce les visions à court terme et dresse un bilan alarmiste.

En 1972, quatre jeunes scientifiques du Massachusetts Institute of Technologie (MIT) rédigent à la demande du Club de Rome un rapport intitulé The Limits to Growth (les Limites à la croissance). Celui-ci va choquer le monde. Leur analyse établit clairement les conséquences dramatiques d’une croissance économique et démographique exponentielle dans un monde fini. En simulant les interactions entre population, croissance industrielle, production alimentaire et limites des écosystèmes terrestres, ces chercheurs élaborent treize scénarios, treize trajectoires possibles pour notre civilisation.
Nous sommes avant la première crise pétrolière de 1973, et pour tout le monde, la croissance économique ne se discute pas. Aujourd’hui encore, elle reste l’alpha et l’oméga des politiques publiques. En 2004, quand les auteurs enrichissent leur recherche de données accumulées durant trois décennies d’expansion sans limites, l’impact destructeur des activités humaines sur les processus naturels les conforte définitivement dans leur raisonnement. Et ils sont convaincus que le pire scénario, celui de l’effondrement, se joue actuellement devant nous. Rencontre avec l’un de ces scientifiques, Dennis Meadows, à la veille de la conférence de Rio + 20.
Le sommet de la Terre démarre mercredi à Rio. Vous qui avez connu la première conférence, celle de Stockholm, en 1972, que vous inspire cette rencontre, quarante ans plus tard ?
Comme environnementaliste, je trouve stupide l’idée même que des dizaines de milliers de personnes sautent dans un avion pour rejoindre la capitale brésilienne, histoire de discuter de soutenabilité. C’est complètement fou. Dépenser l’argent que ça coûte à financer des politiques publiques en faveur de la biodiversité, de l’environnement, du climat serait plus efficace. Il faut que les gens comprennent que Rio + 20 ne produira aucun changement significatif dans les politiques gouvernementales, c’est même l’inverse.
Regardez les grandes conférences onusiennes sur le climat, chaque délégation s’évertue à éviter un accord qui leur poserait plus de problèmes que rien du tout. La Chine veille à ce que personne n’impose de limites d’émissions de CO2, les Etats-Unis viennent discréditer l’idée même qu’il y a un changement climatique. Avant, les populations exerçaient une espèce de pression pour que des mesures significatives sortent de ces réunions. Depuis Copenhague, et l’échec cuisant de ce sommet, tout le monde a compris qu’il n’y a plus de pression. Chaque pays est d’accord pour signer en faveur de la paix, de la fraternité entre les peuples, du développement durable, mais ça ne veut rien dire. Les pays riches promettent toujours beaucoup d’argent et n’en versent jamais.
Vous n’y croyez plus ?
Tant qu’on ne cherche pas à résoudre l’inéquation entre la recherche perpétuelle de croissance économique et la limitation des ressources naturelles, je ne vois pas à quoi ça sert. A la première conférence, en 1972, mon livre les Limites à la croissance (dont une nouvelle version enrichie a été publiée en mai) avait eu une grande influence sur les discussions. J’étais jeune, naïf, je me disais que si nos dirigeants se réunissaient pour dire qu’ils allaient résoudre les problèmes, ils allaient le faire. Aujourd’hui, je n’y crois plus !
L’un des thèmes centraux de la conférence concerne l’économie verte. Croyez-vous que ce soit une voie à suivre ?
Il ne faut pas se leurrer : quand quelqu’un se préoccupe d’économie verte, il est plutôt intéressé par l’économie et moins par le vert. Tout comme les termes soutenabilité et développement durable, le terme d’économie verte n’a pas vraiment de sens. Je suis sûr que la plupart de ceux qui utilisent cette expression sont très peu concernés par les problèmes globaux. La plupart du temps, l’expression est utilisée pour justifier une action qui aurait de toute façon été mise en place, quelles que soient les raisons.
Vous semblez penser que l’humanité n’a plus de chance de s’en sortir ?
Avons-nous un moyen de maintenir le mode de vie des pays riches ? Non. Dans à peine trente ans, la plupart de nos actes quotidiens feront partie de la mémoire collective, on se dira : «Je me souviens, avant, il suffisait de sauter dans une voiture pour se rendre où on voulait», ou «je me souviens, avant, on prenait l’avion comme ça». Pour les plus riches, cela durera un peu plus longtemps, mais pour l’ensemble des populations, c’est terminé. On me parle souvent de l’image d’une voiture folle qui foncerait dans un mur. Du coup, les gens se demandent si nous allons appuyer sur la pédale de frein à temps. Pour moi, nous sommes à bord d’une voiture qui s’est déjà jetée de la falaise et je pense que, dans une telle situation, les freins sont inutiles. Le déclin est inévitable.
En 1972, à la limite, nous aurions pu changer de trajectoire. A cette époque, l’empreinte écologique de l’humanité était encore soutenable. Ce concept mesure la quantité de biosphère nécessaire à la production des ressources naturelles renouvelables et à l’absorption des pollutions correspondant aux activités humaines. En 1972, donc, nous utilisions 85% des capacités de la biosphère. Aujourd’hui, nous en utilisons 150% et ce rythme accélère. Je ne sais pas exactement ce que signifie le développement durable, mais quand on en est là, il est certain qu’il faut ralentir. C’est la loi fondamentale de la physique qui l’exige : plus on utilise de ressources, moins il y en a. Donc, il faut en vouloir moins.
La démographie ne sera pas abordée à Rio + 20. Or, pour vous, c’est un sujet majeur…
La première chose à dire, c’est que les problèmes écologiques ne proviennent pas des humains en tant que tels, mais de leurs modes de vie. On me demande souvent : ne pensez-vous pas que les choses ont changé depuis quarante ans, que l’on comprend mieux les problèmes ? Je réponds que le jour où l’on discutera sérieusement de la démographie, alors là, il y aura eu du changement.
Jusqu’ici, je ne vois rien, je dirais même que c’est pire qu’avant. Dans les années 70, les Nations unies organisaient des conférences sur ce thème, aujourd’hui, il n’y a plus rien.
Pourquoi ?
Je ne comprends pas vraiment pourquoi. Aux Etats-Unis, on ne discute plus de l’avortement comme d’une question médicale ou sociale, c’est exclusivement politique et religieux. Personne ne gagnera politiquement à ouvrir le chantier de la démographie. Du coup, personne n’en parle. Or, c’est un sujet de très long terme, qui mérite d’être anticipé. Au Japon, après Fukushima, ils ont fermé toutes les centrales nucléaires. Ils ne l’avaient pas planifié, cela a donc causé toutes sortes de problèmes. Ils ont les plus grandes difficultés à payer leurs importations de pétrole et de gaz. C’est possible de se passer de nucléaire, mais il faut le planifier sur vingt ans.
C’est la même chose avec la population. Si soudainement vous réduisez les taux de natalité, vous avez des problèmes : la main-d’œuvre diminue, il devient très coûteux de gérer les personnes âgées, etc. A Singapour, on discute en ce moment même de l’optimum démographique. Aujourd’hui, leur ratio de dépendance est de 1,7, ce qui signifie que pour chaque actif, il y a 1,7 inactif (enfants et personnes âgées compris). S’ils stoppent la croissance de la population, après la transition démographique, il y aura un actif pour sept inactifs. Vous comprenez bien qu’il est impossible de faire fonctionner correctement un système social dans ces conditions. Vous courez à la faillite. Cela signifie qu’il faut transformer ce système, planifier autrement en prenant en compte tous ces éléments.
La planification existe déjà, mais elle ne fonctionne pas. Nous avons besoin de politiques qui coûteraient sur des décennies mais qui rapporteraient sur des siècles. Le problème de la crise actuelle, qui touche tous les domaines, c’est que les gouvernements changent les choses petit bout par petit bout. Par exemple, sur la crise de l’euro, les rustines inventées par les Etats tiennent un ou deux mois au plus. Chaque fois, on ne résout pas le problème, on fait redescendre la pression, momentanément, on retarde seulement l’effondrement.
Depuis quarante ans, qu’avez-vous raté ?
Nous avons sous-estimé l’impact de la technologie sur les rendements agricoles, par exemple. Nous avons aussi sous-estimé la croissance de la population. Nous n’avions pas imaginé l’ampleur des bouleversements climatiques, la dépendance énergétique. En 1972, nous avions élaboré treize scénarios, j’en retiendrais deux : celui de l’effondrement et celui de l’équilibre. Quarante ans plus tard, c’est indéniablement le scénario de l’effondrement qui l’emporte ! Les données nous le montrent, ce n’est pas une vue de l’esprit.
Le point-clé est de savoir ce qui va se passer après les pics. Je pensais aussi honnêtement que nous avions réussi à alerter les dirigeants et les gens, en général, et que nous pouvions éviter l’effondrement. J’ai compris que les changements ne devaient pas être simplement technologiques mais aussi sociaux et culturels. Or, le cerveau humain n’est pas programmé pour appréhender les problèmes de long terme. C’est normal : Homo Sapiens a appris à fuir devant le danger, pas à imaginer les dangers à venir. Notre vision à court terme est en train de se fracasser contre la réalité physique des limites de la planète.
N’avez-vous pas l’impression de vous répéter ?
Les idées principales sont effectivement les mêmes depuis 1972. Mais je vais vous expliquer ma philosophie : je n’ai pas d’enfants, j’ai 70 ans, j’ai eu une super vie, j’espère en profiter encore dix ans. Les civilisations naissent, puis elles s’effondrent, c’est ainsi. Cette civilisation matérielle va disparaître, mais notre espèce survivra, dans d’autres conditions. Moi, je transmets ce que je sais, si les gens veulent changer c’est bien, s’ils ne veulent pas, je m’en fiche. J’analyse des systèmes, donc je pense le long terme. Il y a deux façons d’être heureux : avoir plus ou vouloir moins. Comme je trouve qu’il est indécent d’avoir plus, je choisis de vouloir moins.
Partout dans les pays riches, les dirigeants promettent un retour de la croissance, y croyez-vous ?
C’est fini, la croissance économique va fatalement s’arrêter, elle s’est déjà arrêtée d’ailleurs. Tant que nous poursuivons un objectif de croissance économique «perpétuelle», nous pouvons être aussi optimistes que nous le voulons sur le stock initial de ressources et la vitesse du progrès technique, le système finira par s’effondrer sur lui-même au cours du XXIe siècle. Par effondrement, il faut entendre une chute combinée et rapide de la population, des ressources, et de la production alimentaire et industrielle par tête. Nous sommes dans une période de stagnation et nous ne reviendrons jamais aux heures de gloire de la croissance. En Grèce, lors des dernières élections, je ne crois pas que les gens croyaient aux promesses de l’opposition, ils voulaient plutôt signifier leur désir de changement. Idem chez vous pour la présidentielle. Aux Etats-Unis, après Bush, les démocrates ont gagné puis perdu deux ans plus tard. Le système ne fonctionne plus, les gens sont malheureux, ils votent contre, ils ne savent pas quoi faire d’autre. Ou alors, ils occupent Wall Street, ils sortent dans la rue, mais c’est encore insuffisant pour changer fondamentalement les choses.
Quel système économique fonctionnerait d’après vous ?
Le système reste un outil, il n’est pas un objectif en soi. Nous avons bâti un système économique qui correspond à des idées. La vraie question est de savoir comment nous allons changer d’idées. Pour des pans entiers de notre vie sociale, on s’en remet au système économique. Vous voulez être heureuse ? Achetez quelque chose ! Vous êtes trop grosse ? Achetez quelque chose pour mincir ! Vos parents sont trop vieux pour s’occuper d’eux ? Achetez-leur les services de quelqu’un qui se chargera d’eux ! Nous devons comprendre que beaucoup de choses importantes de la vie ne s’achètent pas. De même, l’environnement a de la valeur en tant que tel, pas seulement pour ce qu’il a à nous offrir.
Laure Noualhat
Les limites à la croissance  de Donella Meadows, Dennis Meadows, Jorgen Randers Rue de l’Echiquier, 432 pp., 25 €.

Quelles sont vos attentes pour la nouvelle année ?

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Vos attentes : La question du sens est au centre de vos attentes, tout comme celle de la place que vous occupez. Vous pourriez vous souhaiter une année porteuse d’une nouvelle vision du travail, avec moins de compétition et de pression, davantage de reconnaissance et d’utilité. Ainsi qu’une issue favorable à la crise, basée sur une répartition des richesses plus juste.
Décodage : Peut-être occupez-vous un poste à responsabilité, avec succès d’ailleurs. Chargé de famille, vous savez faire face aux péripéties ou épreuves sur votre route. Vous faites preuve d’enthousiasme sans doute, et vous tentez de prendre des décisions en accord avec vos principes. Toutefois, entre stress, crise et objectifs parfois vides de sens, il semblerait que vos espoirs « professionnels » soient déçus.
Pour amorcer l’année : Ce début d’année pourrait bien annoncer des remises en question… autour d’une nouvelle raison d’être professionnel ! Rappelez-vous qu’il ne s’agit pas tant de trouver un sens à sa vie, que d’en donner à sa propre existence. Commencez par en réinjecter au quotidien. Demandez-vous par exemple comment développer des relations de travail plus harmonieuses, Ou davantage de créativité. Bien sûr rien ne vous empêche de prendre un congé solidarité ou de démarcher des entreprises plus éthiques !

2019 une année pour braver le statu quo plus que jamais

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Un post sur linkedin m'interroge en ce début d'année 2019 ...

La RSE avant d’être une discipline ou un ensemble de techniques est un métier de convictions et de courage (capacité à porter des valeurs et des engagements). J’aime cette phrase du poète René Char, extraite des Feuillets d’Hypnos (Gallimard, 1946), un recueil de poèmes dédié à son ami Albert Camus : « Toute l'autorité, la tactique et l'ingéniosité ne remplaceront pas une parcelle de conviction au service de la vérité ». C’est pourquoi il nous incite à remonter le courant, à braver le statu quo : « Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. A te regarder, ils s'habitueront. » -- René Char, « Rougeur des matinaux » (Gallimard, 1950). Image : Rebelle inconnu Place Tien An Men, Pékin, juin 1989 hashtagManagement et hashtagRSE

Question ...

Impose ta chance ? Remonte le courant ?

Arrête ton Char, René, ce chinois n'en a pas eu face aux chars
sauf peut être la célébrité sur une photo en voulant braver le statu quo


Réflexion ...



Ce chinois a été écrasé
Que reste-t-il des "Printemps Arabes" ? du chaos et des guerres !
Une crise des migrants qui va transformer le visage de l'Europe
Les Gilets Jaunes vont être matés ou manipulés donc divisés
Qu'en restera-t-il ? Un état d'urgence policier et sécuritaire

Les révoltes dans le monde seront toujours étouffées
Les peuples seront de plus en plus surveillés
Les dissidents seront enfermés préventivement
Les prisons fabriqueront les criminels de demain

Les êtres humains se diviseront en catégories mourantes, affamées, miséreuses, pauvres ...
et puis les autres, assistés, chômeurs, retraités, smicards,
et enfin les classes "moyennes", les riches, les ultra riches

Ce n'est pas grave car l'humanité, dès sa naissance, se meurt

XXIe siècle
Nous vivons une crise sans précédent, l'effondrement inéluctable et rapide de la Vie sur Terre
Une course vers la Mort et la Fin des Temps
"Après moi, la fin du monde"
Le matérialisme contre la spiritualité
"Tout pour moi, rien pour les enfants à naître"

Satan, le diable, les démons, Mammon ...
La fabrique d'égrégores de puissances maléfiques du pouvoir, de l'avoir et du vouloir
"divisions, mensonges, désinformation, haine, colère, vengeance, meurtres, guerre, or, pétrole,..."

Where is the LOVE ?

Dieu, les Archanges, les Anges, les saints, Jésus, Bouddha, ...
La méditation, Les prières et les forces de lumière
"Paix, Amour, Fraternité, Liberté, Protection, dons, partage, vertus, ..."

Les contes, mythes et légendes nous ont prévenu
Les Védas, les livres sacrés, la Tora, la Bible, le Coran, ...
Les Sages, les Saints, les femmes et hommes d'exceptions, ...
Ils nous ont tous prévenu mais ce monde reste clivé

Un nouveau monde doit naître sinon l'humanité va disparaître

L'Art et la manière de faire rejaillir la lumière sur soi

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Une rencontre ...
Qu'est-ce qu'il a apporté à ces scouts ?
Le portail du gouvernement ne le dit pas




Même si c'est sincère, c'est malicieux


Se faire de la pub grâce aux scouts
Cela tombe bien dans l'actualité où une autre "jeune" est venue à l'Assemblée Nationale, Greta Thunberg.

Encore plus falacieux voir pervers, la réthorique de Laurent Alexandre qui essaye de démontrer que Greta est instrumentalisé par un courant de pensée "effondriste" ... oubliant que lui même est instrumentalisé par le courant de pensée "transhumaniste" !


Et comme dirait Christian Clot suite à cette remarque d'Agnès Buzyn :


Ah, la théorie de la peur. Agnès Buzyn qui sort, « Personne n’est sans risque face à de telles températures » !
Faisez gaffe, vous allez tous mourir. Pas faux… un jour !
Mais sans doute pas en raison de la chaleur actuelle. Les personnes fragiles doivent en effet être le sujet d’attentions renforcées, et l’entraide doit primer. De là à dire que le danger guette chaque citoyen de notre pays, n’exagérons pas. En premier lieu parce que le bon sens suffit à se prémunir de ces épisodes de chaleur ; ensuite parce que ce n’est jamais la peur et l’alarmisme qui permet de gérer une situation. C’est de prendre en compte les nouvelles données et d’apprendre les meilleures manières de s’y adapter. Parce que oui, nous allons devoir nous adapter à ces conditions. Mais ce n’est pas elles le véritable danger. Ce danger est dans le fait de laisser penser que ces chaleurs sont tellement dramatiques qu’il faudrait s’en protéger en restant chez soi avec encore plus de climatisation, encore plus d’infrastructure… qui, justement, sont une des causes des chaleurs actuelles. Alors plutôt que de diffuser la peur, diffusons la création de solutions physio-cognitive pour vivre avec aisance ces moments qui ne seront, nous le savons, plus des exceptions, mais nos quotidien.










Comment concilier prospérité et lutte contre le changement climatique ?

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2015

A quels défis environnementaux sommes-nous confrontés à moyen et long terme ?
Quelles sont les forces en présence et les rapports de force ?
Présentation de différentes approches : la transition écologique, la croissance verte, la décroissance.
Quelles sont leurs similitudes et leurs différences ? Quels peuvent être leurs leviers ?
Peuvent-elles constituer des chemins de sortie de crise ? A quel prix ? Qui paiera ?

Jean-Marie Chevalier
professeur d’économie à Paris-Dauphine, membre du Cercle des économistes,
ancien directeur du Centre de Géopolitique de l’Energie et des Matières Premières
Co-auteur de : La croissance verte, une solution d’avenir ? et de : Climat : il est urgent d’investir (Cercle des Economistes),
de : Transition énergétique : les vrais choix (Odile Jacob), et de : L'énergie en état de choc (Eyrolles)
Auteur du rapport du Conseil d’Analyse Economique auprès du Premier ministre
« Les marchés du gaz et de l’électricité : un défi pour l’Europe et pour la France »

Géraud Guibert
président du think tank transpartisan La Fabrique écologique  www.lafabriqueecologique.fr
ancien directeur de cabinet de la ministre de l’Écologie (Nicole Bricq),
ancien secrétaire national du PS chargé de l’environnement, Conseiller maître à la Cour des comptes
co-auteur de Pourquoi attendre ? Innover pour le climat (avec 4 anciens ministres de l’écologie : C. Jouanno, N. Kosciusko-Morizet, Ph. et D. Voynet)
auteur de Le Bonheur est-il dans la décroissance ? (Fondation Jean Jaurès), de Tous écolos …et alors ? (Lignes de repères)
et de La contestation des grands projets d’infrastructures (revue Esprit, octobre 2013)


FAMILLE

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 RaymondeAlbertAnnickGérômeCédricAlainSophieCélineMichelMadeleinePascalYann
19120           
191310          
191421          
191532          
191643          
191754          
191865          
191976          
192087          
192198          
1922109          
19231110          
19241211          
19251312          
19261413          
19271514          
19281615          
19291716          
19301817          
19311918          
19322019          
19332120          
19342221          
19352322          
19362423          
19372524      0   
19382625      1   
19392726      2   
19402827      3   
19412928   0  40  
19423029   1  51  
194331300  2  62  
194432311  3  73  
194533322  4  84  
194634333  5  95  
194735344  6  106  
194836355  7  117  
194937366  8  128  
195038377  9  139  
195139388  10  1410  
195240399  11  1511  
1953414010  12  1612  
1954424111  13  1713  
1955434212  14  1814  
1956444313  15  1915  
1957454414  16  2016  
1958464515  17  2117  
1959474616  18  2218  
1960484717  19  2319  
1961494818  20  2420  
1962504919  21  25210 
1963515020  220 26221 
1964525121  231 27232 
1965535222  242 28243 
1966545323  253 29254 
1967555424  264 30265 
1968565525  275 312760
1969575626  286 322871
19705857270 297 332982
197159 281 308 343093
197260 292 319 3531104
197361 303 3210 3632115
197462 314 3311 3733126
197563 325 3412 3834137
197664 336 3513 3935148
197765 347 3614 4036159
197866 358 3715 41371610
197967 369 3816 42381711
198068 3710 3917 43391812
198169 3811 4018 44401913
198270 3912 4119 45412014
198371 4013 4220 46422115
198472 4114 4321 47432216
198573 4215 4422 48442317
198674 4316 4523 49452418
198775 4417 4624 50462519
198876 4518 4725 51472620
198977 4619 4826 52482721
199078 4720 4927 53492822
199179 4821 5028 54502923
199280 4922 5129 55513024
199381 5023 5230 56523125
199482 5124 5331 57533226
199583 5225 5432 58543327
199684 5326 5533 59553428
199785 5427 5634 60563529
199886 5528 5735 61573630
199987 5629 5836 62583731
200088 5730 5937 63593832

Méditation et Synchronicité

L’écologie extérieure est inséparable de l’écologie intérieure

Le Capitalisme n'est pas l'ultra libéralisme

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Patrick Artus, économiste : « Depuis dix ans, nous voyons émerger avec force deux conséquences néfastes [du modèle économique] né après-guerre. La première, c'est le creusement les inégalités dans les pays riches. La seconde, c'est le dérèglement du climat. Ces deux conséquences étaient largement prévisibles. On sait pertinemment que lorsque l'on ouvre les échanges avec les pays émergents, l'industrie bas de gamme de nos pays riches va rapidement s'y délocaliser. Pour dire les choses autrement, le prix à payer pour l'élévation du niveau de vie des pays pauvres, c'est la destruction d'une partie de l'industrie, donc des emplois, dans les pays de l'OCDE. Le creusement des inégalités vient essentiellement de là. Deuxième conséquence de ce modèle, c'est sa gourmandise en énergie fossiles. Lorsque vous regardez la courbe de l'accroissement du PIB du monde sur longue période et celle de la consommation d'énergies fossiles, la corrélation vous saute aux yeux. Aujourd'hui, les émissions de CO2 augmentent de 1,8 % dans le monde, alors que le PIB mondial croît de 4 %. Or pour respecter l'objectif d'un réchauffement de 2° préconisé par les scientifiques du GIEC, il faudrait réduire nos émissions de 3 % par an. »
https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/patrick-artus-le-capitalisme-a-ete-a-la-hauteur-de-ce-quon-attendait-de-lui-1127262

DINOTRUCHE

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Mais qu'il est drôle Voici un ancien Président de la République au bilan brillant sur les questions écologiques (Comme tous les autres) qui se moque d'une jeune femme qui nous dit deux choses: 1-Quand allez vous écouter les scientifiques au lieu de pérorer et de ne rien faire? 2- Pourquoi détruisez-vous mon avenir? Et que fait Nicolas Sarkozy? De l'humour... Brillant, indéniablement. Totalement responsable, visionnaire, maîtrisant le sujet visiblement avec sa tarte à la crème de la démographie sans jamais tenir compte de l'empreinte écologique individuelle bien évidemment. Et la salle de rire de cette saillie si drôle sur un sujet si léger: L'avenir de l'espèce humaine sur Terre... Une paille à côté du reste, non? Je vous rassure, tout est à l'avenant. Dernier numéro de claquette des dinotruches avant extinction? ps: le dinotruche est un croisement entre l'autruche et le dinosaure mais en vraiment lourd et pas futé.

https://www.huffingtonpost.fr/entry/au-medef-nicolas-sarkozy-tacle-greta-thunberg_fr_5d67cc05e4b063c341fbdf2c

GUERRE CLIMATIQUE

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Ce que l'on évoque peu au sujet de la destruction de l'hashtagAmazonie et la politique écocide de Jair Bolsonaro, c'est qu'elles sont directement liées à la politique commerciale va-t-en-guerre de Trump face à la Chine. En effet, les restrictions douanières ayant fait chuter les exportations de soja US à destination des éleveurs chinois, ces derniers se sont dirigés vers le soja brésilien. D'où l'opportunisme économique de Bolsonaro et Salles, et un besoin massif de terres supplémentaires pour faire face à la demande.

https://reporterre.net/La-guerre-du-soja-entre-Chine-et-Etats-Unis-accroit-la-deforestation-de-l


A L'EAU LA TERRE ? ALLO ? HALO ?


Vacances

Retrait de l'âge pivot : la retraite à 64 ans, c'est non !

Dites un nom au hasard... Fabius ?

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Depuis un moment, passent des mesures de ségrégation et d’obligations, contraires aux droits élémentaires et dont on attend qu’elles soient retoquées par le Conseil Constitutionnel et elles ne le sont pas, au grand dam et au grand étonnement de beaucoup de juristes. Victor Fabius, basé à Paris, est directeur associé de McKinsey& Company, le cabinet privé qui a été choisi par l’État pour superviser la stratégie générale de vaccination et la communication attenante. Victor pilote le pôle de compétences Marketing et Ventes pour la France. Laurent Fabius, le père, ancien plus jeune premier ministre de la cinquième République, fut durablement plombé politiquement par l’affaire du sang contaminé, pour laquelle il a toutefois été relaxé, avant d’être nommé en 2016, par François Hollande, président du Conseil Constitutionnel. Mécaniquement, il est donc en position de retoquer les mesures suggérées à l’État par la boîte dont son fils est le directeur pour la France. Il est évidemment possible que tout cela soit dû au hasard et que père et fils n’aient plus aucun rapport, ni intérêts communs…

source : https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:activity:6825687770502045696/



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